Polygamie, cœur de la nature humaine
C’est à la lumière de la polygamie qu’il faut pouvoir penser les mariages et les divorces, qui sont des cadres aux libertés.
En général les époux sortent affaiblis d’un divorce, mais moins dans le cas d’une polygamie, puisque la famille comme la société sont plus riches de ressources humaines , doctrinales et émotionnelles.
Avec la polygamie au centre de notre conception des unions et des familles, l’interaction sociale est facilitée car l’amour est libéré et non pas raréfié.
Les hommes ne peuvent aimer avec leur libido que s’ils sont responsables, quant aux femmes, si elles n’aiment plus leur époux, elles divorcent avec plus de facilité, d’autant qu’elles vont se remarier avec plus de facilité.
Quant aux couples qui durent dans leurs multiples alliances, ils cultivent leur expérience et leur reconnaissance aux bienfaits d’Allah confirmés.
El polyamor en la polygamia
Ce qui est vraiment sublime avec la polygamie, c’est que ça soumet les femmes à l’ordre d’Allah, de sorte qu’elles ne puissent plus de soumettre les hommes par quelque lien affectif ou émotionnel utérin et intestin.
L’homme est beau quand il est libre. Soumis à la gente féminine il devient avili.
Soumis à Allah, il gère la gente féminine en digne khalife, sans tricher, sans violer, sans flirter et sans badiner avec cette libido qui fait sa force.
C’est de cela que nous les femmes avons besoin : de la clarté, de la force, de la stabilité émotionnelle et protectrice en guise de frein à notre hyper susceptibilité émotive, laquelle vous fait péter les plombs, vous soumet et vous stresse, en faisant de votre harmonie espérantielle, un dramatique paillasson en guise de porte à toutes les perversions.
Le culte pur : purifié de nos prétentions, solide de nos sincérités
Moi, je suis la Reine, je dis bien la REINE des imparfaites, et c’est ce qui fait ma force : j’aspire à cette perfection par Allah Seul, qui nous purifie par Son appel de Haqq(Vérité).
Je dis caca boudin et plein d’autres gros mots pas beaux.
Je peux aussi dire merde, pute, la con de ta race, et tout et tout.
Je suis fière d’avoir la puissance de dire occasionellement ces gros mots, El hamdu li Llah, car je n’aspire pas à être une POUCAVE.
Je ne fais pas partie de celles et ceux qui jouent à se faire beaux alors que leur âme sent la merde et la crasse, la lâcheté, l’hypocrisie de la traitrise, la duplicité et j’en passe, comme Shaytane lorsqu’il te dit qu’il est avec toi, et qu’il te laisse ensuite, comme une merde, hachak.
Je suis imparfaite de chez imparfaite, mais tu peux pas t’imaginer à quel point, par contre J’adore le PARFAIT plus que tout au monde, et je t’affirme dans ta gueule qu’il n’est nul associé à Lui.
Ca donnera une certaine punchline dans ta gueule.
En te rappelant qu’un jour je rendrai l’âme à Allah, pas à ta mère, ni à ton père, ni ta famille, ni à ton visage aux orbites bouffées par les vers dans ta TOMBE.
Mais sois assuré, que je peux t’aimer fi Llah, et que j’en suis sincèrement capable, juste parce qu’Allah me l’a recommandé et que l’ amour est cette énergie vitale-même qui permet de ne pas aimer ton mal, ton narcissisme de merde hachak, ton ego centrisme, ta manipulation, tes larmes de crocodile, bref, toute la passion qui fait dévier de la Justice.
Ah bon, tu croyais que je devais me retenir de tout ça pour te faire plaisir ? ahahahaha, jamais de la vie.
Et bam, pirouette et cacahuète.
Fin de citation.
Hasta la vista baby.
Cher frère Tariq,
Cher frère Tariq,
Si Allah te ne libère pas tout de suite, alors repose toi dans ta geôle et glorifie le Nom de Ton Seigneur pour ton péché, car c’est Lui qui t’a appelé, à te souvenir que La ilaha ila Llah.
Tu forces le respect car ton intelligence est belle et que tu maîtrises si bien ton savoir dans l’art de parler et de contrer, de te produire, d’écrire, de raisonner et d’enseigner.
Cependant, tu es censé bien connaître le Coran, alors je ne t’apprendrai rien.
