Ceux que l’on aime
Il est ces gens qui n’étaient à nos yeux qu’insignifiance, jusqu’à ce qu’Allah décide qu’on se (re)connaisse.
De ces gens qui n’étaient à nos yeux tout au plus que roche et montagnes ;
Jusqu’au jour où Allah nous fait sentir le souffle qu’ils partagent avec nous dans la même prière.
Ces gens qu’on n’entendait guère, jusqu’au jour où tombe entre nos mains un texte,
Où leur sincérité fredonne le même ruisseau que celui qui irrigue tes veines.
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