Plus ardemment encore
Dans le Noor où s’inscrit pieusement ton visage,
Je t’ai reconnu, comme un divin ombrage.
Comme partie de l’oxygène irradiant mon poumon
Pour lui permettre d’être envie, de respirer encore.
Mais dans l’absolu, que pouvais-tu pour moi, sinon adorer Llah plus fort encore ?
Que pouvais tu pour moi, sinon resplendir dans ta foi,
Plus pieusement, encore.
De sorte que je t’aime,
Plus pieusement encore.
Et qu’ensemble on respire la guidée,
Plus fermement encore.
Je t’aime en Dieu et L’implore, de te faire resplendir plus ardemment encore,
Au jour où la lumière des pieux courra devant eux et à leur droite ;
Car c’est là l’énorme Succès.
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