Tu as été courageux et je n’ai rien à t’apprendre, moi la petite Je D’outre Tombe.
Si à un moment donné tu t’étais pris pour quelqu’un d’autre qu’un Musulman, alors voilà. La réalité de ce monde viendra te rappeler que tu es au mieux un msulman même en prison, et au pire, un orgueilleux de la même trempe que ceux qui complotent contre les soumis à Dieu Unique aujourd’hui.
Entre nous, je sais que la souffrance ou la mort ne sont pas ce qu’il y a de pire, et qu’on espère que la mort qu’Allah nous destine pourra nous libérer pour de bon quand elle arrivera, ce pourquoi on se maintient dans la droiture et dans l’harmonie autant que faire se peut de notre vivant.
Aujourd’hui, grand frère, tu as l’honneur d’être une victime ; l’honneur d’être dans la proximité d’Allah Seul.
Les humains t’ont lâché pour la plupart, parce qu’ils n’avaient pas ce lien à Allah, que certains non musulmans ont d’avantage que les musulmans eux-mêmes parfois, à travers leur conscience de l’équité.
Sans doute ma petite lettre n’est pas constructive vis-àvis de ce que tu vis aujourd’hui, mais nous savons que c’est là l’une des plus belles choses qui pouvait t’arriver.
Par cette épreuve tu es l’invité d’Allah, qui veut te purifier, je n’en doute pas.
Que ton adoration se parfasse, que ton âme se purifie, et que l’agrément d’Allah te gagne, quoi que pensent ou disent les éphémères personnages devant lesquels tu as tant aimé te produire, que tu as aimé séduire, impressionner, humilier, ou que tu as simplement aimé.
Je suis certaine que ce que tu vis aujourd’hui est pour ta Foi une aubaine, et pour les épris de Justice, une occasion de fleurir le champs de cette justice bafouée qu’il t’a toujours importé de défendre.
Si tu es brillant, alors que tu ne sois pas si différent que nos frères et sœurs Palestiniens, Syriens et universels, qui n’ont que les étoiles comme spectatrices de leurs malheurs.
Que la réalité de ce monde te rattrappe, et que tu te purifies loin des podiums et des strass qui ruinent l’existence des Hommes.
Si Allah te libère de cette épreuve, ce sera encore pour toi une épreuve Tariq.
Si Allah te ne libère pas tout de suite, alors repose toi dans ta gêole et glorifie le Nom de Ton Seigneur pour ton péché, car c’est Lui qui t’a appelé, à te souvenir que La ilah ila Llah.
Que tu sois le compagnon de vérité de tous les prisonniers politiques légitimes , plutôt que clown de toutes zones médiatiques aseptisées de solution globale et fiable
Amîn
Ta petite sœur en Allah,
Je D’outre Tombe
#FreeTariqRamadan
Enfermés dans la jurisprudence
Enfermés dans la jurisprudence, la lumière ne leur parvient plus.
Leur foi devient une prétention, et la corruption alors se répand, privée du cadre légal de cette confiance en Allah capable de résister aux tentations.
Ils se disent musulmans, alors qu’ils ont plus peur de leurs filles et de leurs femmes qu’ils ne dépendent d’Allah.
Ont-ils oublié que la foi éclairée de leurs filles vaut mieux que leur injustice à l’égard d’Allah et de Ses créatures ?
Désirant le contrôle absolu, ils ont agit comme si leurs filles étaient inconsistantes et comme si leurs femmes étaient leurs dangers, oubliant leurs propres devoir envers Allah, qui auraient été cette lumière sur elles et cette puissance dans leur conviction aujourd’hui faussée par des légions de jurisprudences.
Les femmes enfermées, devenues darones à temps plein, ont surjoué et fantasmé leur vie enfermée, coupée du monde. Elles sont devenues des législatrices cachées, projetant toute la vie qu’elles n’ont pas enduré, ni partagée, sur ceux qui endurent avec humilité et qu’elles jugent avec tant de facilité ; cette facilité à vouloir se vanter.
Elles estiment que la vie c’est la progéniture, en oubliant que la progéniture doit œuvrer de par un monde qu’elles ne connaissent plus.
Qu’elles confondent avec les murs de leur maison, transformée en théâtre de leurs fantasmes enfermés et dansants.
Elles redoutent le contact humain à la place de redouter Allah, choisissant le contact de tout confort, et reléguant à l’inexistence l’humain qui ne les met pas à l’aise, voire, qui les met en difficulté.
