Une petite histoire de réussite
Je pense qu’il n’y a rien de plus difficile que d’être un homme hypersensible dans une société décérébrée, hypersexualisée, hypermatérialiste, hypermarchandisée, ultra perverse.
Soyez les plus intelligents mes frères, soyez les plus intelligents de sorte à donner à votre esprit sa voie de secours dans cette grande décharge infestée de détritus, jonchée d’obstacles, de pièges, de mirages, de croques-membres ; de crève-cœurs.
La solution à une guerre, n’est jamais de se prostituer, de vendre sa virilité ou sa chasteté comme le système voudrait nous voir le faire.
Mais la solution, c’est de capitaliser son énergie et de l’harmoniser dans des actes simples, mais profondément vrais et utiles. Là est le Haqq.
C’est là qu’est le succès.
Auprès de Sources
Tous les discours, tous les articles de presse, toutes les pages de romans, et le journal intime, et ta manière de l’écrire, et de tracer tes lettres et de faire des jolies rimes.
Tous les discours, auxquels on prête l’oreille pour se divertir,
Tout ce qu’on lit sur le journal, pour ne pas que le silence ait sa rime.
Toutes les lignes, et toutes les tirades ; toutes les prises de parole, tout monologue et tout théâtre ;
Toute anaphore et toute métaphore iront ensemble brûler de par le temps dans les poussières remplissant les urnes.
Cette tombe que tu fuis et dont tu te détourne,
Elle est là, elle t’attend ;
Quant à la vie,
Est-ce que tu l’entends, est-ce que tu la sens ?
Ta soif est-elle au rendez-vous ?
Est-elle prête à la gratitude promise aux endurants qu’on prenait pour des fous ?
Alors sois digne et droit ;
Incline ; fléchis ; plis le genoux ;
Pose bientôt ton front ;
Éteins l’ordinateur ; le téléphone et avec lui tes stratagèmes
Et confie toi à Celui qui t’a décrété d’être là, et ouvre toi à ce qu’Il te transmet en te donnant cette conscience d’être allumé ici ou là ;
Pour une raison sublime et pour des lendemains radieux auprès de sources
Aux regains mélodieux.
Soyez des singes abjects
Il n’y avait que des khawaridjs
Pour forcer une femme au silence et au bagne
À défaut de les épouser
Que des négateurs, des animaux
Faisant usage de leur démon à l’encontre de la largesse et de l’équité du lien social ;
Alliés avec ses cornes et sa fougue aveuglée contre la soumission, et la parcimonie.
Schizophren
La schizophrénie résulte en sa base d’une incapacité temporaire à mettre les mots sur des émotions intenses puis à sa chronicisation. Quand ce paramètre d’expression et de lien de confiance au monde échoue, alors la personne intériorise l’émotion et le dialogue prend forme dans un monde de plus en plus intériorisé ayant pour effet d’élargir, mais aussi de virtualiser et de subdiviser les sens pour tisser des liens sécurisants supra-égoïstes et exclusivement psychiques et irrationnels. Peut-être que si nous apprenions aux enfants, comme prime valeur, à nommer par leur noms toutes les choses c’est à dire à exprimer leurs idées leurs avis leurs mécontentements bref leurs émotions et par cette expression à synthétiser leur existence de sujet, alors le dialogue aurait l’effet socialisant administrant et liant vers les autres et l’extérieur; effet qui lui est propre et qui lorsque cette capacité de mettre les mots et de se représenter les choses fait défaut a pour effet un retournement intérieur ayant appellation de possession, schizophrénie. En termes théologiques, le sujet quitte le monde humain perçu ou jugé hermétique, étranger ou insécurisant pour un refuge exclusivement nasfi-djinnique faillissant ainsi à la mission califale-adamique ne pouvant se réaliser que par l’adhérence à Allah qui sécurise et qui chaque jour accomplit oeuvre nouvelle ; fait sortir le vivant du mort et le mort du vivant.
