je vieillis vers la véritable vie
Voir la vie défiler sous ses yeux; s’occuper à œuvrer sans trouver de quoi arrêter ce Temps ;
Qui fit oublier les aïeux.
Le temps passe et bientôt mon je trépasse
Dents jaunies et caries
Et bientôt dans ma peau les stris
Et mon corps au dedans, se fissure,
assuré d’une mort certes autant proche que future
mes cheveux noirs amoindris, virant aux tons blancs et gris,
et mon âme qui appelle dans ses cris
l’ultime et véritable vie.
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