Ne soyez pas comme ceux qui ont oublié Dieu. Dieu a fait qu'ils s'oublient eux-mêmes.

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Petite vieille 

À peine sort-elle 

Qu’elle se fatigue, 

À peine marche-t-elle

Quand elle respire.

Lorsqu’elle incline 

Son dos d’aiguilles 

Sa canne piétine 

Le goudron fade qui blaisserait.

Petite vieille qui apparaît 

Douce et tranquille 

Porte en son moi

Des tourbillons qui déracinent.

Des émotions que rien ne calme,

Sous sa joue molle

Le dentier grince 

Les douleurs mordent 

Et le coeur serre comme la pince

Tenant la canne qui tient debout.

Comment fais tu ma bonne vieille ?

Tiendras-tu donc jusqu’au bout ? 

Et ton coeur dans le silence 

De tes oreilles qui n’entendent plus, 

Et ton âme dans le brouillard de tes yeux doux qui ne voient plus 

Tremblent et frissonnent

Quand tu déclames sans dire un blâme, 

La louange 

De Ton Seigneur 


Pseudofrère

Qui es-tu virtuel, pseudo frère,

faux ami

Qui du matin au soir et même jusqu’au-delà de minuit 

Parle de ma religion et des récits ?

Qui est ce gros plan de ton visage, 

Filmé toujours plus près 

Toujours plus en qualité- en apparté et fausse intimité ;

Où me mène ton visage qui désormais s’impose comme un effacement de mon propre moi ?

Où me mène ton rappel cette fausse présence,

Que m’apportent mille portes 

Et tes invitations 

À t’écouter, plutôt qu’à me réfugier en moi auprès du Roi ? 

Où me mène ta voix si dupliquée, qui fragmente et sédimente la foi, 

Au point que je ne perçois plus mon souffle, au point que j’en perds même ma voix ?

Où me mène ton absence qu’il faut monnayer 

Pour ressentir un peu de ta proximité ?

Où nous mène le virtuel mon frère 

Et comment seras-tu rétribué ? 

Es-tu proche de moi mon frère  ? 

Me connais-tu ?

M’as tu aidé ? 

M’as tu aimé ?

Allah m’informe que Lui Seul 

Ne m’a ni abandonné,

Ni haï ! 


Un défi dont on espère les fruits

Les rappels vis à vis des fondements de notre Dîn sont toujours bons, mais nos prédicateurs ont une connaissance des outils de la psychologie qui est malheureusement médiocre et réductrice, les menant à nous proposer de tout rejeter de ces « pratiques spirituelles » aux origines « idôlatres », quand bien même c’est indubitablement de ces approches intuitives et spirituelles que sont tirés les principes psycho-logiques peaufinés, retravaillés et rendus neutres par pléthore de chercheurs, qui participent chaque jour, de concert avec la neuropsy, à former ce qu’on appelle la science de la psycho-pathologie/psychotraumatologie et des thérapies brèves, dont l’efficacité universelle gagne chaque jour à être reconnue scientifiquement. Les principes de la religion sont simples Elhamdulillah, de même que la pratique du dhikr « La ilaha ila Llah » qui nous préserve et nous place hors de tout shirk quoi qu’on puisse entendre ou traverser afin de rechercher la science utile, et faire le tri entre le pur et l’impur, entrer par une entrée de vérité et sortir par une sortie de vérité et bénéficier du secours d’Allah en ce qui nous concerne. Ce qui est prôné dans cette tribune anti-sorcellerie est paradoxalement aussi une « anti-psychologie », ce qui est assez paradoxal, à savoir se fermer complètement à ces « autres spiritualités/religions/pratiques touchant au domaine de l’invisible » afin de préserver notre religion, alors que ce n’est pas comme ça qu’on pourra rectifier quoi que ce soit de ces croyances et religions déviées ou déviantes, ni en retirer quoi que ce soit qui soit un rappel utile pour nous. Pour rappel Allah nous dit de rétablir la religion et non pas de fuir les autres religions et Il nous enjoint l’entreconnaissance et la noblesse par la piété, à savoir rester sur La ilaha ila Llah et ne pas se laisser séduire par des pensées indignes envers Allah et ce qui Lui est dû en exclusivité. Oui les choses ne sont pas si binaires, et Allah sait parfaitement ce que font ceux qui s’égarent et ceux qui sont sur la bonne voie. On est pas encore dans une guerre des religions ou des croyances, c’est juste une affaire de tri entre le vrai et le faux, et surtout une épreuve d’attachement à Allah en toute circonstance. Pourtant on croirait qu’il sagit d’une guerre de religion, comme si les autres religions attaquaient la notre et qu’il n’y avait rien de simplement humain, universel et intelligent chez autrui de telle autre spiritualité, qui pourrait un tant soit peu nous servir, nous unir, nous rapprocher.
9.6. Et si l’un des associateurs te demande asile, accorde-le lui, afin qu’il entende la parole d’Allah, puis fais-le parvenir à son lieu de sécurité. Car ce sont des gens qui ne savent pas.
41.34.La bonne action et la mauvaise ne sont pas pareilles, repousse le mal par ce qui est meilleur ; et voila que celui avec qui tu avais une animosité devient tel un ami chaleureux. 3.68.Quand tu vois ceux qui pataugent dans des discussions à propos de Nos versets, éloigne-toi d’eux jusqu’à ce qu’ils entament une autre discussion. Et si le Diable te fait oublier, alors, dès que tu te rappelles, ne reste pas avec les injustes. 40.4. Seuls ceux qui ont mécru discutent les versets d’Allah. Que leurs activités dans le pays ne te trompent pas. 42.6. Et quant à ceux qui prennent des protecteurs en dehors de Lui, Allah veille à ce qu’ils font. Et tu n’es pas pour eux un garant. 7. Et c’est ainsi que Nous t’avons révélé un Coran arabe, afin que tu avertisses la Mère des cités (la Mecque) et ses alentours et que tu avertisses du jour du rassemblement, – sur lequel il n’y a pas de doute – Un groupe au Paradis et un groupe dans la fournaise ardente.