C’est Lui, l’Audient, l’Omniscient
Je voulais te dire je t’aime, mais tu ne pouvais pas entendre la voix de l’Éternel
Je voulais que tu touches mon âme,
Mais tu ne pouvais pas l’approcher ni la traverser ni la tenir dans tes mains,
Ni la peser ni la mettre dans ton enveloppe ;
Ni la mettre dans ton coffre fort ;
Ni l’entourer de ton bandeau de soie ;
Ni la saupoudrer d’or et rire avec elle aux éclats
Le rire de mon âme demeurait inaudible dans ce monde limitrophe, enterré et bas.
Mon âme, qui aime,
Qui voit et qui vit, elle était à Lui
Je voulais que tu attrapes mon âme, et que tu la comprennes sans qu’il y ait le moindre bruit,
Mais tu ne l’as pas entendue et n’as pas répondu,
Tu étais plongé dans tes pensées,
Enfermé dans ton tombeau charnel.
Nous étions entourés de gens qui ne pouvaient pas plus pour nous
Qu’une tombe ne peut pour un mort.
Et j’avais compris,
Que je n’avais que Lui
Nous n’avions que Lui,
Ils s’étaient fourvoyés à se détourner de Lui
Et mon âme n’avait d’Audient que Lui ; L’Omniscient.
Hommes de Dieu
Hommes de Dieu,
Ils ne sont pas parfaits mais par leur foi en Lui ils sont dans Sa lumière et sont sublimement mis en Lumière par Lui ;
Ils ne sont pas tel certains qui utilisent le Nom de Dieu comme un faire valoir de leurs dépouilles putrides auxquelles ils restent attachés,
par dessus tout…
Quand tu es pour Dieu tu t’oublies ; tu Le laisses te gouverner,
Il fait de toi son amoureux et alors tu souris ;
Tu souris même devant la guillotine ;
Même devant l’endroit de ta mort imminente dont le mirage se dissipe à mesure qu’approche et se confirme le rationnel Paradis.
2.257. Allah est le défenseur de ceux qui ont la foi : Il les fait sortir des ténèbres à la lumière. Quant à ceux qui ne croient pas, ils ont pour défenseurs les Taghout , qui les font sortir de la lumière aux ténèbres. Voilà les gens du Feu, où ils demeurent éternellement.
258. N’as-tu pas su (l’histoire de) celui qui, parce qu’Allah l’avait fait roi, argumenta contre Abraham au sujet de son Seigneur? Abraham ayant dit : « J’ai pour Seigneur Celui qui donne la vie et la mort », « Moi aussi, dit l’autre, je donne la vie et la mort. » Alors dit Abraham : « Puisqu’Allah fait venir le soleil du Levant, fais-le donc venir du Couchant. » Le mécréant resta alors confondu. Allah ne guide pas les gens injustes.
L’Islam scientifique
Imagine une société, où le savant qu’il soit musulman ou non,
Est validé par la qualité de sa transparence, et protégé.
Imagine que les savants soient respectés pour leur science utile
Produisant de la lumière durable sur terre et validés, par aucun autre critère.
Imagine le savant athée qui ne fait pas d’apologie à la mécréance, ce mépris de la foi.
Imagine son absence d’orgueil qui le rapproche des religieux eux-même anti-gloriole.
Imagine le savoir affectif des religieux
Allié au savoir quantique des scientifiques.
Imagine la science islamique, l’islam scientifique ;
Imagine la liberté de L’adorer
En reconnaissant Ses grâces
Données pour en bénéficier.
Imagine toi vivre par le Coran glorifié de ta vie, désormais éclairée
Imagine notre calife,
Aux sublimes qualités,
Libérant des ténèbres
Et empêchant les maladies du cœur de se répandre dans la communauté
Imagine,
Que nous soyons de nos ténèbres, libérés par la vérité
Que l’égoïsme invalidé par la piété
Nous rende la science et le savoir-aimer
A la lumière d’un savoir-être et adorer.
Tomber ou bien régner
Je n’étais pas heureux parce que je n’avais pas trouvé le compromis, la clef de voûte de mon équilibre spirituel. J’avais oublié que pour l’acquérir, il me fallait du temps et me décharger de nombreuses pierres.
J’avais oublié que mon esprit c’était aussi mon corps qui se devait purifié, endurant, maîtrisé et fluide.