Elles évitent le narcissisme qu’elles n’ont pas accepté d’elles-mêmes ; ce sous-jacent qui les fait agir et qu’elles associent à la piété des pieux d’antan.
Ce ne sera jamais cela l’Islam. Qu’importe vos partisans angoissés et animés de la tension la plus sourde.
Ce ne sera jamais cela l’Islam, car le Quran a déjà tout tracé pour des gens à la croyance et à la parole ferme, qui s’en remettent vraiment à Allah en tout ce qui les concerne.
33.1. Ô Prophète! Crains Allah et n’obéis pas aux infidèles et aux hypocrites, car Allah demeure Omniscient et Sage.
2. Et suis ce qui t’est révélé émanant de Ton Seigneur. Car Allah est Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites.
3. Et place ta confiance en Allah. Allah te suffit comme protecteur.
Droits de l’homme
«Je souhaite fonder ma vie sur un principe, celui de ne pas être un «monsieur tout le monde». Oui j’ai la ferme conviction que tout comme moi si chacun d’entre nous se donne les moyens, nous pouvons laisser une marque indélébile sur cette terre, et ce en portant des valeurs qui peuvent parfois nous faire sortir des sentiers battus.
J’ai appris que les idées ne sont pérennes qu’avec une « croyance et des convictions ».
J’étais du nombre de ceux qui cachaient honteusement ces mêmes croyances et convictions : les secrets des plus vils de ce monde, ces vérités dérangeantes, sur les prisons d’Abu Ghraib, sur Guantanamo, mais également sur la situation dramatique des musulmans à travers le monde, et sur les inégalités infligées aux peuples les plus faibles, de la richissime Afrique.
Parfois poussé par des pulsions de vérité, pleines de certitudes mais en n’étant pas suffisamment sincère pour…
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A la recherche du support
Entre les médias lucratifs qui ne cessent de manipuler l’opinion, et l’opinion hypocrite qui veut bien suivre les médias lucratifs,
Entre la religion pure et les âmes crasses, qui se prétendent religieuses en fantasmant assidument leur individuelle gloire pharaonique.
Entre la gloire d’une réussite utile et éclairante, qui apporte ses bienfaits, et la gloire malsaine idolatrante, qui éloigne de tout bienfait,
Le chemin s’avère éprouvant et long.
Entre des études qui rendent orgueilleux et la sagesse qui ne peut être forte sans études,
Entre la prétendue foi d’un prétendu dévot, et la force unifiante d’un groupement d’humains sur terre,
Laisse moi méditer ce que nous devons produire, et comment nous devons nous aménager, pour sentir le parfum pur et lointain, d’une victoire qui soit enfin réelle.
Les fils sont emmêlés en nœuds de par nos hypocrites insouciances,
Quand l’araignée la plus vorace et la plus venimeuse, n’embrouille jamais son dessein clair de capturer sa proie.
Et nous, les prétendus croyants, de toutes nos forces nous faisons quoi ?
Nous sommes lâches de toutes nos prétentions, lâches de tout ce que nous adorons et espérons en dehors d’Allah.
Lâches, impurs et parfois maléfiques, de porter en nos espoirs profonds, l’espoir d’un effrayé et prétentieux pharaon.
Lâches de nos incohérences, en prétendant la plus pure des religions.
Les massacres augmentent et nous nous divertissons, acclamant avec passion, une jeune femme dont le bleu de ses yeux nous rappelle le ciel dont Allah nous a fait un toit pourtant sans brèche.
Les massacres augmentent, mais nous nous divertissons, confondant par les canaux d’une âme malade, la publicité du mensonge, et la piété de l’équité.
La femme porte désormais un string, à la recherche du support, toujours plus près de ses endroits intimes, au point que le sens de la Justice y est mort.
Je me demande quel genre de valeurs en soi on porte, quand je vois autant de misère, à mesure que l’envie des gains matériels dans nos esprits l’emporte.
Les hommes, efféminés, n’ont désormais de virilité que la fornication, où leur équité y est morte.
Le materiala de support, on en a tous besoin, mais pas pour se pervertir ; mais pas pour en rêver jusqu’à oublier Allah, et ne plus montrer que ce qui pousse l’âme aux grands suicides.
Comme ces femmes ressemblant aux juments sur lequelles les cavaliers montent.