Pieux faussaires et gains de pertes

Nos femmes bien souvent, sont vulnérabilisées en ce qu’elles font beaucoup de sacrifices pour la religion mais pour finalement se retrouver enfermées hors de la vie de sociale essentielle à une bonne psyché.

En fait au delà de toute notion de spiritualité ou de religion, ce sont pour la plupart des femmes qui ont besoin d’être nourries sensoriellement, d’être rassurées, éveillées, émerveillées, de ressentir et de découvrir leur sensorialité pour nourrir leur hypersensibilité et en cela diminuer leur vulnérabilité : c’est un espoir de se fortifier. Elles ont besoin de se sentir réunies aux autres, car leur entourage est morcelé et qu’elles ne s’y sentent pas reliées à l’humanité, au monde, aux autres ; elles cherchent cette identité rassurante et nourrissante qui autour d’elles est désertifiée.

Ce n’est pas tant que ça des sorcières mais simplement des femmes qui ont des besoins sensoriels et fraternels, des traumatismes et des vulnérabilités, et qui cherchent comment apaiser leur désarroi, auquel on ajoute peine sur peine en leur rétorquant qu’il faut simplement s’en remettre à Allah, se résigner, rester à la maison et obéir au mari.

Parmi ces femmes il y en a qui ont eu une enfance difficile, des familles éclatées, des conjoints violents, certaines ont vécu/survécu (à )des grossesses ou des fausses couches/naissances extrêmement traumatiques, et beaucoup dans leur désarroi et leur détresse sont naïves en plus d’être effarouchées par les jugements à tout va de la part des coreligionnaires ; résultat : elles se tournent vers la première pseudo thérapeute qui saura simplement faire preuve de (fausse) empathie et de (fausse) écoute à leur égard. Qu’importe, c’est ce dont elles ont besoin et c’est ce qui leur convient, et qu’elles n’ont pas trouvé dans leur communauté, qui se déshumanise et se désensibilise à coup de dogmatisme prôné le plus souvent par les femmes les mieux portantes, celles qui ont le mieux accouché, qui ont le plus d’enfants, qui tiennent désormais leurs maris par les brides, et qui dégagent un sentiment marâtre de toute puissance extrêmement élitiste (envers les leurs et ceux qui leurs ressemblent), extrêmement rédhibitoire et excluant.

En effet quelle fraternité féminine reste-t-il à des femmes qui sont extrêmement fermées sur leurs seules familles et dont ont dit que c’est leur obligation ?

Dans des temps plus anciens c’était différent, les voisines agissaient comme des soeurs, mais qu’en est-il aujourd’hui ?

Comment osons nous s’en prendre si brutalement à ces femmes pour quelques errances dogmatiques alors que pour la plupart elles souffrent et ne demandent qu’à psychiquement respirer un peu, être entendues, un semblant comprises et avoir à qui exprimer ce qui leur pèse tant, à partager aussi ?

Car une femme, c’est fertile, et si on ne lui donne pas de quoi fertiliser la Religion de Droiture avec notre cohérence fraternellement religieuse d’être ce que nous prêchons, eh bien la femme fertilisera comme ça viendra, envers et contre tout, et versera dans un féminisme opposé aux musulmans qui ne les ont pas secourues. 

Il faut donc remarquer que nous avons immensément de défauts, d’égocentrisme et de clanisme en interne et que c’est ce qui facilite le terrain de toutes les coach naturopathes et autres femmes douées de sensibilité qui savent jouer des faiblesses des autres femmes et qui sauront autant émerveiller, toucher qu’exploiter nos femmes vulnérabilisées.

le chantier ou plutôt le charnier est assez énorme, et il ne faut plus s’étonner des « fuites humaines » de notre communauté : notre bateau est entrain de couler parce que chacun démonte les planches pour se bricoler une barque individualiste.

C’est comme ça.


Allah sait parfaitement ce qu’ils font.

