Ne soyez pas comme ceux qui ont oublié Dieu. Dieu a fait qu'ils s'oublient eux-mêmes.

Archives de avril, 2017

Le non-lieu islamique : esclaves du capital colonial

attaque gaz

 

Il est des contradictions qui restent flagrantes,
Comme les femmes proclamées musulmanes dont toute la vie ne cesse d’exprimer leur avidité d’être désirables et désirées de tous ;
Comme ces extrémistes d’un état d’esprit prétendument positif, au sein d’une sécularité familière, qui sont finalement les premiers à vendre leurs frères et sœurs moins enjoués, mais bien plus musulmans que cette mode d’être bien-aimés et acceptés des ignorants.
À ne pas prendre garde des mélanges viciés qui s’imposent à nous, à trop faire l’éloge d’une douceur qui en devient si sensuelle que son miel devient douteux pour les abeilles…
À trop se complaire dans les plaisirs des sens et dans la trahison des yeux, tu finiras mon frère, ma fille, comme ton ancêtre qui a cru bon d’ôter son voile – donner ses femmes, donner son âme à celui qui était finalement si bon de ne pas nous tuer aussi, de ne pas nous mépriser ouvertement non plus, mais qui nous proposait plein de pitié, le bon sens de lui ressembler plutôt à lui.

Le Dîn n’est pas un jeu de dupes ; toi qui ne portes pas le voile, tu dois le porter ; toi qui le porte légèrement, tu dois mieux l’adopter ; toi qui te rase crinière et te trémousse dans ton costard, tu dois cesser de désirer briller dans l’oeil éteint de tes interlocuteurs passionnés de vanités.

Toi qui travailles dur pour plaire aux gens, si dur pour plaire à la majorité, que tôt ou tard tu te comportes en ennemi du muslim qui lui, ne veut plaire qu’à Allah.

Toi qui bosses si dur, et qui ne veux pas affronter en face à face tes contradictions…
Toi qui veilles à briller, mais pas à purifier ce qui est en toi-même ;
Toi dont la peur la plus profonde sourde et ancrée est basée sur l’obsession du rejet, je veux te rappeler une chose : l’islam est étranger, jamais mondain. Il est et restera étranger, comme le voyageur solitaire qui soigne et qui aide sur son chemin, comme l’innocent caillassé au détour de villes où l’épreuve a sonné du clocher.

L’islam est et restera étranger, mais tu continues à prôner ton fantasme sous couvert de fi sabilillah, ce fantasme d’être « passe partout », au-dessus des autres et non pas avec ces gens que tu prétends aimer, mais acclamé et admiré dans le regard et l’attention que tu leurs voles à l’insu de leur âme en peine qui se cherche sans jamais se recueillir tellement tu te joues de leurs plus profonds vœux.

 

Tu as choisi ton camps, celui de plaire aux gens absolument avec ton infâme fantôme colonial à tes trousses ; et bien l’islam a décrété pour nous la station du tawhid qui met tout le monde à égalité par le rappel incessant d’Allah qui est ce qu’il y a de plus sain et de plus grand, quand ton comportement perpétue la séduction marketisée, qui vole l’homme à la femme, qui vole l’homme et la femme, qui les vole à leur âme, qui vole les enfants à leur fitra.

 

Je ne t’en veux pas parce que tu es aveugle et malade ; tu fais partie de tous ceux qui se sont voilés la face, de ces nègres blanchis qui juraient leur blanchité ; de ces rescapés qui juraient la charité de leurs bourreaux quand par hasard ils étaient épargnés.

Je ne t’en veux aucunement, car les circonstances sont plus fortes que ta clarté d’esprit ; mais wallahi si tu te dis et t’estimes vraiment sincère, tu vas devoir te réveiller et assobrir et purifier ta dégaine marketisée, qui trompe, qui abuse, qui veut plaire d’un côté et de son contraire ; qui veut être d’un côté comme de l’autre ; et qui veut pour se sauver, être une face et une autre selon les circonstances.
*

Bref, voilà , de ton fantôme, de ton délire, de ton ambivalence, j’ai assez parlé.

*

Ô Allah, tu es notre Maître. Accorde nous la victoire sur les groupements infidèles qui sèment la corruption sur la terre.

Amin.

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#QuranGuide

S’aimer en Allah ?

À tous ceux que j’aime du plus profond de mon coeur en Allah, je ne vous souhaite qu’une chose : aimer le Quran et n’aimer les gens, ne penser à eux et ne les approcher qu’à travers lui.
Le Quran est un guide. Il nous préserve des ruses et du mal ce monde, et il préserve les croyants les uns des autres ainsi que du commun des gens.
Il nous avertit du passé et du futur,
Il nous confère une stabilité mentale à toute épreuve par une reconnaissance en Allah infaillible dans l’adversité ou le bonheur.

La ilaha ila Llah.


Tu n’es point la seule ô ma femme. (Un amour de Tawhid)

Ma femme, ma très chère,
Sois certaine que je t’aime et que tu es partie de la sève qui nourrit ma vie,
Je t’aime mais tu n’es point la seule, je t’aime, mais tu n’es point l’unique que j’aime
Ô ma femme, ô mère de mes filles et de mes fils, raisonne toi, je suis un mâle, je suis un guerrier, je suis un digne ; je ne puis me défausser et je ne puis obéir à d’autres qu’Allah qui m’a décrété mouwahid, Ô mère de mes fils.
Je t’aime, mais tu n’es point la seule.

Je suis l’homme du Tawhid O ma femme, non pas l’homme de tes désirs féminins, ô ma femme, raisonne toi. Reviens avec moi au tawhid.
Regarde ta soeur en religion. Elle n’est pas moins bien que toi.
Je serai son époux. Elle deviendra mère elle aussi. Elle aura son quart de temps avec moi.
Elle sera ma femme aussi.
Je serai pour vous ce qu’Allah a aimé pour ses serviteurs élus.
Tu seras pour le monde l’amour d’Allah ; Le Mouwahid qui a compris, qui fait largesse et fructifie.

Ô ma femme,
Sois la lumière au monde,
Sois aux vivant telle la descente du Quran,
Sois à la volonté d’Allah conforme,

Et trouve en moi la fierté mouwahida,
La fierté des lois et de la baraka