Se refaire peau neuve avec des boucs-émissaires : le super deal.
Il est coutume que tous les peuples maudits désignent des boucs-émissaires à leur shirk.
Par exemple les SDF. Tous les faux-culs disent qu’ils sont là par leur propre faute ; se donnant bonne conscience narcissique et grand plaisir de cracher sur leurs existences reniées.
Par rapport à l’Islam, on a tel minhadj qui accuse tel minhadj.
On a telle soeur qui est hypocrite envers telle soeur ; tel homme qui chosifie telle femme, juste pour la flirter mais pas pour l’épouser.
On a les pédophiles, qui violent des innocents ; des frères « sincères » qui violent leur fiancée et qui n’ont plus envie de l’épouser.
On rallonge la liste ?
En effet quand on est pas véritablement Mouwahid, on a pas Allah avec nous pour supporter le destin. Quand on a pas Allah avec nous pour être portés et supporter, se repentir et aimer sincèrement relève de l’impossible. Quand on a pas Allah avec nous, on a peur de tout parce qu’on ne Le craint pas Lui qui nous rend forts ; on se dérobe ; on triche, on devient incohérents, confus et hésitants.
Du coup, on rejette ce poids et cette angoisse de mort et de destruction sur d’autres ; ou alors plutôt que de rencontrer son frère et de se repentir avec lui en rangs serrés, on laisse entre lui et nous une distance aussi grande que celle qui existe entre le ciel et la terre ; parce qu’on a honte de le rencontrer.
Le shirk nous divise et rend la rencontre #impossible ; tandis qu’Allah est le protecteur des pieux et Jami3 : celui qui Unit.
Le shirk est dans beaucoup de sociétés, dans beaucoup de familles et beaucoup de coeurs malgré leur étiquette musulmane. Ils n’ont pas estimé Allah à sa juste valeur, tandis qu’Allah est fort et puissant.
A chaque fois que la crainte et l’amour ne seront pas à Allah Seul, les conséquences seront terribles ; et Allah demande aux pieux de se révolter contre les torts qu’on leur fait ; car Allah leur a promis une victoire prochaine, ainsi que l’égalité, la fraternelle complémentarité et des grades par la piété sans léser ne serait-ce que du poids d’une pellicule de dattes.
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