L’un des dangers du dev perso, c’est qu’il développe le mauvais caractère et la mauvaise démarche de chacun : tant que c’est bénef c’est bénef, tant que ça donne l’impression d’être protégé, embelli, plus riche et plus fort, alors c’est validé.
Le dev perso ne vise pas l’équité et la justice mais le bizness, en commençant par chérir l’égo et lui miroiter de faux espoirs, peu importe le moyen. Et comme le discernement n’est aucunement recherché -puisque ce qui est recherché n’est pas l’agrément d’ Allah Seul, ça donne lieu à toutes sortes de dérives parce que n’accordant pas le respect qui est dû à Allah et donc à soi et aux autres.
La foi en Allah est une crainte de dépendance qui guide et préserve de tout mal. Se développer c’est important pour chaque humain, se distraire et s’émerveiller aussi, mais oublier Allah c’est soublier soi-même, et on ne peut changer ni guider les coeurs qui s’égarent et agréent le faux au lieu de Lui Seul.
Je pense que la seule solution contre les taghout de la magie déguisée en guérison, c’est la foi en Allah sans idéaliser à Sa place, et que le discernement entre une thérapeutique fiable et une autre non fiable, est elle-même validée par la foi en Allah, qui a sa part de raison, de foi en l’invisible, et de principe à Son égard.
24.39.Quant à ceux qui ont mécru, leurs actions sont comme un mirage dans une plaine désertique que l’assoiffé prend pour de l’eau. Puis quand il y arrive, il s’aperçoit que ce n’était rien; mais y trouve Allah qui lui règle son compte en entier, car Allah est prompt à compter.
40.[Les actions des mécréants] sont encore semblables à des ténèbres sur une mer profonde : des vagues la recouvrent, [vagues] au dessus desquelles s’élèvent [d’autres] vagues, sur lesquelles il y a [d’épais] nuages. Ténèbres [entassées] les unes au-dessus des autres. Quand quelqu’un étend la main, il ne la distingue presque pas. Celui qu’Allah prive de lumière n’a aucune lumière.
41.N’as-tu pas vu qu’Allah est glorifié par tous ceux qui sont dans les cieux et la terre; ainsi que par les oiseaux déployant leurs ailes? Chacun, certes, a appris sa façon de L’adorer et de Le glorifier. Allah sait parfaitement ce qu’ils font.


Mariage, Divorce et Société

Tu n’as pas le droit de sous-entendre que la personne avec qui tu vis est mauvaise, le droit qu’Allah te donne cest de reconnaitre et affirmer que ses agissements ne te plaisent pas ou t’insupportent, et pour cela Allah a réservé une action qui est le divorce à défaut de vous réformer pour vivre dans l’affection, la bonté et la bonne entente. Le mariage et le divorce sont basés sur la confiance en Allah et la crainte de Lui. Tel est le cadre de la jouissance de nos goûts, sentiments et désirs charnels, car cest eux qui jouissent par nous, et que nous, nous n’avons qu’Allah qui nous apaisera et nous comblera vraiment.Quand on comprend que nos sentiments, nos emotions, nos corps nous sont assujettis dans la voie de l’amour d’Allah exclusif, on fait, on donne et on prend avec juste mesure. Ne laissons pas nos différentes parcelles physico-psychiques nous corrompre.

Réformons et unifions nous comme la prière nous apprend à interrompre nos égos à l’unisson.

Voilà ce que c’est de soumettre nos passions à la raison. Et voilà ce que c’est que de ne pas dévier de la Justice.


Hey Aïcha ! Qu’est-ce que tu fous ?

Salam, je je je , demain un accident ou maladie, et plus de cheveux à montrer, plus de minois-appât à exhiber, et on se retrouve tout bête, ridicule, rabougri et honni : le virtuel n’est que ce qu’il est tandis qu’Allah nous appelle à quelque chose de Supérieur et d’assurément vrai.
Tous les jours le smartphone en main, madame se demande ce qu’elle va « créer » ? Et sans smartphone, tu crées quoi, avec quoi ? Que fais tu de tes mains et de tes muscles?
Tu sculptes ? tu peins? tu bricoles ? tu maçonnes ?Tu construis un canapé-locomotive ?
La créativité ce n’est pas piquer et choisir à loisir dans la Créativité d’autrui en la vendant à vil prix, mais c’est se Salir et se Blesser les mains, c’est se retrourner dans son lit face à la page blanche et le Souci de la vie-la Vérité ; c’est suer dans son for-intérieur et à bras le corps, c’est retourner dans tous les sens le visage de ses idées, car seul subsistera le Visage d’Allah plein de Majesté et de Gloire.


Aïcha, qu’est-ce que tu fous ?
Pauvre papa qui t’a appris le hijeb peut-être trop tôt, maintenant t’as besoin de goûter la vie des midinettes, et tu t’affilies aux laïcs sans dîne, pensant trouver le charme et l’appât du « savoir se vendre »(à vil prix) sauf que tu crois dans ta bêtise, qu’il sagit de créativité. Disons Ok, tu te crées Marchandise, et ainsi sans hijeb, tu serais plus vendable ma soeur.

Aïcha qu’est-ce que tu fous ?
C’est quoi pour toi l’histoire des Prophètes que tu connais si bien ?
C’est quoi le Coran que tu sais psalmodier en vain ?
On dirait que dès lors qu’ils t’ont fait gagner du Fric, ils ne valent plus rien, car il te faut désormais toujours plus de fric.
Hey meuf, le fric n’est pas le Paradis ! Non, ici, c’est pas encore le Paradis mon bébé.

