Si chacun pouvait se dire, et s’y tenir
J’ai en moi une connaissance que j’ai oubliée
J’ai en moi un savoir que j’ai assourdi
Je porte en moi une conscience etouffée,
Une vision aveuglée,
Je porte en moi l’oubli et la conscience,
Vais-je donc ouvrir l’inconscience et m’y perdre,
Vais-je ouvrir l’apparence du savoir en me détouranant des mystères
Ou bien transformer mon oubli en mémoire vivante, qui se rappelle, et s’humilie d’obéissance et de soumission à Allah ?
Votre commentaire