Mes sœurs ont des formes, on leur dit de porter des habits qui les rendent toujours plus nues jusqu’à la décomposition de leur valeur, mais elles obéissent comme par amour, de ce qui nous pervertit.
Mes frères sont des mâles, mais plutôt que l’honneur, ils sont tombés parfois bien mal, avec des sœurs qui kidnappent leurs âmes, dans les méandres de ce qui les hypnotise et les rend mal.
Normal, leur paternel, c’est devenu l’Etat, un état qui pille le restant de la terre en vantant ses doigts, un Etat laïque et sans âme, se faisant même passer pour leur douce maman, les poussant à la fornication, et aux avortements, et à devenir bientôt de toutes les frustrations, des vitrines avec à la place des sexes, leurs visages et dans leurs cœurs, la main de Satan !
Convertir les autres ?
La conviction que Dieu est tout puissant plus puissante que toute conviction de devoir convertir les autres.
Je ne sais pas pour toi, mais j’ai à la fois un respect pour ceux qui le font, et à la fois une sainte horreur d’imaginer le faire à quelqu’un.
Essayer de convertir les gens à sa religion me semble parfois déplacé,
Car le propre d’une religion c’est d’être une synthèse, où la sincérité du serviteur est tout simplement harmonie et conviction telle, qu’elle rejoint l’ordre régissant l’univers. Cela est naturellement beau, harmonieux et donc attirant.
Maintenant, je sais pertinemment que l’être humain porte en lui diverses peurs et tensions et qu’il va tenter de s’en défaire de plein de façons. Il va parfois avoir besoin de se sentir pleinement lui avec sa foi et sa croyance, sans se soucier d’avantage de la sensibilité ou de l’appréciation des tiers. Je pense que cela est normal, et qu’on évolue tout le temps entre partage de nos sensibilités, et heurts de nos jardins intimes dont la nature évolue au rythme d’un climat tout personnel.
Chercher à convertir les autres à sa religion ?j’y vois à la fois un courage de le faire, mais autant on peut y voir un mépris de l’autre et de sa vie et de sa propre synthèse.
Du coup je pense qu’en dehors de la cohérence des croyants qui deviennent irrésistibles d’harmonie, de courage, de sincérité, de patience, il faut juste respecter nos différentes religions car ce sont des différences voulues par Dieu qui est tout puissant.
Dans le cœur des croyants la toute puissance de Dieu devrait occuper toute la place de l’esprit et le libérer, en affirmant sans heurt les particularités personnelles.
Et c’est la seule quête de Dieu en sa toute puissance, qui pourra nous unir et nous mener à nous reconnaître les uns les autres comme des frères et des rangs de la paix, inshallah.
Après le débat est tout à fait merveilleux car il impose la raison à la foi, afin qu’elle se purifie, puisque Celui qui nous a créé nous impose de raisonner et non seulement croire ce qu’on nous dit avec un charme magnétiseur, cela afin de se libérer de toute emprise.
Mais perso, je n’ai jamais eu le cœur aux débats avec autrui, et pour la logique qui m’importe et m’éclaire beaucoup, j’ai toujours préféré la méditation et la curiosité de soi et des autres, qui nous mène au devoir de peser avec équité, et de confier les créatures à Dieu.
Les d’âmes
La libido n’est pas un aliment. C’est une culture sacrée.
La maladie porte bien le maquillage, mais le maquillage ne guérit pas.
La fille pas si vieille mais plutôt mûre, finalement maman de plusieurs enfants, enduit son visage de crème. Dans la composition de son pot fétiche, l’acide hyaluronique. Il fait paraître plus jeune, plus fraiche, avec une peau moins fine et plus épaisse ; il fait monter l’eau.
La meuf prend soin de s’épiler, de se colorer, se retracer ses sourcils, de galber ses lèvres et d’ajuster sa coiffe.
La lumière est bonne, le filtre aussi. le maquillage la fait paraître plus bonne. Comme une poupée qui bouge, avec tellement de passion qu’à travers l’écran, à l’autre bout du web et du monde, tu crois avoir capté son parfum et senti la chaleur des émanations de sa peau.
A fleur de peau la meuf. Musulmane d’étiquette, non pas simplement maquillée un peu, mais ultrasexualisée, bimbo enturbannée.