Aïcha qu’estce que tu fous ?
Pourquoi t’as mis des facettes dentaires ?
Tes dents elles étaient bien Wallahi,
En Hijeb t’étais une reine capricieuse certes, mais ton défaut c’est que tu aimes dominer, trôner, et quiconque agrée l’égoïsme et l’orgueil s’égare certes du chemin car notre part en cette vie, c’est de jouir de La ilaha ila Llah à pleines dents et en y mordant avec les molaires.
Aïcha t’as foutu la honte à ton frère Abdelmonaïm, à ton papa et à ta maman, tout ça pour mettre des collants et enlever ton voile, montrer tes poils de tête, espérer qu’on te trouve belle et libre avec ton pénis à lèvres le rouge en stick, parce que pas assez de foi pour supporter la légèreté d’un voile, c’est quand même fou.
Aïcha, qu’est-ce que tu fous ?


C’est incompréhensible ton libéralisme après avoir gagné des montagnes de tunes sur la religion,
Aïcha, Allah n’aime pas l’incohérence, la turpitude et la désobéïssance.


Le virtuel peut disparaître de même que ton nombre d’abonnés ; tu te retrouverais humiliée car la petite aicha aurait le droit de jouer à la poupée avec sa propre personne adulte après tout, sauf que tu es une femme de la Ouma, jusqu’à preuve du contraire, Aïcha.

Aicha, depuis que tu as commencé à gagner du fric à gogo, tu n’as fait que te séculariser et le commerce est devenu ton habit, ton habitude, ton habitât, où ton âme musulmane n’est plus.
Non Aïcha tu n’es pas créative, tu ne sais même pas dessiner, tu ne sais même pas endurer.
Pour être créatif il faut se contenir à gogo pour se canalyser et produire de la lumière utile, mais ton loulou de Mounir et toi, vous vous servez des autres pour faire de l’argent, avec permissivité, vous devenez des marchants du temple ; vous voulez tout vendre ; et quand il ne restera que votre argent, il ne vous sauvera pas, ne vous nourira pas, ni ne vous rendra la santé ou ce que vous vendez là à vil prix : l’anse la plus solide qui ne peut se briser vous fuit à jamais déjà !


Aicha, Si tu lâches la corde d’Allah pour sourire aux riches sécularisés, Allah n’ira pas te rattrapper, car ceux qui tournent le dos au rappel d’Allah, Allah leur assigne des démons qui deviennent leurs compagnons inséparables.
Ce Hâbl d’Allah il faut la mordre, C’était pour ça les facettes Aïcha ?
Mais tu préfères jouer au « smile colgate » avec tes makeup et tes filtres donnés gracieusement par Instagram ta nouvelle Qibla, ton nouveau Dhikr, ta nouvelle Kaaba.
Vas y souris, fais toi jolie,
Souris à tes démons du virtuel, après tout, ils te font gagner de l’argent et ton théâtre se doit reluisant pour tes tickets vendre.

Et puis tu connais la critique toi ? C’est flagrant que non, car tu fais absolument tout ce que tu veux, petite fille à papa, qui ne connaît ni la jungle, ni l’art de se construire une hutte, ni l’art de manier la perceuse ou le burin, ni l’art de coudre un truc à la machine, ni l’art de gueuler dans le métro sur des ados qui font n’importe quoi.

Non tu n’es pas créative, tu es commerciale, et tu vends ton Dîne à vil Prix.

Les Ouigours, les palestiniens les Yéménites et les syriens sont-ils tes frères Aïcha ?

Pour eux et pour la Foi qui a fait de nous des frères, tu n’es pas fichue de porter 5 grammes de Fichu en guise de piété visuelle, tactile, enveloppante et affiliatrice.


Je te souhaite de t’en sortir,

Salam aleykom wa rahmatuLlah.


Dépendre de la Fraternité

Notre dépendance à la fraternité de foi, celle-là même qui dépend de la pure piété, est ce qu’il y a de plus beau au monde après le Créateur des mondes


