Si ton sexe (une porte sur l’âme)
Si ton sexe te permet de vivre un moment de joie,
Alors, marie toi à ce moment, et souviens toi l’engagement afin que le bien dure.
Si ton sexe te permet de te soulager un moment,
Alors marie toi à ce moment, et souviens toi l’engagement afin que le soulagement dure.
Si ton sexe te permet, de te lier et d’aimer en vivant un vivant,
Alors marie toi à ce vivant, afin que vos deux arbres s’enracinent et que la forêt vierge, auprès du ciel culmine.
Si ton sexe fait partie de ton corps et de ta vie, de ta chimie,
Alors cultive l’ombre de l’intimité, où fourmille la flore de la postérité.
Si ton sexe fait partie de ton être,
Alors cultive sa clef qui te préserve, car la piété garde ton coeur, en gardant la porte de ton âme fermée
Si ton sexe fait partie de ton amour, de tes sentiments ou même de ton affectivité,
Alors préserve toi, et honore l’engagement te permettant,
De te rappeler et de garder ton coeur vivant comme l’est ton coeur, d’enfant.
Si ton sexe t’a nommé adulte,
Que sa pendule sonne et claironne le temps d’un égo pharaonique venu,
Si par déni de l’Ordre, des passions te miroitent un déguisé néant,
Souviens toi qu’Allah domine et culmine,
Et que le croyant vrai,
N’est qu’un enfant soumis,
Aux phénomènes, du temps ;
Par un temps qui passe et a sacré le discernement des croyants.
Si ton sexe prend trop de place dans ta vie,
Que tu es célibataire, ou comme le clandestin d’un amour qui sans cesse miroite un jardin et puis s’enfuit,
Ou bien marié et tiraillé-tenté, d’aller voir ailleurs sans même savoir aimer et légiférer
Dans un monde devenu sourd, fitnaïque, trouble, et fou
Garde toi et rappelle toi la Loi et comment elle apaise et fixe les coeurs,
Garde toi et creuse un puits en toi ;
Où tu puiseras à l’aide du Coran-foreur
L’eau la plus fraîche,
Au plus près de la connaissance de soi ;
Là où les pieux séjournent,
Et où nulle fatigue ni lassitude ne les touche.
Sur l’instinct de la droiture
Dans cette manie de percevoir l’autre, il y a le fait de minimiser le mal qu’on fait sciemment en manipulant, en blessant, ou en dénigrant un frère ou une soeur comme si il ou elle n’avait rien d’éternel et comme si le lien qui nous unissait à lui ou elle était ou pouvait finir, comme un clin d’oeil.
Le clin d’oeil de la ruse éphémère, cela ne vous souvient-il pas la ruse de Satan, à laquelle la Ruse d’Allah est supérieure, et promet justice à tous les innocents qui espèrent en Lui Seul le secours ?
Dans cette façon de se léser en lésant l’autre, il y a encore le fait d’utiliser l’autre sous couvert de lien de foi, comme si la vie n’était qu’un jeu de rapports malins de tromperie et de profits ou de pertes.
Le fait aussi, on ne manquera pas de le rappeler, de considérer l’autre comme un jouet sexuel ; et cela, qu’un mariage soit conclu ou non, car le péché n’est pas seulement la fornication, mais bien d’avoir des coeurs égoïstes, divisés et si peu enclins à la piété des coeurs.
La perversité n’a qu’une seule et même source : l’absence de scrupule est avant tout un instinct fraternel médiocre.
De la nature à la modernité
L’époux est un vêtement pour son épouse et inversement
Mais le culte des vêtements et du paraître ont tant varié et fait rêvé
Que les époux sont devenus les serpillères et les chiffons de la fornication
Quand ils ne sont pas la pelle et la poubelle qui ramassent les bris et les fragments
Désordre et corruption
Allah Aza wa Djel nous a enseigné de n’être soumis qu’à Lui Seul.
Cependant, cela n’implique pas systématiquement le lynchage des croyants auxquels ont parvient joyeusement à trouver des défauts de sorte à nous désavouer des « fâcheux » coreligionnaires pour mieux nous estimer exceptionnels et donc dignes d’être graciés par tous ceux qui estiment par ignorance que l’Islam est une barbarie.
