Un baiser par dessus l’amour fi Llah.

Pourquoi la femme doit être un esprit khalifal auprès de son époux, et non pas une poupée de manucure, ou un rustre et sexué cuistot italien ?

et bien c’est simple : la femme doit faire abstraction de ses charmes et de ses plaisirs et jeux de fille pour entrer en communion avec ses devoirs et ses grands axes de croyante.
Elle doit savoir penser et réfléchir aux problématiques sociales car la famille et la maison dont elle est responsable s’inscrivent dans une société spécifique vis-à-vis de laquelle elle doit savoir faire face.
Son mari travaillant souvent dehors, c’est elle qui éduque et forge la progéniture à affronter les maux et problèmes de l’extérieur.
Mais au lieu de ça, elle se suffit de piéger son mari dans un aller-retour narcissique et charnel baigné d’extase !
Une histoire d’amour et de charme qui ne sert que le plaisir instantané et l’orgueil d’une telle union, et non pas un amour sincère qui est un soin et un baiser par dessus l’amour fi Llah.
C’est comme ça que se présentent des époux qui se respectent : ce qui les unit c’est le tawhid avant toute passion. Ils sont humains avant amants ; ils sont un être avant d’être des amoureux et c’est ainsi qu’Allah nous exhorte de ne pas suivre les passions afin d ene pas dévier de la justice.
Avant de prétendre ériger famille, maisonnée ou couple, ils se développent chacun respectivement de sorte à se respecter soi-même, se maintenir droits , réalistes, pragmatiques, cohérents loyaux ou loyales.
Ils se font confiance mutuellement en Allah qu’ils adorent sans Lui associer.
Ils se motivent à être de bonnes personnes accomplies et harmonieuses.
Ils sont frère et soeur en Allah et époux de par dunia mais avant tout deux croyants.
C’est comme ça que la femme voit clair dans son mari et que le mari voit clair dans sa femme.
Et c’est comme ça qu’ons’enjoint mutuellement la vérité et l’endurance, et qu’on ordonne le bien et qu’on s’interdit le mal, par le temps !

On a tout à fait raison quant à la pluralité des comportements et des personnalités féminines qui en soi sont une nature et non pas un problème ; cependant la foi islamique vise un idéal de droiture et de piété, d’amour inconditionnel et en cela fédérateur : c’est en cela qu’on se réfère aux nobles figures citées dans le Quran par leurs traits caractéristiques : Marie la chaste, Assia la loyale qui se prémunissait de pharaon et de son oeuvre/c’est à dire le narcissisme, en soutenant Moïse/c’est à dire la piété des pieux…
on peut encore citer Aïcha dans son épreuve anecdotique et symbolique, qui fut calomniée de la pire espèce, et qu’Allah a blanchi de la plus belle manière.
Bref, il y a une différence de taille entre la question soulevée par la diversité et le droit d’être différentes, et la volonté au-delà de ce droit à disposer de soi, d’être tout simplement loyales et pieuses. C’est cela que la piété dans les grands principes universels et asexués qui la sous-tendent.

Les croyants ne sont que des frères.la concorde est à rétablir D’abord en arrêtant avec cette hypersexualisation des femmes car Allah n’aime pas l’excès.
Une femme en Islam ne tire pas sa féminité de sa sexualité mais du SOIN qu’elle prodiguera à l’humanité, avec le souci mouwahid que cela implique, car il n’y a jamais de refuge qu’auprès d’Allah et non pas auprès de jolies manières complaisantes d’avantage futiles et conflictuelles qu’elles n’arrangent quoi que ce soit.
Si la femme est pieuse, qu’elle embaume de Haqq, car l’humanité en meurt de besoin, et non pas de ses attributs narcissiques et concurrentiels.