De la piété bénie

​C’est tellement bon d’inclure le rappel d’Allah sans cesse à tous nos instants.

Cela nous allège, renforce notre sincérité et nous pousse à transcender nos conditionnements.

Car ce que l’être humain aime le plus et a de plus précieux, c’est l’espoir ou cette capacité à se projeter et se raccrocher.
Quelqu’un qui ne se projette plus, qui ne se raccroche pas à l’avenir, est une personne statique ou inerte, une dépression.
Allah nous enseigne dans le Quran, qu’Il nous crée d’une adhérence. 

Et cette adhérence est si précieuse. Cette attache à Lui, qui chaque jour renouvelle de nouveaux jours, cette référenciation à Lui est si précieuse.
Elle permet au vieillard tremblant, titubant et bégayant, d’être sur la même longueur d’onde et de bonheur que le petit-tout qui commence à marcher et se tenir debout.
Elle permet au malade désespéré chez le non croyant, d’être heureux grâce à l’avenir qu’Allah lui tend en dépit d’une douleur qui lui annonce que la mort arrive dans pas longtemps.
Elle permet, de rester égal au-delà de l’illusion temporelle de nos différences et divergences ; ces apparentes inégalités.
Le temps passe et nous efface.
Mais Allah Lui, nous préserve sous notre identité la plus pieuse et la plus pure, la plus douce, la véritable, la bénie, par cet amour de celui qui donne la mort et la vie afin de savoir qui de nous est le meilleur en oeuvres, et c’est Lui Le puissant, Le pardonneur.
Et puis tu vois toutes ces femmes qui divorcent parce que la CAF le leur permet, et tous ces gars qui font que leurs femmes les quittent parce qu’ils n’ont pas assez veillé à demeurer en pure piété avec elles.
Car la piété est une chose qui n’a pas d’égale, qui rend plus intelligent, plus doux, plus fin d’esprit, et par son sommet, on est si proches, si unis, si bénis, soit fraternels, soit amoureux en celui qui a tiré d’Adam son épouse.