Vagins montés sur pattes
Ces vagins montées sur pattes parties en croisade contre le hijeb.
Pour certaines la liberté ne tourne qu’autour de la liberté de valoriser et suggérer leur vagin.
Quand tu les vois, tout dans leur manière d’être et de s’habiller tourne autour du fantasme d’être désirée de tous – à défaut de quoi elles veulent rester libres de provoquer.
Elles s’emmêlent dans leurs baskets, confondant liberté et nudité, beauté et sexualité ; mais encore objectivité, amitié, réussite, et connivence.
Au-delà de leur vagin à exposer comme un miel autour duquel tourneraient les abeilles, ces femmes n’ont rien d’autre à prôner ou à proposer que leur mise à nu à peine cachée.
Leur science ne va pas plus loin que leur besoin de se montrer et d’écraser les autres.
Leur inconscient appelle tous les regards vers leur vagin, contre les femmes qui portent le hijeb avec conviction et spiritualité, mais encore contre les hommes qui n’ont pas envie de les regarder.
Quand je vois ce genre d’énergumènes se la ramener et surfer sur la vague islamophobe pour se faire un excitant hollywood-palais,
Je délecte par avance comment elles vont finir, et combien elles vont tomber de haut et s’exploser par terre.
Parce que les femmes comme ça, qui ont si peu d’humanité qu’elles coupent le monde en deux entre celles qui portent le voile et celles qui ne le portent pas, entre ceux qui sont pour le voile et ceux qui sont contre, il n’y a pas à chercher bien loin : cela s’appelle de l’hystérie. Autrement dit si certaines subissent des viols, d’autres les fantasment à demi mot en attaquant le bon musulman qui vit sans faire de vagues.
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