Quand on chosifie ses frères
Ma religion est à mille lieues de ce qui s’en dit,
À mille lieues encore de ce qui sévit
Elle est à mille lieues de toute cette hypocrisie,
De ce matérialisme qui fait des gens, des idôlatres bien pourris.
Ma religion n’est pas aux filles malades, de ne pas se montrer jolies
Ni aux garçons frustrés de voir des filles impolies.
Ma religion n’est pas aux pleutres,
Vivant leur vie comme si, Allah ne savait rien de leurs internes machineries
Ma religion c’est cette force en puissance, qui te garde à Allah malgré les tourbillons
Tu te noie et pourtant, ton coeur demeure en quête de Lui, et de Lui seulement
Ne cherchant nul autre refuge que Lui et t’interdisant solenellement les boucliers humains te vendant protection qui te ment.
Quand ton coeur se déchire, plutôt que rien, Il est là, et toi tu En dépends
Tu ne peux pas mentir,
IL EST PLUS VRAI QUE TOI ET TOUT CE QUI EST APPARENT
pardonne ces majuscules, c’est mon clavier tactile, j’y suis pour rien,
J’ai dit ce qu’il fallait sans prendre de gants
Ma religion, n’est pas cachée dans des harems ou des bibliothèques où la manucure guette les dignitaires religieux et arrogants
Regarde ces imams plus féminins que la fille qui se maquille.
Ils cherchent à séduire les auditoires avec leurs stratagèmes de filles
Tandis que l’islam est venu en lumière contrer l’obscurité, qui fait à leurs paillettes l’exaltation pour aliénés.
Ils ont fait de la paillette leur artefact, quand les coeurs qui cherchent Allah,
Savent les valeurs qui se défendent avec honneur
Tu sais, on ne ment pas à Allah,
Et quand on chosifie ses frères,
Allah est parfaitement connaisseur de ce que vous faites.
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