Les radicalisés

L’imam psychopathe, tu sais, celui qui est du genre à interdire aux femmes la vue des concombres. Celui qui est parti avec un coffre rempli d’or sous sa jellaba au lieu de le distribuer aux pauvres et de payer les ouvriers avec. Celui qui est du genre manipulateur narcissique, et qui tire les ficelles par la crédulité des sots dévots. Ah ! Mais si seulement ces dévots étaient seulement idiots ! Au fil du temps leur idiotie s’envolerait à mesure de leur référenciation fidèle au Quran avec les réajustements des repentirs quotidiens. Mais non, ils s’en foutent du Quran, ils préfèrent jouer à briller et à se faire aimer, à jouer à copiner et se chérir par des excès. Ils préfèrent former des bandes de voyous suffis d’eux-mêmes, comme ces gangs du Bronx, sauf que les gangsta rap eux, ont le courage par dessus la bêtise, de se rentrer dedans. Alors je te demande à quoi riment tous ceux, qui se prétendent muslims et récitent une prière, qui ne ressemble pas à leurs actions. À quoi riment ces gens qui exposent leur bosse de la prière, si leur coeur n’est pas poli comme le diamant ? À quoi riment ces faux humanitaires, qui croient faire mieux que le médecin, ou le mendiant ? Ce mendiant qui sait aider ses frères, en partageant sa bière, son fromage et son squat, mais sincèrement. À quoi riment ces gens, qui s’exposent en tant qu’aidants, alors qu’ils nous tuent de faux semblants ? Ceux dont les comportements et les prétentions mentent, pendant que mon Quran peine à voir en eux la place qui lui appartient pourtant.