Ne soyez pas comme ceux qui ont oublié Dieu. Dieu a fait qu'ils s'oublient eux-mêmes.

Mon amour, ils l’on appelé « haine ».

L’amour, on l’a appelé « haine ».
L’amour de défendre l’opprimé, et de plaider pour la bonté,
On l’a appelé « haine », pour détourner du soin de la complétude.

Mon amour d’exhorter à aimer bien, à aimer loin, à aimer sincère,
On l’a appelé « haine », parce que je n’étais pas enclin, à me taire pour de capricieux pantins.

Mon amour, mon amour qui voit Loin,
Mon amour qui voit Sain,
Mon amour des Prochains,

Dans ses ardeurs de défendre l’opprimé comme un rebelle,

Mon amour de plaider pour le pauvre et l’orphelin,
Quand bien même une fois repus ils ne voudraient pas me serrer la main,

Mon amour sincère,
Mon amour global, mon amour humain, mon amour certain,

On l’a appelé « haine », pour dissuader d’aimer vers l’au-delà,
Me forçant aux plaisirs cochons, des plaisirs de lourdeurs et de piteux élans
D’artifices hypocrites aux nuits sans étoiles et aux lendemains sans courants.

Quand pourtant, le temps passe et les rêves s’effacent,
Nous laissant fatigués, voûtés et certains,
De nos demeures finales.

Les vois-tu sincères comme un jardin ?
Les tombes aussi sages que des images,

Et l’orgueil, que même le vent,
S’interdit de faire paraître en caressant les arbres ;

Chantant des pieux,
Le doux printemps ;

Et l’héritage Omnipotent.

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