Les petites féministes
Dans un monde en désordre, où la publicité et le fantasme transforment l’intelligence en pacotille,
Où le plaisir du Moi devient ce sacrilège envers des gens que l’on bafoue et torpille.
Dans un monde devenu monstre et lard ; où le principe est devenu le plus grand préjudice.
Par un monde où le bonheur coule son cours hagard dans les caniveaux ruisselant la pisse.
En ces temps corrompus qui massacrent, qui pillent, qui polluent et qui piquent
Je voulais dire un mot sur notre toxique le féminisme,
Afin que nos cœurs se rappellent que la pire des violences est celle des hypocrites,
Qui de leur langueur de se fêter elles-mêmes dans leurs délires orgasmiques
s’indiffèrent avec faste, à la Justice.
Mon Quran aujourd’hui encore m’a éclairé sur d’inconscientes topiques
Sur ces petites sœurs trompées ; suivant les pas de l’antéchrist ;
et plus que jamais je les défie
de redoubler de complaisants mensonges soumis, de leurs féminins caprices
car se tromper toute seule est une chose,
Mais mentir de la Lumière en est autre ;
Alors petite sœur fais attention quand on te flatte et te gâte de redoublées attentions,
prends garde à ne pas négliger ton Coran.
Une femme libre est de celles qui soignent les maux du monde ;
Non de celles s’attaquant, à l’homme pieux du Coran.
Une femme libre nous apprend
Le respect d’un Coran Ouvrant ;
Non le jeu galant qu’a sû fomenter Satan.
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