Univers et Principes
On a voulu idolâtrer la femme, la scotcher au mur du bureau comme l’adolescent le fait avec le poster de sa star préférée ;
On a voulu la fixer sur l’autel sacré, tout autant qu’elle aimait à s’asseoir sur le trône royal, selon ses complaisances.
On a voulu faire de la femme, par moments, une sculpture, l’amochant jusqu’à la dénaturer, effaçant les rides de la douceur-la sagesse arrivée, pour prôner la poupée immature, sans rêve d’un avenir de sagesse à aimer.
On a voulu faire de la femme un lit de chambre, soyeux de volupté ;
On voulu faire d’elle un pantalon, une chaussure, une veste de luxe, parfois un joli meuble apportant des enfants et à cirer ;
Mais on ne pensait pas, que la femme allait se réveiller, et après avoir engendré dans la douleur, prendre les armes par son intelligence se révolter contre tout ce marasme de désordre et de fausses principautés.
La femme, avec son cerveau aux neurones électrifiées, son coeur battant aux cris de guerre contre les désordres et son utérus rugissant de mettre au monde de preux guerriers, n’était ni une idole ni une décoration, ni jouet ; ni une page de conte à fantasmer.
18.14. Nous avons fortifié leurs coeurs lorsqu’ils s’étaient levés pour dire : « Notre Seigneur est le Seigneur des cieux et de la terre : jamais nous n’invoquerons de divinité en dehors de Lui, sans quoi, nous transgresserions dans nos paroles.
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