J’avais oublié que mon corps, c’était ce qui m’aveuglait à mon esprit. Oublié que mon corps ne me demandait pas d’être rustre ou rigide ; même s’il m’arrivait d’être rigide parce que je manquais de maîtrise de moi.
Il est vrai que quand on ploie sous la conscience de ne pas maîtriser le monde, on s’écroule. Mais on parvient tôt ou tard à se tenir en équilibre, quand on sait qu’Allah nous destine à l’harmonie par l’adoration quoi qu’en distillent les vilains démons.
22.31.(Soyez) exclusivement [acquis à la religion] d’Allah ne Lui associez rien; car quiconque associe à Allah, c’est comme s’il tombait du haut du ciel et que les oiseaux le happaient, ou que le vent le précipitait dans un abîme très profond.
32.Voilà [ce qui est prescrit]. Et quiconque exalte les injonctions sacrées d’Allah, s’inspire en effet de la piété des coeurs.
Le geste et l’enfant
Enfant, le mot existait dans son intensité bien avant moi
Puis il est devenu une couleur à mon âme et une forme à mon entendement.
Aujourd’hui c’est par le mot que j’écoute,
Et par quelque chose de plus fin encore, j’entends.
Enfant, j’étais là comme une fleur au monde, ou un ruisseau, ou une prairie, ou la montagne, ou le canyon.
Enfant, j’étais le récipient ;
La page d’un livre qui s’écrit, se précise et se corrobore avec le temps.
Le temps passait si lentement.
Depuis, je vieillis-je me lasse si vite. Le temps coule comme une encre s’écoule lorsque l’ancre a été levée.
Comme une barque est tirée par le courant accéléré.
Le temps parait moins lent, quand tu vis avec ton âme,
Parce qu’éveillée elle prend le dessus sur ton estomac qui râle
Quand l’enfant met candidement à son coeur l’aliment sans un râle,
Quand bien même il pleure de toutes ses larmes.
Quand on est petits, le mot nous envahit comme un courant d’air ;
Puis petit à petit, comme le vent érode et sculpte,
Il fait partie de nous, ou délimite et détermine notre réception de la vie,
Comme des raisonnances que laissent en nous certains échos qu’il faut savoir bénis ;
Qu’ils soient à la douleur ou à la joie nous rappelant que l’existence bientôt se finit.
Et retenir absolument ceci :
La haine de l’humain empêche l’amour du Divin ;
L’amour du Divin permet d’haïr le mal sans lui donner la main.
Essayer d’être un Musulman
Si ma seule liberté consiste à me mouvoir par mon corps,
Si ma seule liberté réside dans la ressemblance à des gens, vivant de ma mort.
Si ma seule liberté, est de me mouvoir et faire paraître mon corps ;
Interroge donc mon âme ; demande lui, si elle est d’accord.
Je crains que nulle entité ne soit au fond d’elle en accord,
Avec un mode de vie sans divin accord.
Si ma seule liberté, est de vivre sans l’Islamique Baraka,
celle qui allie la liberté d’avoir une science alliée avec l’humilité,
Baraka d’être unis, comme nous et toi, unis dans la même vie
Avec la liberté de Lui être ou non soumis ;
Liberté d’être ou non ; par l’Irrésistible, conquis.
Alors tu vois, le porc et la bête morte que je ne mange pas,
Cette liqueur que je ne bois pas,
La pudeur, le bon comportement que j’essaye d’associer à moi
Non pour un patron un emploi pécuniaire, mais pour Le Divin Roi.
Alors tu vois, cette droiture qui se veut et qui se cherche dans mon caractère,
Ce principe vital que j’essaye d’observer
Non pour un , mais pour tous les êtres humains qui croiseront mon chemin
Ou en bénéficieront de droit.
Alors tu vois, cette prière que j’observe devant des gens se moquant de moi,
Alors tu vois, ces quelques interdits, qui font de moi,
Un musulman, un être presque blanc transparent aliéné risible de par l’air des faux semblants ;
Ce musulman, que l’ignorance manipulée transforme en phobie de principes bénis
Moi aussi j’avais peur de quelques interdits divins,
Jusqu’à comprendre que je préfère me préserver de ce feu
Et aimer puissamment ce qui me donne à discerner ma vie dans cet entre-deux.
