Ne soyez pas comme ceux qui ont oublié Dieu. Dieu a fait qu'ils s'oublient eux-mêmes.

Un petit discours d’amour pour Toi Ô Allah

A l’heure où les petits frères et soeurs se font massacrer, je voulais quand même rappeler que leurs visages et leurs innocences sont vivantes et préservées.
Je voulais aussi dire, que le jour où on arrêtera le shirk qui gangrène nos journées, nous laissant semi-croyants semi consommateurs indifférents , alors nos coeurs seront plus liés, soudés, pétillants de vérité et d’agrément d’Allah, et on sera tous comme télécommandés vers ce qui nous mènera à Al Fath, d’une manière non pas caricaturale et burlesque, mais d’une manière aussi somptueuse que la fluidité qu’il y a en amour quand on s’aime vraiment et que nos coeurs se fondent et communiquent ; ou quand par amour on patiente, certains d’avoir envie de patienter parce qu’on sent que c’est ce qu’il faut.
De là d’ailleurs on peut dire que les hommes qui abandonnent leur épouse initiale, (parce qu’un jour ils lui avaient promis qu’elle était la Seule et l’Unique divinité de leurs vies, et ça leur avait plu, ils s’étaient énormément plus à ça) pour diviniser à l’égo de celle qui complaît nouvellement leur plaisir de s’abandonner aux langueurs du narcissisme, sont vraiment des bons à rien.
Les pauvres, ils sont privés de la lumière de la Polygamie.
Cette Merveille d’Allah, Wallahi, il ne faut la négliger, elle est à la source de nos succès futurs et elle a énormément à nous apprendre et énormément pour nous éduquer.
Mais ne s’éduquent que ceux qui le Désirent !
Et le Désir, désir de Vivre de véritable vie, ça, Wallahi, tu ne peux pas l’avoir en claquant des doigts, mais tu l’as seulement en voulant une véritable relation avec Allah.
Tu sais, quand je me sens de papoter, ça va tout seul comme certains jouent au piano.
J’adore ça, témoigner d’Allah et de Son amour.
Parce que j’aime Allah, bien plus que tu ne le penses.
Parce qu’en fait en amour, il y à ceux qui aiment sans leur égo au milieu, et ceux qui n’aiment que par leur égo pour leur égo, cherchant l’égo qui va les faire briller, plutôt que l’âme qui va les enrichir, les rafraîchir, les réveiller, les renforcer et les rendre encore plus meilleurs pour rebondir encore plus vers Allah tout en bénéficiant et en multipliant les bienfaits.
Quand vous voyez la différence entre l’amour sain de ceux qui s’aiment en Allah avant tout, vous ne pouvez que tomber prosternés à genoux et avoir honte de tout ce qui n’est pas cet amour là.
Les hommes et les femmes qui ont Allah dans la poitrine avant Ses créatures ne sont certainement pas ceux qui estiment semblables les ténèbres et la lumière, au point de faire de la vie et des âmes, de ces produits avariés, qu’on teste, qu’on déteste, qu’on essaye, qu’on adopte par accoutumance, et puis qu’on jette une fois leurs « qualités » faussement prêtées épuisées à travers le flirt iblissien, qui n’est que flair de vanités.
Ceux qui aiment Allah avant tout, c’est eux qui sont capables d’observer d’un endroit, que les autres ne connaissent pas, et de cet endroit, sont encore capables de ne pas se laisser prendre au feu, à la haine, à la perversité, à la méchanceté et tout ça, quand bien même ils sont énervés, ils se voient énervés de là bas, alors, ils se repentent. Et puis aussi ils savent bien que ce qu’Allah donne, Il ne le prend jamais à personne.
Ou alors, ils se voient je sais pas moi, traversés par la flemme, l’envie, la jalousie, des idées zarrebies ; d’états d’âmes tous autant entremêlés et vaporeux les uns que les autres comparés au Quran plein de gloire et de noblesse. Alors, de cet endroit, lucides sur leur nafs qui monte et qui descend comme une marrée du mont Saint Michel, ils invoquent « astagrfiruLlah wa atoubu ilayk’ ; et les voilà endurants et constants dans la stabilité de celui qui ne sommeille jamais et au contraire rayonne de douceur infinie en permanence.
Quand quelqu’un prétend aimer quelqu’un et que cela se transforme en mépris, en indifférence ou en haine, parce que l’amour n’est pas sain, mais égoîque au point qu’il est insensible au fait de délaisser l’autre pour se tourner vers l’autre. Il y a là un véritable problème : l’indifférence à l’humain est une indifférence à Allah qui a rendu le coeur, l’adoration/sincérité et la vie sacrée. Mais la bonne attention n’est pas celle qui va valoriser les caprices et s’y soumettre, tout autant que la mauvaise indifférence n’es pas celle qui se concentre à Allah, mais celle qui s’y indifférencie et s’en détourne en écrasant les frères, ou en permettant par exemple, en filigrane, qu’on les bombarde tout autant que le SDF est considéré à même titre inerte que le poteau recouvert de pisse de chien.
Et quand on se détache de quelqu’un quand on a la foi, ce n’est jamais pour toujours, mais juste pour un moment le temps de se retrouver en rangs au Jour J du Yawm el Kiyyama.
C’est pourquoi je respire sans cesse la satisfaction inexprimable d’être en Islam, d’être Musulmane, d’être ce coeur qui va s’arrêter de battre un jour, mais pour obéir à la volonté de celui qui donne la véritable vie.
S’il faut choisir la montre à l’éternité, tu choisis quoi ?

Pour moi le choix est vite fait, et surtout, la montre est cette lampe venue nous montrer que le véritable temps que la véritable ambiance et atmosphère, c’est dans l’éternité du bleu jour, et dans l’infinité de la bleue nuit, vers les mystères qui nous dépassent et qu’on ne peut pas imaginer.

Avec cela, qu’allons nous faire des hommes et des femmes qui sont lâches ?
Et bien c’est simple, le temps va s’en charger.
Quant à toi, quant à moi, si on veut la cohérence, on a qu’à redoubler de confiance et d’abandon à Allah, car le succès est en Lui, Lui, Lui, qui nous guide et nous rend sensibles, subhanAllah, à ce qu’Il a rendu important.
Allah n’a pas placé à l’homme deux coeurs dans sa poitrine, tandis qu’Il a placé les hommes croyants en rangs.
Allahu la ilaha ila Huw
Ô Allah, apaise mon coeur par rapport à mes morts, et concentre moi dans Ton adoration vivante.
Assois moi au Paradis avec Assia la femme de Pharaon, avec Meriem, avec Idriss, avec Joseph, avec Hagar, avec Mohammed et Issa, avec Moussa et Nuh, sans oublier Sulayman, Hamza, Abou Bakr et Zayd ; avec nos aimés, avec Manelle et Sawsenne, avec Aïcha et Khadija ; et nos frères issus de la même lampe Adamique, avec nos petits frères et soeurs massacrés jadis, et leurs parents ; pendant que les autres attendent, bien pourvus, et certains que Tes merveilles ne tardent jamais sur ceux qui Croient.

roses murailles

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