Les croyants sont des gens de défaut ; mais des gens conscients de leur caractère défectueux, et qui sont censés selon leur dogme -pour ceux qui le connaissent et le révèrent – se surpasser pour se parfaire et parfaire le monde ambiant, sans jamais se morfondre ; car se morfondre est un signe d’égarement psychique tandis que le croyant est rationnel et que ses devoirs lui gardent la tête au frais et préservent son sens des priorités (s’il est fatigué il se repose, mais il ne se morfond pas car Allah a pouvoir sur toute chose).
Concernant le relationnel inter-fraternel, quand on se fâche contre un croyant, on le fait soit pour notre égo, soit pour Allah.
Si c’est pour Allah, alors ce désaccord a ses règles et il est propice à plus de fraternité, d’unicité ; de repentir, et donc de succès dans tous les cas.
Quand c’est pour l’égo, toutes les raisons se valent, il n’y a pas de raison, pas d’explication rationnelle, juste un brouillard, une abime passionnelle, une charge et une rage qui cherche à se manifester par l’agressivité et la division ; dont le grand désordre.
Vous savez, ceux qui aiment Allah, Allah les unit et les guide sur un chemin droit : nul n’est égal à Lui.
Quant à ceux qui Lui associent leur égo, comme si l’idéal consistait à satisfaire nos caprices ou nos injustes et irrationnelles frustrations au lieu de raisonner et choisir le bien, ceux-là sont ce qu’Allah a combattu : Les associateurs ne sont que corruption.
La petite journalista barbie
La petite journaliste barbie.
C’est gagné dans le sens du petit narcissisme du petit musulman qui avait tellement envie de se faire apprécier des grossiers profanes qui jour après jour perdent de leur humanité.
Mais du point de vue de l’Islam et de ce que l’Islam représente, c’est un peu honteux.
Car je dois dire que cette jeune femme que je respecte a tout des manières d’une sécularisée. Elle joue devant la caméra comme une petite poupée à papa, dans un monde en réalité à feu et à sang, un monde de brutes qui n’auront fait d’elle qu’une bouchée.
En réalité, pour être une femme engagée dans un monde dominé par les hommes il faut faire ses « preuves », celles ci consistant en un esprit rationnel, laissant peu de marge à l’émotion et à la superficialité, dont encore une fois les hommes n’auront fait qu’une bouchée.
La réalité, c’est que les médias occidentaux ne représentent en rien la réalité ; et que la gentille jolie filiforme petite journaliste qui en est la salariée-ouvrière, ne semble pas l’avoir compris.
Alors oui, c’est une petite victoire pour les affamés-mendiants, mais en réalité, un échec par dessus l’échec qui explique en partie l’état du monde ambiant qui se dégrade jour après jour.
Échec pour tous les vrais hommes, qui voient leur petite soeur se trémousser dans un monde de plus en plus irréel, informe, et inhumain, et en désordre, qui feint une victoire pour mieux dénaturer la nature et mieux induire en erreur les fragiles comme c’est le cas de ces femmes qui rêvent du non-sens de la couronne du jahl.
Une jeune et fine, et jolie jeune femme désirablement voilée aux-côtés de corrompus en tout genre, pensez-vous vraiment qu’il en restera quelque chose ?
Ce billet ne plaira pas à tout le monde certes, même si cette manie de superficiellement se voiler tout en se soumettant au dictat de l’apparence continue à séduire malgré sa vulgarité ;
et le voile n’est pas la religion à lui seul tout autant que le fichu de cette jeune fille ne représente tout au plus que l’image qu’elle se donne.
Monde d’image et de regards illusionnés ; de pubs et de fantasmes additionnés.
Le vêtement de la piété, voilà qui est meilleur.
7.26. Ô enfants d’Adam! Nous avons fait descendre sur vous un vêtement pour cacher vos nudités, ainsi que des parures. – Mais le vêtement de la piété voilà qui est meilleur. – C’est un des signes (de la puissance) d’Allah. Afin qu’ils se rappellent.
suis le souffle et ne complique pas
Le Coran n’est pas compliqué ; au contraire il et clarté absolue.
