Et curieusement ce sont ceux-là qui sont les premiers ennemis d’un communautarisme spirituel, engagé, solidaire et sain, qui n’accorde pas trop de crédit aux apparences, mais plus à la cohérence et au fonds transparaissant dans la globalité d’une personne.

J’ai franchement envie de dire, que je n’ai pas besoin de gens qui s’amusent, mais de gens qui savent qu’ils vont mourir dans pas longtemps.

Le reste, j’m’en fiche ; soyez me frères en religion ou ne le soyez pas, c’est du pareil au même, puisque vous êtes les frères des relations faciles, des relations merdiques, des relations narcissiques, des relations de complaisance, des relations de copinage sans quête de ce qui ajoute à la piété des coeurs et à l’unité, au rétablissement des musulmans.

Franchement, de vous, je me fiche, et je n’ai d’intérêt que pour ALLAH, qui se suffit amplement et me suffit amplement.

Le jour où vous le considérerez à Sa juste valeur et comme vous le Lui devez, alors ce jour là, on sera soudés comme les doigts de la main ; mais tant que vous êtes angoissés pour vous-même comme la poule à laquelle on met le coup de pied au derrière, tant pis pour vous, moi, je pars vers mon Rabb et Il me suffit.

Un communautarisme mouchrik ayant oublié le courage, l’intelligence l’endurance, moi je n’en veux pas ; je le désavoue.

Ma communauté est celle qui tient à Mouhammad sala Llah 3leyhi wa Salam, non pas une communauté de gens qui l’a délaissé en brandissant son nom pour mieux manipuler les intérêts.