Maquiller des enfers.

Cette femme est un homme
Pauvres frères.
Les femmes perdues prolongent votre égarement et vos errances.
Ici c’est un « homme ».
Donc, à ceux qui la trouvent charmante, une fois de plus, ne vous arrêtez pas sur les canons de beauté qui ne sont pas naturels et éclairants.
Car dans tel cas, vous continuerez à vous éloigner des sains goûts et de la saine nature pour honorer des canons de diabolisme qu’on vous instille par culture païenne.
le maquillage… un sujet trop peu abordé qui cache la partie la plus malade en souterrain.
Autant les femmes veulent être plus belles que la beauté naturelle qu’Allah leur a faite au lieu d’apprendre à aimer la création d’Allah, et vivre en respect avec elles-mêmes, apprivoiser au mieux leur nature et ce qu’Allah attend d’elles, et autant certains hommes malades veulent être plus « belles » que les femmes les plus fatales, en ce que ces femmes ont tué l’homme en eux.
Le style de la femme fatale, ou autre style idéalisé n’a pas sa place dans l’esprit des musulmanes acquises à Allah.
C’est là une vérité.
L’Islam ne reconnaît que la vérité, la saine nature, la simplicité et la piété.
Le maquillage, s’il est une réalité, n’aide pas à se réaliser, mais à se fuir à tricher, à user l’astuce et dénier ce qu’il y a à apaiser en soi par le culte d’Allah Seul.
Le maquillage…
Le maquillage, ou pouvoir de captiver, de capter et d’envoûter ; de manipuler ; de dominer.
Le maquillage n’est au tout plus que le recouvrement des angoisses d’une existence qui persiste à s’ignorer, ainsi que l’expression des espérances qui volent et qui bricolent plutôt qu’elles ne se comportent honnêtement en regardant l’incertitude et la précarité de l’existence dans le réalisme et la dépendance à Allah Seul ; qui crée, fait mourir et revivre ; et préserve dans l’essence de la forme la plus parfaite.
On ne trouve pas de solution dans le déni, ni dans la mauvaise espérance ; mais c’est au contraire la cohérence qui encourage les meilleures espérances qui aboutissent de fil en aiguille.
Dans le cas contraire, vous ne soignerez pas, vous ne rétablirez pas l’ordre, mais vous essaierez sans cesse de composer avec de fausses composantes qui n’adhèrent pas et ruinent votre édifice en miette à chaque fois que la brique est posée.
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