C’est plutôt l’homme qui soit devenu pervers, pluriel, mitigé : compliqué.
C’est dire qu’en vérité la science est partie des mains musulmanes depuis longtemps pour ne plus sortir des griffes profanes.
C’est dire aussi que le musulman n’a su se distinguer du profane qui le différencie ; si bien qu’il soit devenu inférieur et avili.
La complexification des choses et du monde n’est pas comme on pourrait le croire le seul fait de la science qui soit compliquée ; mais le fait des profanations et recettes profanes qui, de par leur emploi de la science non conforme au seul et universel Haqq, ont fait d’elle une science perverses de complexités et de codes pour mieux asservir.
La science est le monde et le monde est notre lieu de vie. Il n’est pas si compliqué pour qui le respire dans l’art de son ordre naturel. Et le Coran est son souffle.
Le prédicateurman est mort ; que l’homme simple et honoré se lève
Le Quran est à l’antipode de ce qu’on voit se produire, à savoir les déséquilibres et distanciations entre d’une part les « ignorants », les « pécheurs », « instables », « fragiles » et « débauchés » compris, et de l’autre les « clercs » de la religion.
Si l’Islam a institutionnalisé, c’est bien la Rahma (amour matriciel) et la patience, qui permet d’assister celui ou celle qui nous est désagréable tout en nous ancrant solidement dans le Haqq de Celui qui ne flanche pas et nous satisfait au-delà comme au plus près de nous-mêmes.
Mais pourtant, vous le remarquerez, les clercs sont très enclins à se fermer entre eux, laissant les autres dans leurs « bassesses ».
Ce n’est pas cela qu’être dans la prédication, et ce n’est pas cela qu’être musulman.
Non, la prédication n’est pas un commerce, elle est gratuite et restera le fait d’humbles qui se repentent et se purifient, et qui se rappellent que la valeur est là où nos yeux ne la voient pas ; et là où notre raison ne valorise pas : le plus noble est le plus pieux et Allah est omniscient et grand connaisseur.
L’avenir des « prédicateurs » tels qu’ils ont été institutionnalisés par l’homme est mort ; la prédication ne se développe désormais que par les gens et leur implication profonde et personnelle pour Allah qui nous rassemblera dans le Tawhid, ou en enfer ; qu’Allah nous préserve du châtiment du feu qui cerne les négateurs et les associateurs de toutes parts.
L’individualisme citadin moderne est un virus qui a infecté beaucoup de monde.
« La course aux richesses vous distrait, jusqu’à ce que vous visitiez les tombes », dit la sourat 102.
L’islam est fraternité universelle ; l’individualisme qui mène à l’hypocrisie est son ennemi ; sur lui se regroupent ceux qui ont nié les signes de leur Seigneur
Et par Sa confiance, une insouciance nouvelle
J’avais besoin,
A la Lumière, de L’Un aux sublimes Noms,
De re-scuplter le corps céleste de ma vue ;
Et me rappeler si bien,
Que si je la perds demain,
Elle vaut, aujourd’hui, en telles manières éphémères d’être vécue.
Et par Ses sublimes noms,
Que la paix t’accompagne quels que soient tes blessures et saignements ;
Que la paix t’accompagne ;
Là où les regards mortels ne parviennent pas ;
Et où Son regard caressant te réchauffe, impulse ton coeur et guide tes pas ;
Et permet dans un retour de clairvoyance, à ton esprit,
De cicatriser, ce qui n’allait pas
Où Son regard caressant,
Régénère ce qui te manquait tant
Faculté, de Percevoir
L’intelligence n’est telle,
Que pour l’amoureux qui l’aime
Et qui la suit et la conserve,
Et la révère à mesure qu’elle lui confère,
La certitude de l’au-delà
La station des Messagers
La personne est divertie au plus clair de son temps.
Elle vit la vie comme si c’était une contrée d’un autre temps.