Oui, je commence à te connaître, mon virtuel

Tu viens de dire que je commence à te connaître, mon cher frère.
Cette phrase me fait réfléchir beaucoup, et me donne le sentiment particulier que tu vis à travers le net comme à travers une armure mon frère, peut-être au point d’oublier cette composante virtuelle entre nous, qui fait que tu n’es que partiellement là bien que ta présence soit quelque part et que tu aparaisses à nos sens de temps en temps.
Ton existence et tes apparitions à mes côtés ne sont pas rythmés par le train-train quotidien, le partage d’une activité commune, le partage d’une proximité physique et d’apparitions réelles.
Tu n’es pas parmi le vrombissement des voitures, du métro, tu n’apparais pas dans les lieux que je traverse. Nous ne partageons pas d’espace en commun, ni salle de cours, ni lieu convivial, et même si je perçois des échos de ta personne je ne sais pas si je peux dire que je commence à te connaître, ni si je te connais vraiment, bien que je t’aime en Allah avec certitude.
Tu m’apparais comme en binôme avec le virtuel ; un virtuel auquel je réfléchis souvent. Et qui m’est de plus en plus désagréable à envisager. Toi tu es toujours aimable mais le virtuel est détestable, car il donne une image et une voix d’un frère qui n’est jamais là, qui ne rend pas visite, qui ne prend pas la main, qui n’aide pas à porter les courses. Qui ne bâtit pas de ses mains, qui donne de son image et de sa voix qui se répètent, mais personne ne construit avec un visage et une voix quand bien même ces deux composantes expriment les plus beaux discours.
Personne ne vit longtemps avec un coeur artificiel et aucune relation virtuelle ne remplace la connaissance réelle. Évidemment « connaître » exprime la satisfaction de savoir, savoir quoi ?
Je ne pense pas qu’il y ait une fraternité qui se vive via internet, je pense qu’internet nous perd et nous égare, nous frustre et nous offre simplement une soupape à une réalité si dépourvue d’islam et de fraternité, qu’on fantasme l’Islam sur la toile, en faisant passer le temps de nos vies misérables et manquées.
Ne pense pas à une attaque ou quelque véhémence, je parle en toute sincérité.

Le virtuel n’est pas notre ami, c’est un outil que nous utilisons beaucoup par lâcheté et par individualisme normalisé

Le virtuel n’est que le cache misère de nos vies égarées et islamiquement dépourvues de fraternité.
L’individualisme nous a refaçonnés et conditionnés à reproduire l’individualisme. La fraternité nous a quittés de même que l’Islam, celui qui nous apprit sous l’égide du Messager d’Allah, que les croyants ne sont que des frères, et que c’est une abomination que de dire ce que vous ne faites pas.

Qu’Allah nous aide à sortir de l’individualisme et son virtualisme libéral, amîne.
Qu’Allah nous aide à sortir des conforts vers lers confrontations et les heurts utiles, ceux qui feront triompher la Vérité, quelque répulsion qu’en aient les criminels.



les habitudes en dictature

Morte bientôt qui suis à toi,

ta précieuse sœur pleine de couleurs,

Je décèle bien dans là dans ton cœur
Qu’il te faudrait plus qu’une épouse.
Mais il vrai je le concède, que femmes entre elles sont très jalouses

Et que chacun n’a pas moyens : renouveler les fruits d’amour par des ruisseaux fêlant roche dure.

Les âmes parfois sont bien trop dures
Peur de parler, peur de sourire et ressentir !
Les habitudes en dictatures,
Loin de la vie vivante et pure.

Les couples ne sont que des armures, plus des habits, plus des sutures,

Et religion est devenue ce grand patchwork plein de coutures et plein de noeuds doubles et serrés.

Loin des éthers et des droitures
Faisant les pieuses alliances qui durent !
Loin du rappel des signes d’Allah qui fait de lavie Son alliage,
Et tu es là dans ton silence, sans thérapie à ton village,
Et tu es là sans La Confiance
Maintenant les planètes sans cages.

Homme de café,
Dans sa fumée jouant aux cartes,

Futur scellé aux noeuds durs
Imam frustré, soeurs sans bébés
Communauté
Qui rampe a terre

Loin de l’islam à l’apogée
D’une vie de paix et de lumières


Vote : Casper le gentil petit fantôme

Casper gentil petit fantôme
Le vote n’est pas une question de goût ni de conviction ni un devoir mais une séquence pénible où on joue le jeu sans jamais sentir l’authenticité de la chose. Je n’arrive pas à voter avec joie. Je n’arrive pas à voter avec espoir. Je n’arrive pas à voter avec conviction, je joue le jeu mais je ne vote pas vraiment car ceux pour qui l’on vote et le système dans lequel on vote est l’esclave du marketing politique. Du coup par amour et respect de mes concitoyens qui y croient je joue le jeu mais je n’y crois pas. Non, je ne peux pas croire à quelque chose qui n’inclut pas ma foi. Non ma foi n’est pas seulement à la maison . Oui ma foi est trop méconnue par la faute d’un académisme et d’une classe politique médiatique impérialiste qui fait tout pour empêcher de s’instruire à son sujet. Si ma foi était connue elle offrirait mieux que tout ce que propose la république, elle proposerait son équivalent avec sa corruption des cœurs et ses amours du pouvoir en moins, donc j’attends de voter pour ma foi. En attendant on fait comme on peut. Humains je nous aime et j’espère pour nous, avec ma foi.


https://www.youtube.com/watch?v=cREjYXAIhGA


Fémini… euh ?


fusions et biais passionnels


Adorer la raison à la place de celui qui en fait notre outil

On a utilisé sans cesse notre raison, qui nous a menés à la réussite physique et matérielle si bien que nous l’avons divinisée. Aujourd’hui c’est elle que l’on divinise encore à la place d’Allah, lui attribuant science, puissance, prestige et perfection, nous détachant en cela du Mystère, en persécutant les Prophètes et ceux qui les suivent, car nous sommes devenus accro à la raison, au point de l’utiliser davantage pour la ruse que pour l’humilité due à la Vérité ; nous sommes devenus accro au goût de l’arrogance, celle là même qui nous écrase, nous avorte ; nous bombarde ; nous génocide.

