Le sous-hijeb unique et révolutionnaire vous connaissez ? (hypocrites à la chaussette)
La sous-chaussette « unique » et « révolutionnaire ».
Avoir le pied à la place de la tête ; marcher face contre terre ; plutôt que redressées sur un chemin droit.
Bien fait pour vous les filles.
C’est à croire qu’on nous prend pour cette vache à lait en usine, qui va finir en steack haché dans la poubelle du Mc Do ; mais ça ne vous dérange apparemment pas du tout.
Avait-on vraiment besoin d’autant de pub pour un simple hijeb ?
Tout cela me dépasse, c’est abusé ;
C’est affreux, c’est cataclysmique.
Non-sens absolu, et mise à profit de la pudeur au service de la superficialité.
Pub outrancièrement mensongère, mais vous n’y voyez que du feu.
Ceux dont l’effort s’est égaré alors qu’ils s’imaginaient faire le bien.
Un hijeb dans leurs mains, dans leurs bouches, devient un vulgaire make-up et faire valoir narcissique de connivence hypocrite ; un vulgaire accessoire de beauté et de confort à en attraper la diarrhée.
Bref, les vrais croyants sont seulement ceux qui croient, par la suite ne doutent pas, et qui luttent avec leurs biens et leurs personnes dans la voie d’Allah.
Pensez-vous vraiment pouvoir transformer l’Islamité en charabia de mode et de podiums ostentatoires parmi vos strass et manucures ?
Vous prétendez porter le voile de l’Islam alors que vous n’avez même pas la hashma / pudeur avec vous.
C’est pour cela que je répète, que même si on m’offre 10 000 euros, 70 000 et encore plus, je maintiens mon total désaveu de cette marque de merde, oui de merde, que par honte et et par respect de l’Islam je ne citerai même pas et à la place de laquelle je préfère répéter merde.
Oui, ce que vous faites, c’est de la merde.
Je vous vomis, je vomis votre ignorance, votre arrogance, vos excès, votre mauvais goût, vos permissivismes ; vos abus ; votre hypocrisie ; bref, je vomis la merde.
Juste pour le principe de ne pas perdre le fil de l’Essentiel si précieux ; cet oxygène de cohérence qui garde la vie sacrée et préservée en ses principes Sacrés, oui sacrés.
Les meufs superficielles, tout le monde aime ça, parce que ça fait des coussins partout, du confort grossier, et gratos partout, à en avoir par dessus la tête pour profaner un max la féminité, mais encore le potentiel humain.
Personne ne vous dira que vous n’êtes pas correcte, oui pas correcte lorsque vous cherchez à séduire, à conquérir de la manière malsaine, à vous imposer dans un marché plein de turpitudes, et par ses manières, son marketing séculier et ses codes outranciers ; et que vous misez sur votre narcissisme à tue-tête pour prétendre un bonheur faux après lequel vous courrez tellement que vous vous avilissez aujourd’hui.
Personne ne vous dira que vous êtes dans un méchant panneau, avec ce parfum arrogant qui abuse, cette manière dont vous aimez vous jouer, en forçant l’axe du regard plus violemment que la fumée de cigarettes ne s’insère dans les narines du non-fumeur.
On vous laissera vous donner corps et âme à telle superficialité, et on vous laissera vous dépenser oui vous dépenser ainsi jusqu’à ce que vous deveniez vielle, laide, périmée dans telle lâcheté, à devenir noire de suie, et marquée de vice à jamais.
Et là, vous comprendrez, que vous vous êtes bernée vous-même ; mais ce sera trop tard.
Et la gracieuse générosité, la gracieuse solidarité, le sublime investissement fi Llah ; qui nous fait merveilleusement bien porter nos rides et notre vieillesse, vous ne l’aurez alors jamais.
De toute façon, les hypocrites appartiennent les uns aux autres.
Ils se ressemblent.
Ils sont tellement égarés du sentier, qu’ils ne voient pas la honte de ce qu’ils font.
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