Arrive un moment un problème qui ternit son son regard autrefois illusionné de fausses joies.
Le nafs est lésé.
Il cherche comment soulager son dilemme*
N’ayant pas l’habitude de se souvenir, se repentir et se rappeler,
Il cherche alors un bouc émissaire.
Décharger son agressivité sur quelqu’un, cela se présente bien souvent,
Comme la clef du problème.
Hisse ton frère sur le bûcher et farde le donc de tes peines à bruler
Tu ne trouveras que ton oeuvre hypocrite qui te brule qui te pique ;
qui t’enfume et te réveille dans un brasier que tu n’as de ton vivant,
Pas oeuvré à éteindre,
En te rappelant la station des Messagers.
La Manière des Messagers
Bien que le devoir veille,
laisse moi écrire quelque feinte nouvelle,
Que mon coeur se déverse
D’une averse de larmes,
Que je peine décidément à retenir.
Je voulais te dire,
Que les grands se déchirent ;
Pendant que dans leur coquille les enfants étouffent et pleurent,
Et que d’autres les yeux pleins de lueur,
Sont amoureux de cette aura, que la providence déverse sur certains passagers ici-bas.
Et je t’aime,
D’un amour venu d’ailleurs
qu’on ne peut expliquer ni intellectualiser.
Un amour qui n’a pas de corps,
Et qui nous dit comment prier,
Et vers Qui se tourner ;
Qui nous dit comment aimer ;
Et comment s’honorer à la manière des Messagers
Fin et feuille
La fin de vie, comment t’apparaît-elle ?
A l’insouciant, elle peut facilement paraître insignifiante, effacée, grise ou blanche, sans tonalité.
Douce, ou absente. Comme un décor, un parc déserté.
Pourtant elle est bien plus que ça pour son habitant ;
En dépit de la faiblesse apparente de ce corps livide et sans force,
La violence interne est parfois inouïe pour un corps ayant fait son temps ;
Fougue de vie provoquant parfois la mort dans un déchirement
D’une contrée, assurément illusoire, fragile et passagère…
La guidée
Un imam est quelqu’un qui se repent, pour demeurer reconnaissant en ALLAH qui a créé et donné, pour se guider et guider les autres à travers son repentir/son retour vers Allah, car cet égo n’est que faux et feu. Or, qu’est-ce qu’on voit ?
Des imams prosélytes de leur courant/leur égo, glorifiant leurs faire et leur petites vies misérables dans leur mode, plutôt que partisans d’Allah Seul par leur absence d’orgueil et ses largesses.
Un individu faussement humble imbu de sa vie, de sa personne, de sa famille plutôt que gratifiant envers Allah en ce qu’Il donne, et craintif de Lui pour ce dont Il prive quand Il surprend, ne guidera pas les gens, même s’il les motive en leur jetant sa poudre aux yeux.
C’est cet état, ou station de l’être qui égalise les croyants et les rappelle à leurs devoirs comme à la bénédiction d’être ensemble en Son Nom pour une cause sublime.
Lui qui rassure et qui choie, qui unifie, qui apaise, qui fortifie, qui préserve.
Les Croyants ne sont que des frères. Allah aime ceux qui se repentent et aime ceux qui se purifient.
18. 103. Dis : « Voulez-vous que Nous vous apprenions lesquels sont les plus grands perdants, en oeuvres?
104. Ceux dont l’effort, dans la vie présente, s’est égaré, alors qu’ils s’imaginent faire le bien.
105. Ceux-là qui ont nié les signes de leur Seigneur, ainsi que Sa rencontre. Leurs actions sont donc vaines ». Nous ne leur assignerons pas de poids au Jour de la Résurrection.
17.36.Et ne poursuis pas ce dont tu n’as aucune connaissance. L’ouïe, la vue et le coeur : sur tout cela, en vérité, on sera interrogé.
contraste ou rencontre
Le confort rencontre la douleur
La stabilité rencontrera l’instabilité
L’insouciance rencontrera le bouleversement
La lumière laissera place aux ténèbres, et inversement
L’indifférence trouvera l’amour et épanchera sa peine dans la Miséricorde enveloppante.
