Ne soyez pas comme ceux qui ont oublié Dieu. Dieu a fait qu'ils s'oublient eux-mêmes.

Archives de septembre, 2017

Quand on chosifie ses frères

Ma religion est à mille lieues de ce qui s’en dit,
À mille lieues encore de ce qui sévit

Elle est à mille lieues de toute cette hypocrisie,
De ce matérialisme qui fait des gens, des idôlatres bien pourris.

Ma religion n’est pas aux filles malades, de ne pas se montrer jolies
Ni aux garçons frustrés de voir des filles impolies.

Ma religion n’est pas aux pleutres,
Vivant leur vie comme si, Allah ne savait rien de leurs internes machineries

Ma religion c’est cette force en puissance, qui te garde à Allah malgré les tourbillons
Tu te noie et pourtant, ton coeur demeure en quête de Lui, et de Lui seulement
Ne cherchant nul autre refuge que Lui et t’interdisant solenellement les boucliers humains te vendant protection qui te ment.

Quand ton coeur se déchire, plutôt que rien, Il est là, et toi tu En dépends
Tu ne peux pas mentir,
IL EST PLUS VRAI QUE TOI ET TOUT CE QUI EST APPARENT
pardonne ces majuscules, c’est mon clavier tactile, j’y suis pour rien,
J’ai dit ce qu’il fallait sans prendre de gants

Ma religion, n’est pas cachée dans des harems ou des bibliothèques où la manucure guette les dignitaires religieux et arrogants
Regarde ces imams plus féminins que la fille qui se maquille.
Ils cherchent à séduire les auditoires avec leurs stratagèmes de filles
Tandis que l’islam est venu en lumière contrer l’obscurité, qui fait à leurs paillettes l’exaltation pour aliénés.

Ils ont fait de la paillette leur artefact, quand les coeurs qui cherchent Allah,

Savent les valeurs qui se défendent avec honneur

Tu sais, on ne ment pas à Allah,

Et quand on chosifie ses frères,

Allah est parfaitement connaisseur de ce que vous faites.


Adoration

Ne raconte pas aux gens ce qu’Allah connait mieux que quiconque, et qu’Il garde pour le jour où les coeurs remonteront aux gorges.
Et repents-toi, et humilie-toi et parfais-ton adoration d’Allah Seul.
ALLAH qui n’est pas l’égo.
ET qui a élevé l’égalité et l’équité.


De l’imam au shaytan

Tu fantasmes l’islamité, tu n’as même pas l’humanité
Tu t’en remets à des personnalités
Qui n’ont pas la piété.

Chacun son fond de commerce,
Ils savent bien entre pairs,
Comment s’organiser.
C’est pour toi le fi sabili llah,
Mais eux sans rémunération, ils ne savent pas donner.

Ils s’estiment « guides en piété »,
Mais n’aiment pas se rappeler,
Que dans deux minutes, ils iront aux wc ;
Ils sont prompts à voir le mal chez les pauvres à dénigrer,
Mais font du lèche aux prestiges et vanités.

Ils prétendaient prêcher,
Mais ils ont échoué en asseyant leur confortable lâcheté.

Ce gros mot qu’ils n’osent pas dire,
De peur que leur masque s’en trouve egratigné

Le mal qu’ils n’ont pas combattu les flatte,
Quant à moi, de la boue sur les mains et mes joues, et la sueur,
Et mon coeur,
Ô ALLAH, fais que je m’utilise corps et âme à ta cause ; ô Allah ; sauve moi la vie.


Quand le serviteur fait de la performance

L’humaniste est devenu un artiste.
Il a pris son bleu dans le ciel magnifique,
Son jaune, dans ma religion pacifique,
Et son magenta dans le sang versé pour ses divins caprices.

Que je sois un peu de tout,
Que je sois recouvert de boue,
Que je dise des gros mots,
Que je paraisse pas beau,
Que je sois incompris, étranger,
Recouvert de violent mystère

Qu’on dise de moi que je suis barbare,
Que je ne suis pas sincère en costar

Qu’on dise de moi que je suis l’arriéré extrémiste,
Qui n’épouse pas la modernité

Que je sois ce salopard
Qui ne valorise pas les fantasmes enlanguis sur le tard

Qu’on fasse de moi ce qui chante, ce qui brûle, ce qui énerve,
Ce qui vend ou révolte, tape à l’oeil ou corrompt

Mais que je ne sois jamais cet artiste.

Non, je ne suis pas un artiste.

Je suis ce religieux,
Qui voue sa vie et son énergie à Dieu
Quand le monde, de vos yeux et vos oreilles s’assombrit,

Laissez mon coeur se rappeler d’Allah
Qui m’a donné des mains, et la lumière qui irradie mon instinct de justice.

Non, je ne serai jamais cet artiste

Que je sois religieux,
Quand bien-même on voudrait m’interdire.

Que je sois religieux,
Que ma vie soit pour Dieu

Que j’identifie,
Comme Celui à qui je suis l’obéissance
La reconnaissance, et l’adorateur, sans cacher de mon coeur Son désir

Car cest à Allah que va tout notre désir