Commémorer l’épreuve, et la gratitude d’Abraham
Concernant le sacrifice, il faut dire que c’est d’une ingratitude absolue que de maltraiter l’animal et de ne pas s’y prendre avec la douceur et le respect qui lui est dû.
En effet énormément de gens négligent et bafouent la bête comme s’ils étaient en conflit avec elle. Quand la situation se présente de la sorte c’est que le fidèle est en réalité en contradiction avec lui-même et qu’il n’a pas véritablement les tenants et aboutissants d’un tel sacrifice se devant d’être fait dans l’abnégation et la douceur ; abnégation qui n’est pas étrangère à la bête soumise à son Créateur mais qui est ignorée de la plupart des sacrificateurs pressés par les mondanités ; ces gens ayant oublié leur Seigneur tout en prétendant Le servir.
Quand un indigène chasse une gazelle – parce que les indigènes sont plus humbles que les actuels musulmans – , après qu’il l’ait atteinte de sa flèche, il reste auprès d’elle et partage sa souffrance dans une sorte de communion compatissante entre chasseur et chassé, parce qu’ entre ciel et steppe sur ce sol duniaque de conditions, le chasseur lui-même se sait dans la même position de faiblesse et de dépendance à l’ordre du Créateur ayant décrété que cette vie soit vie de lutte, et d’épreuve.
Alors pour ce qui est de la double gratitude et envers la bête de cheptel comme envers Son Créateur, elle est fondamentale pour sacrifier dans un état d’humilité caractérisant l’amour de la religiosité.
Qu’Allah agrée de nous et nous compte parmi les belles âmes bénies dans le deux mondes.
En effet énormément de gens négligent et bafouent la bête comme s’ils étaient en conflit avec elle. Quand la situation se présente de la sorte c’est que le fidèle est en réalité en contradiction avec lui-même et qu’il n’a pas véritablement les tenants et aboutissants d’un tel sacrifice se devant d’être fait dans l’abnégation et la douceur ; abnégation qui n’est pas étrangère à la bête soumise à son Créateur mais qui est ignorée de la plupart des sacrificateurs pressés par les mondanités ; ces gens ayant oublié leur Seigneur tout en prétendant Le servir.
Quand un indigène chasse une gazelle – parce que les indigènes sont plus humbles que les actuels musulmans – , après qu’il l’ait atteinte de sa flèche, il reste auprès d’elle et partage sa souffrance dans une sorte de communion compatissante entre chasseur et chassé, parce qu’ entre ciel et steppe sur ce sol duniaque de conditions, le chasseur lui-même se sait dans la même position de faiblesse et de dépendance à l’ordre du Créateur ayant décrété que cette vie soit vie de lutte, et d’épreuve.
Alors pour ce qui est de la double gratitude et envers la bête de cheptel comme envers Son Créateur, elle est fondamentale pour sacrifier dans un état d’humilité caractérisant l’amour de la religiosité.
Qu’Allah agrée de nous et nous compte parmi les belles âmes bénies dans le deux mondes.
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