Une femme qui pleure d’amour ce n’est pas grand chose mais ce n’est pas rien du tout
Ce n’est pas des amourettes ;
Mais un coeur qui se fend et duquel surgit, de l’Eau.
La lumière regarde toujours vers toi et te voit quand tu souffres…
Endure, la promesse d’Allah est vraie ;
Et bientôt, comme on éteint un téléviseur,
Ta douleur s’éteindra et laissera place à tes lumières…
Quand tu es dans la douleur tu cherches la lumière
Quand tu es dans la lumière tu L’oublies…
Tu ne la trouves vraiment qu’auprès de celui qui cherche à sortir de l’interminable couloir de la douleur
Cette douleur qui en frappe certains plutôt que d’autres par contraste de ceux qui se soucient de ceux qui souffrent et de ceux qui bientôt seront apaisés sur décret, de celui qui éprouve.
29.2.Est-ce que les gens pensent qu’on les laissera dire : « Nous croyons! » sans les éprouver?
3.Certes, Nous avons éprouvé ceux qui ont vécu avant eux; [Ainsi] Allah connaît ceux qui disent la vérité et ceux qui mentent.
4.Ou bien ceux qui commettent des méfaits, comptent-ils pouvoir Nous échapper? Comme leur jugement est mauvais!
5.Celui qui espère rencontrer Allah, le terme fixé par Allah va certainement venir. Et c’est Lui l’Audient, l’Omniscient.
57.12. Le jour où tu verras les croyants et les croyantes, leur lumière courant devant eux et à leur droite; (on leur dira) : « Voici une bonne nouvelle pour vous aujourd’hui : des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux pour y demeurer éternellement ». Tel est l’énorme succès.
13. Le jour où les hypocrites, hommes et femmes, diront à ceux qui croient : « Attendez que nous prenions de vos lumières ». Il sera dit : « Revenez en arrière, et cherchez de la lumière ». C’est alors qu’on éleva entre eux une muraille ayant une porte dont l’intérieur contient la miséricorde, et dont la face apparente a devant elle le châtiment [l’Enfer]
14. « N’étions-nous pas avec vous? » leur crieront-ils. « Oui, répondront [les autres] mais vous vous êtes laissés tenter, vous avez comploté (contre les croyants) et vous avez douté et de vains espoirs vous ont trompés, jusqu’à ce que vînt l’ordre d’Allah . Et le séducteur [Le diable]: vous a trompés au sujet d’Allah.
Des hommes ingrats
Ce n’est pas tant que ça la soumission des femmes aux hommes qui dérange, mais la laideur de ces hommes se prétendant musulmans et encore la laideur de leur prétention au droit de commander à la femme sans prendre en compte l’ampleur de son cerveau ou de sa puissante dévotion à Dieu Seul.
Qu’ont-ils laissé à la femme ?
Rien ; ils ne lui ont laissé que le risque ou l’érotisme d’une soupape sexuelle à fantasmer ou à refouler en la cloitrant.
araignée et Liberté
Si tu vois comment le passionné transforme le Sujet de sa passion en chose destinée à le dorer et comment par cela il la prive du respect qu’on destine aux vivants,
Tu vomis du sang, et tu craches des araignées qui se répandent partout comme le ciel se couvre pour gronder de ténèbres, et de désapprobation.
Une station saine
Il est une station dans laquelle toutes les âmes se retrouvent en communion lorsqu’elles n’associent rien à leur Seigneur. Les rangs serrés de l’Islamité de Lumière sont cela.
Mais il en est une autre, où l’individu erre sans jamais trouver repos ni refuge parce qu’il associe son égo à son Seigneur.
Ô personne, débarrasse ton être de ton égo-idole par lequel Satan te manipule et te sépare de tes frères.
61. 1. Ce qui est dans les cieux et ce qui est sur la terre glorifient Allah, et Il est le Puissant, le Sage.
2. Ô vous qui avez cru! Pourquoi dites-vous ce que vous ne faites pas?