Nous avons pris goût, enivrés et nous y perdons encore la tête, essayant de transiger avec l’arrogance qui nous achève.

Où nous mène la raison sans foi ?

N’est elle pas cette partie de cerveau qui ne se relie pas au-delà des intérêts immédiats ?

Comment transcender nos petitesses, nos ingratitudes brutales et orgueilleuses ?

Comment faire de soi le ferment de la foi par cet outil de la raison ?

Comment voir sincèrement dans un smartphone la volonté divine et non pas la puissance technologique et verrouillée de l’Entité Occident ?


Jouisseurs professionnels



Aujourd’hui je me pose mille questions sans visage, sans rivage,
Et ce nuage me renvoie à un naufrage.

Aussi, la poétique et les émotions devraient pouvoir m’aider,

A comprendre pourquoi la rage n’a plus de voix sous les ravages
De l’insouciance des jouisseurs professionnels.

Comprendre.
S’il est bien une tâche importante dans la vie, c’est de comprendre.

Aussi, s’il nous semble ne pas saisir le détail, s’il nous semble ne plus suivre la diction,
Alors contentons nous de Qui nous porte et nous oxygène ici et maintenant.

Contentons nous de voir et dans le noir de ressentir notre précieuse respiration.

Contentons nous de remercier Celui qui nous permet de Le savoir
Sans jamais agréer Sa trahison.

Voyons, réfléchissons.
Notre psyché collective semble voler en éclats sous l’implosion des divisions.

Chacun pour soi dit la chaîne YouTube,
Le monde est en feu,

Mais la frénésie est aux selfies et aux stories.

Mon frère-ma soeur, tu vois ?

Il a trop de selfies et de stories.
Il y a trop de déchets dans la nature,

Trop de fantasmes, trop de délires ;
Trop de plastic dans vos actes d’adorations

Tu copules avec instagram,
Et tu accouches l’ostentation

Tant que les pauvres c’est autrui,
Tout te sourit, tu ne crains rien.

Je ne sais pas comment on fait
Pour croire qu’être riche va nous sauver.

Je ne sais pas comment on fait,
Pour faire comme si « Tout ira bien, le mal n’arrive qu’aux étrangers ».


Sais-tu ma satisfaction la plus totale ?
Être opposée à ces plaisantes perversités ;

Être opposée m’emplit de paix,
Être Lucide m’emplit de sérénité


Tu as beau remplir tes Rs de ton faciès,
Viendra un jour de vérité,

Que je désire sans me vanter.


Souffrance ou science ?

Prendre garde à Qui, et vis-à-vis de qui/quoi ? On témoigne encore trop souvent de contenus à teneur prétenduement religieuse, qui sont dans les faits et avant tout, des contenus pleins de souffrances brutes. C’est pour cela que j’ai tenu à rappeler que la souffrance n’est pas une connaissance partageable, mais l’épreuve qui nous atteindra tôt ou tard dès lors et au moment qu’Allah l’aura prescrite pour nous. Par l’ordre d’Allah nous sommes libres et bénis, car celui qui craint Allah d’une crainte de dépendance n’est en rien comparable à celui qui craint et suit les taghout. *Quiconque croit en Allah et mécroit aux taghout saisit l’anse la plus solide qui ne peut se briser et Allah est audient et omniscient Le rappel d’Allah est certes ce qu’il y a de plus grand et Allah sait ce que vous faites… La vérité vient de ton Rabb, ne sois donc pas de ceux qui doutent Et Nous avons désigné parmi eux des dirigeants qui guidaient (les gens) par Notre ordre aussi longtemps qu’ils enduraient et croyaient fermement en Nos versets*☝


Une soupe malhonnête


Comment se démarquer sans tomber dans l’arrogance


Musulman sur le web ?


