De la maladie, entre guidée et guérison
On dit parfois des personnes malades qu’elles sont ou on été « frappées par le cancer ».
Frappées par le destin ou par la maladie ?
Si on part du principe que personne ne peut mourir qu’à un moment prédéterminé, alors on sera apaisé.
Mais si on oublie cela, alors la tristesse emplira nos larmes, notre âme et nos yeux ; et le malheur atteindra un paroxysme.
Cette vie n’est pas grand chose, c’est un fait.
Mais ce qui est grand c’est Allah, Le Glorifié ; celui qui donne la mort et la vie, fait sortir le vivant du mort et le mort du vivant ; et Il est certes Omnipotent.
Allah dit :
22.31.(Soyez) exclusivement [acquis à la religion] d’Allah ne Lui associez rien; car quiconque associe à Allah, c’est comme s’il tombait du haut du ciel et que les oiseaux le happaient, ou que le vent le précipitait dans un abîme très profond.
32.Voilà [ce qui est prescrit]. Et quiconque exalte les injonctions sacrées d’Allah, s’inspire en effet de la piété des coeurs.
Qu’Allah nous guide, amîn.
Qu’Allah nous guide et nous guérisse de l’ignorance qui fait des noeuds.
Car c’est là que résident l’apaisement et le succès.
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