3. C’est une grande abomination auprès d’Allah que de dire ce que vous ne faites pas.
4. Allah aime ceux qui combattent dans Son chemin en rang serré pareils à un édifice renforcé.
5. Et quand Moïse dit à son peuple : « Ô mon peuple! Pourquoi me maltraitez-vous alors que vous savez que je suis vraiment le Messager d’Allah [envoyé] à vous? » Puis quand ils dévièrent, Allah fit dévier leurs coeurs, car Allah ne guide pas les gens pervers.
42.13. Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu’Il avait enjoint à Noé, ce que Nous t’avons révélé, ainsi que ce que Nous avons enjoint à Abraham, à Moïse et à Jésus : « établissez la religion; et n’en faites pas un sujet de division ». Ce à quoi tu appelles les associateurs leur parait énorme. Allah élit et rapproche de Lui qui Il veut et guide vers Lui celui qui se repent.
14. Ils ne se sont divisés qu’après avoir reçu la science et ceci par rivalité entre eux. Et si ce n’était une parole préalable de ton Seigneur pour un terme fixé, on aurait certainement tranché entre eux . Ceux à qui le Livre a été donné en héritage après eux sont vraiment à son sujet, dans un doute troublant.
30.30. Dirige tout ton être vers la religion exclusivement [pour Allah], telle est la nature qu’Allah a originellement donnée aux hommes – pas de changement à la création d’Allah -. Voilà la religion de droiture; mais la plupart des gens ne savent pas.
31. Revenez repentants vers Lui; craignez-Le, accomplissez la Salat et ne soyez pas parmi les associateurs,
32. parmi ceux qui ont divisé leur religion et sont devenus des sectes, chaque parti exultant de ce qu’il détenait.
Vis l’Idéal, mais n’idéalise personne
Vise la station idéale concernant ta personne,
Mais surtout n’idéalise personne…
Sois le Religieux dont tu as toujours rêvé inshaAllah,
Et surtout ne place pas cette religiosité entre crochets comme si elle dépendait des autres.
Sois un serviteur d’Allah
Puis le reste, inshaAllah, suivra.
Sois un combat contre le faux qui mine ton être ;
Et la paix, la vie, inshaAllah suivra comme le ruisseau surgit des entrailles de la terre
17. 80. Et dis : « Ô mon Seigneur; fais que j’entre par une entrée de vérité et que je sorte par une sortie de vérité; et accorde-moi de Ta part, un pouvoir bénéficiant de Ton secours ».
81. Et dis : « La Vérité (l’Islam) est venue et l’Erreur a disparu. Car l’Erreur est destinée à disparaître ».
82. Nous faisons descendre du Coran, ce qui est une guérison et une miséricorde pour les croyants. Cependant, cela ne fait qu’accroître la perdition des injustes.
Sur la polygamie
En effet, sans la condition de l’ harmonie morale et spirituelle la polygamie ne sera pas différente d’un concubinage bi, tri ou quadrigame non-islamique. Elle ne reposera pas sur l’agrément Divin produisant l’harmonie ; et elle se démontrera incapable de produire une descendance elle-même formée sur l’harmonie et la spiritualité qui font l’Islam.Il ne va pas sans dire que la spiritualité, surtout dans un univers infesté et surpeuplé de divertissement comme le notre devient une chose difficile à obtenir islamiquement parlant.
Vous trouverez certes des spiritualités alternatives, contenant certaines vérités faisant leur charme, mais dépourvues de l’essentialité formant l’humain à l’activité politique, ou guerrière – c’est à dire défensive- selon l’époque.
Dans nos sociétés complexifiées face à des populations privées des tenants, cette activité politique défensive et préventive de l’Islam est avant tout intellectuelle ; c’est elle qui permet la protection de la spiritualité ; et encore elle qui permet la rémanence de l’intelligence c’est à dire, de l’adaptativité.
Finaliser la spiritualité islamique est bien plus délicat pour la raison que cette finalité, tant et si bien elle est pragmatique et interconnectée aux différents univers et dimensions qu’elle relie, n’est autre que l’aboutissement politique c’est à dire affectivo-intellectuel.
