ll y avait de plus en plus de figures et de titres religieux, de noms prestigieux, mais de moins en moins de paix et de sérénité.

Les prétendus savants courraient de leurs babouches et leurs djellabas comme s’activent les attachés de presse des beaux tyrans et grands démons ; ces passions ayant fait de ma religion, en leur malignité et leurs vices efféminés, une idole supplémentaire à observer le coeur fermé, l’émotion mielleuse et le vice ouvert.

Mon Dîn consistait consistait à briser les passions -les idoles, ces incohérences ; mais ils s’obstinaient, à travers les coeurs frêles, égarés, malhonnêtes et lâches, d’en faire un nouveau Vatican de cryptes où les passions fermentaient le mal du monde.

Jamais le peuple ne recevait son eau, comme si toutes ces figures-ces cryptes, ces catacombes aveugles et prétentieuses s’associant outrageusement aux prophètes ne servait qu’à priver le peuple de sa religiosité pourtant innée n’attendant que de s’éveiller par les soins que les frères entre eux se prodiguent par pure et pieuse, fraternité.

49.10.Les croyants ne sont que des frères.