Ô hommes, Craignez votre Seigneur

Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être, et a créé de celui-ci son épouse , et qui de ces deux là a fait répandre (sur la terre) beaucoup d’hommes et de femmes. Craignez Allah au nom duquel vous vous implorez les uns les autres, et craignez de rompre les liens du sang. Certes Allah vous observe parfaitement…
Et ne dites pas de ceux qui sont tués dans le sentier d’Allah qu’ils sont morts. Au contraire ils sont vivants, mais vous en êtes inconscients. Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants, qui disent, quand un malheur les atteint : « Certes nous sommes à Allah, et c’est à Lui que nous retournerons ». Ceux-là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la miséricorde; et ceux-là sont les biens guidés…
…Les Musulmans et Musulmanes, croyants et croyantes, obéissants et obéissantes, loyaux et loyales, endurants et endurantes, craignants et craignantes, donneurs et donneuses d’aumônes, jeûnants et jeûnantes, gardiens de leur chasteté et gardiennes, invocateurs souvent d’Allah et invocatrices : Allah a préparé pour eux un pardon et une énorme récompense…
…Ne regarde surtout pas avec envie les choses dont Nous avons donné jouissance temporaire à certains couples d’entre eux, ne t’afflige pas à leur sujet et abaisse ton aile pour les croyants…
…Et concourez au pardon de votre Seigneur, et à un Jardin (paradis) large comme les cieux et la terre, préparé pour les pieux, qui dépensent dans l’aisance et dans l’adversité, qui dominent leur rage et pardonnent à autrui – car Allah aime les bienfaisants – et pour ceux qui, s’ils ont commis quelque turpitude ou causé quelque préjudice à leurs propres âmes (en désobéissant à Allah), se souviennent d’Allah et demandent pardon pour leur péchés – et qui est-ce qui pardonne les péchés sinon Allah? – et qui ne persistent pas sciemment dans le mal qu’ils ont fait.
Ceux-là ont pour récompense le pardon de leur Seigneur, ainsi que les Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux, pour y demeurer éternellement. Comme est beau le salaire de ceux qui font le bien! Avant vous, certes, beaucoup d’événements se sont passés. Or, parcourez la terre, et voyez ce qu’il est advenu de ceux qui traitaient (les prophètes) de menteurs. Voilà un exposé pour les gens, un guide, et une exhortation pour les pieux. Ne vous laissez pas battre, ne vous affligez pas alors que vous êtes les supérieurs, si vous êtes de vrais croyants.
Si une blessure vous atteint, pareille blessure atteint aussi l’ennemi. Ainsi faisons-Nous alterner les jours (bons et mauvais) parmi les gens, afin qu’Allah reconnaisse ceux qui ont cru, et qu’Il choisisse parmi vous des martyrs – et Allah n’aime pas les injustes. et afin qu’Allah purifie ceux qui ont cru, et anéantisse les dénégateurs.
Comptez-vous entrer au Paradis sans qu’Allah ne distingue parmi vous ceux qui luttent et qui sont endurants? Bien sûr, vous souhaitiez la mort avant de la rencontrer. Or vous l’avez vue, certes, tandis que vous regardiez ! Muhammad n’est qu’un messager – des messagers avant lui sont passés – S’il mourait, donc, ou s’il était tué, retourneriez-vous sur vos talons? Quiconque retourne sur ses talons ne nuira en rien à Allah; et Allah récompensera bientôt les reconnaissants. Personne ne peut mourir que par la permission d’Allah, et au moment prédéterminé.
Quiconque veut la récompense d’ici-bas, Nous lui en donnons. Quiconque veut la récompense de l’au-delà, Nous lui en donnons et Nous récompenserons bientôt les reconnaissants. Combien de prophètes ont combattu, en compagnie de beaucoup de disciples, ceux-ci ne fléchirent pas à cause de ce qui les atteignit dans le sentier d’Allah. Ils ne faiblirent pas et ils ne cédèrent point. Et Allah aime les endurants. Et ils n’eurent que cette parole : « Seigneur, pardonne-nous nos péchés ainsi que nos excès dans nos comportements, affermis nos pas et donne-nous la victoire sur les gens mécréants ». Allah, donc, leur donna la récompense d’ici-bas, ainsi que la belle récompense de l’au-delà. Et Allah aime les gens bienfaisants. Ô les croyants! Si vous obéissez à ceux qui ne croient pas, il vous feront retourner en arrière. Et vous reviendrez perdants. Mais c’est Allah votre Maître. Il est meilleur des secoureurs.
… Et Dhoû-n-Noûn (Jonas) quand il partit, irrité. Il pensa que Nous N’allions pas l’éprouver. Puis il fit, dans les ténèbres, l’appel que voici: « Pas de divinité à part Toi! Pureté à Toi ! J’ai été vraiment du nombre des injustes ». Nous l’exauçâmes et le sauvâmes de son angoisse. Et c’est ainsi que Nous sauvons les croyants. (…)


Prisme d’Unité

Mon petit frère Diamant, j’espère que tu bosses bien,
et qu’Allah fait de toi chaque jour un homme d’avantage fort et aimant,
j’espère que tu m’aimes autant que se le doivent les croyants,
et que je mérite d’Allah Son agrément.
Mon petit frère Diamant,
Sache que je rêve du Mont St Michel,
au milieu des marrées, au milieu du sel et du ciel
Avec ses clochers, ses ornements divers, ses ogives et ses toits fuselés, ses gargouilles, ses pavés, ses balustres,
ses chemins escarpés aux pierres douces érodées.
Sache que je rêve du Mont St michel,
Mon cerveau lui invente des rivières et des forêts où des petits singes habillés commercent, sur des barques colorées embarqués animés d’une féérique habileté.
Oui je rêve du Moyen-Âge,
Je rêve de mille et unes images,
Je m’ennuie-me languis, au milieu de mes pages,
d’un Divin paradis réunissant les pieux ; les sages
Un paradis où matelot ne craint plus les orages,
Où les amis se respirent et partagent, un même coeur transparent.