On retiendra le rapport entre politique, spiritualité, polygamie, moralité et harmonie des couples et des familles : se reproduire dans l’anarchie produit le chaos ; se reproduire dans l’harmonie produit la matière première à cet esprit d’Islam.
L’homme pensant est un être politique ;
sentimental il est chamane ;
Protecteur il devient Islamique.
Marche droit mon enfant
Mon enfant, prends garde de ne pas devenir étranger à tes propres frères,
Prends garde de nourrir quelque haine ou mépris à l’égard de ta propre chair.
Mon enfant, sois attentif au monde qui te compose et qui danse tout autour de toi.
L’injustice envers Son Créateur ne lui réussit pas ;
Il a besoin de stationner dans l’harmonie pour communier avec, l’à venir.
Mon enfant, si tu veux haïr-tuer quelqu’un, alors tais toi ; car ce sera toi.
Mon enfant, si tu veux te plaindre d’un mal à qui ne peut ni pour toi ni pour lui-même
Mon enfant, n’est-ce pas se vouer corps et âme au néant ?
Lève toi et sois digne mon enfant ;
A la lumière du Livre sois digne et polis ton coeur d’écoute du transcendant.
Mon enfant, vois ce monde et à travers,
Car si tu choisis de ne regarder que le plaisant,
Tu ne te prémunis contre un lendemain brulant réservé,
A ceux qui se font du tort à eux-mêmes.
Sur l’honneur d’un homme
L’honneur d’un homme n’est pas dans son machisme-son orgeuil-sa mécréance, mais dans sa faculté à cultiver et revivifier l’islamité de ses proches.
L’honneur d’un homme, ce n’est pas le nombre de ses épouses ou de ses enfants ni l’introversion et l’effacement de ses épouses, mais leur piété qui fait qu’il soit tranquille où qu’il aille et où qu’il soit.
Il confie ses enfants et sa famille au Préservateur auprès duquel les pieux se préservent. Il remplit ses engagements tout autant que les siens observent les leurs. Non pas à son égard ; mais envers Son Seigneur qui est le Seigneur de tous les autres.
L’homme honoré-honorable et les siens préservent le dépôt et l’engagement de n’adorer que Lui.
Voilà l’honneur ou l’enseignement de l’Islam, qui fait la liberté des pieux et des pieuses, ces serviteurs d’ar Rahman, formés et sensibilisés à l’Utile et l’Equitable ; sans se frustrer ni interdire leurs émotions mais simplement en les ordonnant selon Son ordre.
Ceux qui savent qu’en dehors de la Justesse-la Justice il n’y a ni vie ni à venir ; et qui se maintiennent dans la station de piété ; celle qui fait d’eux, un élément en harmonie dans une création toue entière en équilibre et en vie par Sa célébration.
L’honorable s’éduque et éduque ,
L’honorable se repent et invite ses frères en religion à en faire de même pour communier dans la station-le chemin, de ceux qui reviennent vers Lui.
Autour du néant de l’égo, le spectre d’al Haqq à 360 degrés
Ils ont cherché le plaisir avant d’aimer la justice.
Leur plaisir n’est désormais qu’égarement et précipice.
Ils ont cherché l’exclusivité d’un rêve sans équité ;
Leur gloire n’est donc que vanité, et hypocrisie.
Ils ont cherché à se mettre à l’abri du regard des gens,
Mais ont négligé le regard d’Allah décrétant l’honneur des serviteurs.
Leur présent n’est donc que ténèbres au jour du Jugement ;
Les voilà les infidèles, les voilà les libertins.
Parler de religion – des galaxies
Parler de Dîn,
C’est inviter à la solitude où l’on côtoie Allah.
C’est restaurer cette solitude, ce tissu de la paix.
C’est ouvrir une porte au mystère et à l’absentement de ceux,
Qui nous divertissent de Sa présence ;
Ceux faisant partie de ce décor-ce monde promis au feu.
Évoquer le Dîn,
C’est inviter à se réapproprier une mort promise et programmée
Et par elle, se préserver de ce qui meurt et nous laisse abusés de nos excès.