Les bricolages de styles s’adaptent parfois si bien sur l’humain à ses risques et périls. S’éloigner de la mesure du réel n’est jamais une bonne chose, quand bien même on essaye de se sécuriser en fuyant nos peurs.
La fille nous attend.
Elle va faire une vidéo et la mettre sur internet.
Elle a divorcé pour pouvoir faire ça, elle en crevait d’envie.
Elle voulait être désirable, et gonfler plus librement son énergie de cette délicieuse libido en la libérant du poids d’un mari assigné.
En fait j’avais du mal à comprendre quoi au juste, mais y’avait un truc vraiment malsain.
Peut-être parce qu’elle était à fond dans le chirk, alors qu’il y a tant de filles si belles, si nues et presque innocentes de l’être. Et de tant de femmes divorcées ou mariées, qui sont la lumière même.
Un truc vraiment malsain, un gros problème.
Elle prend plus plaisir à s’afficher dans les regards qu’elle n’en aurait de faire l’amour avec un homme qui l’aime pour elle, pour lui et eux, mais surtout qui l’aime en Dieu, à l’abri des regards.
Elle ne sait plus la valeur de l’humain en elle et en l’autre, parce qu’elle a pris goût à l’idée de comment elle peut susciter le désir chez un maximum de monde, au point qu’elle flippe de la réalité de l’équilibre humain entre enfance et vieillesse, entre santé et maladie, dans laquelle elle sent lui monter l’angoisse de ses propres péchés accumulés.
Les péchés, tu sais, ces incohérences vis à vis d’Allah qui a ramené à la vie, et qui exhorte à la mesure, à l’égalité, à l’équité et à l’utilité assignée à toute chose.
Elle se dit musulmane, pourtant elle veut être plus vue et plus plébiscitée, elle veut être « plus quelque chose » qu’autrui, quand mille filles en colère de ne pas être entendues, sont elles, pures légitimes et polies. Elle se cache derrière l’idée de Dieu pour aller très loin dans ses fantasmes à elle, et ne se sentir exclue au final, d’aucun des deux groupes dont elle se prétend pourtant en vivant sa duplicité charnelle, Plus fornicatrice en désir que tant de libertins.
Elle a assigné à sa libido la place de Dieu, au point qu’elle se joue de tous, dont elle se sert pour mettre son cirque en scène, où chacun de ses membres s’agite avec langueur comme les animaux sont en rut.
Elle se cache aussi derrière l’idée d’une liberté de la femme, pour sexualiser au maximum sa générosité hypocritée de style.
Cette femme est malade, ce n’est pas la liberté qu’elle cherche, mais s’enfoncer d’avantage dans l’aliénation où la pousse son angoisse existentielle parce qu’elle n’est pas véritablement apaisée en Dieu. Son plaisir sexuel a pris la place de la divinité dans son inconscient, la coupant de la vie simple sans strass ni faux semblants. La chose qu’elle rechigne le plus, c’est d’être égale aux autres, et elle croit l’issue et le bonheur dans le sexe, quand cet idéal associationiste occulte jusqu’au soleil et rend le ciel noir et irrespirable.
Se doper de ce qui nous aliène et éloigne de l’apaisement est bien la pire des choses qui soit, et certes, de même que la fille bien n’est pas forcément la sexualisée, la libido n’est certainement pas l’énergie fondamentale à se valoriser, à se sécuriser… et se lier d’un lien d’amour sincère.
L’énergie, l’avenir, la lumière et le succès, c’est Lui, Allah, qui a assigné une mesure à chaque chose.
59.21. Si Nous avions fait descendre ce Coran sur une montagne, tu l’aurais vu s’humilier et se fendre par crainte d’Allah. Et ces paraboles Nous les citons aux gens afin qu’ils réfléchissent.
22. C’est Lui Allah. Nulle divinité autre que Lui, le Connaisseur de l’Invisible tout comme du visible. C’est Lui, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
23. C’est Lui, Allah. Nulle divinité autre que Lui; Le Souverain, Le Pur, L’Apaisant, Le Rassurant, Le Prédominant, Le Tout Puissant, Le Contraignant, L’Orgueilleux. Gloire à Allah! Il transcende ce qu’ils Lui assoent.
24. C’est Lui Allah, le Créateur, Celui qui donne un commencement à toute chose, le Formateur. A Lui les plus beaux noms. Tout ce qui est dans les cieux et la terre Le glorifie. Et c’est Lui le Puissant, le Sage.