L’imam qui savait se vendre à vil prix(Mouniron)

Mouniron peut adorer avoir des tunes, qu’il le fasse mais sans y mêler la religion. Il peut aimer l’argent,le confort et le succès mondain, mais qu’il commerce sans mêler la religion à son empire de publicité. Il peut adorer le confort et flipper que le RAID casse sa porte, qu’il nous dise la vérité sur son départ au Maroc et qu’il arrête de vernir son discours pour le marketing de son activité lucrative de « youtubeur maître Zen ».
Qu’il devienne commerçant, qu’il arrête de tout mélanger, faisant du marketing une nouvelle démarche existentielle. Lui-même d’ailleurs est de plus en plus indéfinissable autrement que par des termes tels que « gourou » et « charlatanisme » : il n’est pas un simple croyant, pas un simple imam, pas un simple frère, pas un étudiant en Religion, mais il fait partie de ceux qui « savent se vendre » : il veut tout faire et être tout ce qui rapporte la tune à lui plutôt qu’à d’autres. Faire partie des « influenceurs » qui de surcroît vendent du rêve en y laissant leur religion à vil prix puisque Youtube et Instagram le leur a permis. Mouniron, il incarne le besoin de bonne conscience de toutes les personnes sachant bien au fond d’elles qu’elles ont vendu leur religion à vil prix.
Ses suiveurs cherchent des tutoriels faciles comme pour jouer facilement une partition, sauf que pour la religion d’Allah ça ne se passe pas comme ça et qu’il faut lutter avec ses biens et sa personne. Etre éprouvé aussi. la raison pour laquelle il les attire en masse ses suiveurs c’est qu’il prêche pour une religion qu’il invente en en cachant une partie, la rendant complaisante ; car l’islam le vrai ne convient plus vraiment à des gens devenus des consommateurs de premier plan, il faut l’adapter au marketing tout puissant, et ne surtout pas se faire violence dans ce culte du confort et du divertissement.Avec des gens au profil de Mouniron, dans 40 ans, il ne reste plus que des homosexuels et des lesbiennes, des transgenres et d’autres détritus de la psyché humaine.
Ce mec il désintègre toute la religion, mélange tout, devient presque une escort girl.
Il accepte tout, tant que c’est étiqueté halal par l’esprit cupide dont il fait son éthique avec son épouse au hijab moulant, et dans sa démarche, tout dit qu’il est très important de profiter de la vie et d’être un égoïste « équilibré », « épanoui » qui « prend soin de soi » et ceux qui fonctionnent ainsi diront que les gens attachés à la 3aqida sont « jaloux », évidemment.
Mouniron il veut être au dessus des gens tout en prétendant être un homme simple pour les simples d’esprit ; c’est pourquoi il fait maintenant de son nom un logo, une marque, une distinction, une effigie, une concurrence.

Croit-il pouvoir berner Allah et les croyants ?
Allah a tout révélé, les mauvais stratagèmes sont anciens et connus même s’ils changent de forme ; l’encre a séché, et une chose est sûre, les suiveurs de Mouniron se disputeront avec lui au yawm el kiyama sur ce qui aura causé leur perte, le suiveur accusant le maître et le maître renvoyant la faute au suiveur.

wal l hamduliLlah pour ceux qui sont clairvoyants et luttent pour ne pas se dévoyer.

Toute ressemblance avec des personnages existants serait purement fortuite


Muslim conquête

Cette envie de choisir, te laisser m’envahir
Cette envie de partir, vers un autre avenir

Cette envie de goûter aux fleurs d’un univers
Dont nos pleurs du passé arrosent les ouvertures

Cette envie de te dire, cet espace à combler,
De prières, d’esprit ; de vide et de pureté

Cette envie de laisser l’oxygène purifier
Ma présence spontanée par l’écoute aérée

Cette envie d’écouter du plus profond de moi
Cette envie d’accueillir, ce qu’en l’état, on ne peut pas cueillir

Cette envie de prier, vers un ciel sans années
T’abandonner mes oeuvres, Te laisser l’avenir

Te laisser parvenir à rectifier mes lignes
Te laisser parvenir à fortifier ma foi

Cette envie de lâcher pour mieux se maintenir
S’alléger des fardeaux, te laisser mon futur

Cette envie de laisser ta force et ta noblesse
Faire de moi plus de force, de terre et de hardiesse

Me laisser recouvrir de largesse invisible,
Comme on entre sans parler, dans un temple indicible

Te confier de comprendre, de saisir mes espoirs,
En leur portée certaine

Car Lui seul est mon espoir

Ressentir ta lumière dans me fibres,
Purifier ma présence de structure,
Respirer une lumière partagée et plus sûre,
Fortifier tout mon être,

De la Piété qui dure


Invités aux idoles

Il y a des nuits où le sommeil nous quitte,

Des nuits où l’on se demande sans force
Si on dormira demain,
Et comment on peut trouver la force
D’affronter ce qui vient

Des nuits où les maisons s’éteignent
Nous laissant sans chemin,

Des nuits où ma maison rallume, un passé qui subvient

Empêchant de dormir tranquille, recherchant le chemin
Vers une voie au milieu des étoiles
Sans idoles aveuglant le chemin

Une voie au milieu aérien

Retrouver l’origine dans la mémoire qui dort,

Réveillés dans la nuit,
déréglés pour un bien.