C’est regarder un ciel, dont le bleu envahit nos prunelles pour les baigner d’étoiles dans la nuit,
Une nuit mettant en évidence,
Quelques poussières d’un au-delà infiniment plus merveilleux encore
Que les visages de tous nos aimés réunis.
Une galaxie, composée de tes aimés, tes chéris,
Qui par ta vie et ton amour pour Lui, se révèlera bénie et invitante
A Sa promesse,
Qui n’est pas celle, d’un humain diverti.
66.6. Ô vous qui avez cru! Préservez vos personnes et vos familles, d’un Feu dont le combustible sera les gens et les pierres, surveillé par des Anges rudes, durs, ne désobéissant jamais à Allah en ce qu’Il leur commande, et faisant strictement ce qu’on leur ordonne.
Gloire et tâtonnement
Notre Deen, c’était ta fibre, c’était mon essence, c’était leur coeur à tous. Ils étaient si nombreux à prétendre en parole mon islam, si nombreux à parler de mon coeur.
Le phénomène avait cela de dérangeant, que personne n’était vraiment habilité à le représenter.
Personne ne faisait assez bien, et je ne trouvais personne hormis la personne du Messager nous ayant laissé cette Parole Inspirée.
Il y avait tant de voix qui s’élevaient, et tant d’égos qui dansaient au nom de l’Islam sans jamais réellement l’atteindre ou le représenter.
Tant de personnes se présentant dans la gloire en public, et conditionnées par leur honnêteté, à se repentir dans l’intimité, pour Invoquer Le Préservateur, de les sauver du feu.
Un feu, qui était là avec nous, dans les assemblées, sur les écrans, de partout présent à même la prétention de se représenter.
Car nous n’étions pas là pour représenter quelque chose mais pour prier.
Nous n’étions pas là pour représenter autre chose que l’identicité à tous les autres et pourtant nous cherchions tous à nous distinguer, à différer pour mieux briller.
Nous avions pour mission de s’entre-connaître là où nos orgueils enragés exigeaient l’artifice et la mise en scène ; quand les prophètes et Messagers incarnaient la transparence, la fusion dans l’ordre, l’humilité et l’Unicité.
En celui que nos compteurs célèbrent nous étions ensemble, mais en ce que nos égos célébraient tout en exigeant des autres, nous n’étions le plus souvent qu’étrangers amères, assourdis et aveugles aux coeurs de tous les frères.
Dans les assemblées, l’enthousiasme et les sourires d’aisance et de façade laissaient place à l’amertume de coeurs non suffisamment humiliés, vivifiés de repentir et unis ; comme à la dispersion d’êtres non suffisamment entendants, transparents et polis.
Je ne doutais pas de leur amour pour Allah, mais je le savais entaché de certaine concurrence.
Je ne retrouvais leur amour pour Allah qu’en ma seule adoration, qui me savait en faute et en péril ; par ce temps qui passe.
Qui étais-je, qu’est-ce que j’étais sinon cet ingrat bénéficiaire.
Heureusement qu’Allah m’avait humilié pour me permettre de revenir à Lui.
L’angoisse avait cela de bon, que la perdition de l’égo était une évidence mise en Lumière par Son amour inspirant à mon esprit de se purifier.
Aussitôt l’assemblée et le micro rendus, je m’en retournais, confus, sans autre besoin que de ressentir et me rappeler, que tous m’auront abandonnés, quand ils seront devant leurs actions accomplies, à rendre compte de ce qu’ils faisaient.
Et ma prière, aujourd’hui, n’aura été que de revenir à Lui, qu’Il me pardonne me purifie et me guide et m’accepte, et me rapproche de ce qu’Il agrée pour Ses serviteurs élus.
66.8. Ô vous qui avez cru! Repentez-vous à Allah d’un repentir sincère. Il se peut que votre Seigneur vous efface vos fautes et qu’Il vous fasse entrer dans des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux, le jour où Allah épargnera l’ignominie au Prophète et à ceux qui croient avec lui. Leur lumière courra devant eux et à leur droite; ils diront : « Seigneur, parfais-nous notre lumière et pardonne-nous. Car Tu es Omnipotent ».