A la recherche du support
Entre les médias lucratifs qui ne cessent de manipuler l’opinion, et l’opinion hypocrite qui veut bien suivre les médias lucratifs,
Entre la religion pure et les âmes crasses, qui se prétendent religieuses en fantasmant assidument leur individuelle gloire pharaonique.
Entre la gloire d’une réussite utile et éclairante, qui apporte ses bienfaits, et la gloire malsaine idolatrante, qui éloigne de tout bienfait,
Le chemin s’avère éprouvant et long.
Entre des études qui rendent orgueilleux et la sagesse qui ne peut être forte sans études,
Entre la prétendue foi d’un prétendu dévot, et la force unifiante d’un groupement d’humains sur terre,
Laisse moi méditer ce que nous devons produire, et comment nous devons nous aménager, pour sentir le parfum pur et lointain, d’une victoire qui soit enfin réelle.
Les fils sont emmêlés en nœuds de par nos hypocrites insouciances,
Quand l’araignée la plus vorace et la plus venimeuse, n’embrouille jamais son dessein clair de capturer sa proie.
Et nous, les prétendus croyants, de toutes nos forces nous faisons quoi ?
Nous sommes lâches de toutes nos prétentions, lâches de tout ce que nous adorons et espérons en dehors d’Allah.
Lâches, impurs et parfois maléfiques, de porter en nos espoirs profonds, l’espoir d’un effrayé et prétentieux pharaon.
Lâches de nos incohérences, en prétendant la plus pure des religions.
Les massacres augmentent et nous nous divertissons, acclamant avec passion, une jeune femme dont le bleu de ses yeux nous rappelle le ciel dont Allah nous a fait un toit pourtant sans brèche.
Les massacres augmentent, mais nous nous divertissons, confondant par les canaux d’une âme malade, la publicité du mensonge, et la piété de l’équité.
La femme porte désormais un string, à la recherche du support, toujours plus près de ses endroits intimes, au point que le sens de la Justice y est mort.
Je me demande quel genre de valeurs en soi on porte, quand je vois autant de misère, à mesure que l’envie des gains matériels dans nos esprits l’emporte.
Les hommes, efféminés, n’ont désormais de virilité que la fornication, où leur équité y est morte.
Le materiala de support, on en a tous besoin, mais pas pour se pervertir ; mais pas pour en rêver jusqu’à oublier Allah, et ne plus montrer que ce qui pousse l’âme aux grands suicides.
Comme ces femmes ressemblant aux juments sur lequelles les cavaliers montent.
Mes sœurs ont des formes, on leur dit de porter des habits qui les rendent toujours plus nues jusqu’à la décomposition de leur valeur, mais elles obéissent comme par amour, de ce qui nous pervertit.
Mes frères sont des mâles, mais plutôt que l’honneur, ils sont tombés parfois bien mal, avec des sœurs qui kidnappent leurs âmes, dans les méandres de ce qui les hypnotise et les rend mal.
Normal, leur paternel, c’est devenu l’Etat, un état qui pille le restant de la terre en vantant ses doigts, un Etat laïque et sans âme, se faisant même passer pour leur douce maman, les poussant à la fornication, et aux avortements, et à devenir bientôt de toutes les frustrations, des vitrines avec à la place des sexes, leurs visages et dans leurs cœurs, la main de Satan !
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