Entre ciel et sang
Quand la mort atteint l’un de nous, et que l’on se sent purement mort de l’intérieur, Comme un oiseau blanc qui ne connait ni le sang, ni le mal des passions intérieures.
Quand la mort atteint l’un de nous, et que par cette empathique puissance qui irradie tes veines,
Tu comprends que la vie est ailleurs, en même temps que le ciel bleu et blanc, rétablit l’ordre sur ton arène.
Où les jeux affluent, ainsi que les courses et les hardiesses ;
Pendant qu’au-delà de nos frivoles et exultantes marionnettes,
Les géantes et imposantes planètes se soumettent.
Et mon cœur, dans ta poitrine, à mesure qu’il aspire, qu’il rejette, qu’il accueille et qu’il expulse
S’interroge de la manière de sauver à aider à fuir,
Ceux qu’il aime, d’un feu dont le combustible est composé d’hommes et de pierres.

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