Alors, est-ce que tu le vois, ce musulman que tu ne comprends pas ?
Est-ce que tu le discernes mieux ?
L’être humain a un si beau dessein,
Que j’aurais voulu le partager avec toi
Un si pur parfum, que j’aurais voulu le partager avec toi
Jusqu’à ce que tes narines immatérielles, le respirent et se lient à l’au-delà.
Tu sais mon plus grand défaut, c’est que par mes actes et ma personne si peu harmonisée,
Je voile une grande partie de ce patrimoine de l’humanité
Si tu pouvais m’aider je te serais reconnaissant
Si on pouvait s’entraider à vivre un Dessein humain et béni, un dessein de paix
Je t’en serais reconnaissant.
Sur La ilaha ila Llah
Tu le verras, réfléchir ne se fera pas sans un ressenti minimal constituant un support à ton agrément ou ton désaveu.
L’âme, le nafs est une chose commune à tous les êtres charnels ;
Aussi bien elle communie qu’elle commue qu’elle communique ;
Et sympathise ou hait ; ou méprise.
Si dans ta vie Allah s’interpose entre toi et ton coeur,
Si ton Lien à Lui est plus fort que tout lien à des mortels,
Si tu es convaincu qu’Allah est La vérité et que tout en dehors de Lui doit périr,
Alors tu avanceras-tu vaincras en paix,
Dans les tempêtes déchaînées où tous les associateurs t’aspirent vers eux
Pour que tu deviennes leurs jouets et leurs puits passagers ;
Pour puiser en toi un temps ; et t’ignorer le reste du temps ;
Et si quelque mortel prétend t’aimer et te servir tout le temps ;
Alors c’est un associateur crois moi !
Alors il te trahit crois moi !
Un humain digne ne trahit pas qu’en te rendant ta place de créature entre tes quatre murs ;
De sorte que par ta solitude tu te tournes vers Le Roi,
Qui commue ta peine en communication par-delà les murs ;
Par-delà les mers et par delà les pêches,
Les péchés, les tempêtes les volcans ; l’enfer des déchirures.
@ muslimslip
Il se peut que tu ne saches plus à cause des conformismes
Ce qu’est une présence fraternelle et féminine ;
Au point que tu lui destines tes pulsions en ligne
Dans ce cas tu sauras si oui ou non tu vis ta vie comme un digne
Car si tu vis ta vie en ligne
Il est évident que tu désertes la réalité dont tu ne t’honores pas et que tu n’affrontes ;
Réalité mise à la disposition des frères et sœurs unis s’aimant en Lui ; croyants en Lui Seul et dignes.
Quant aux associateurs
Ils ne sont qu’impureté des mœurs
Incapables de désavouer le faux ils le suivent,
Incapables d’apprécier al Haqq, ils l’esquivent
Des univers qui se heurtent
Pour beaucoup de gens aimables,
La laïcité, cette manière de vivre sous un toit profane, indifférent ou négateur représente l’universel qu’elle ne peut être.
Je crois que l’universel n’est préservé des démons de l’égoïsme aveugle et borné,
Qu’à la Lumière du Dieu qui nous a fait libres et égaux en droit et en dignité ;
Et a décrété que les croyants ne soient que des frères qui affranchissent l’esclave,
Et rendent en bonne et due forme l’humain à son Créateur l’ayant béni de terres, de frères, et de cieux.
Tu verras certainement les gens de la paix se souder, éviter de se soustraire à la vérité et par elle Bénéficier
Et les prétendus religieux, dans leur arrogance se distraire,
De la sagesse vouée à maîtriser et commander aux petites gens qui ne raisonnent pas ; comme à dissiper les malheurs venus tester la lumière dans la poitrine des rois.
L’ignorance de son arrogance ne peut recouvrir l’honneur des aimants-droits ;
Les ayants droit de l’Islam, libérés par ses grâces ne se rétracteront pas
5.54.Ô les croyants! Quiconque parmi vous apostasie de sa religion… Allah va faire venir un peuple qu’Il aime et qui L’aime, modeste envers les croyants et fier et puissant envers les mécréants, qui lutte dans le sentier d’Allah, ne craignant le blâme d’aucun blâmeur. Telle est la grâce d’Allah. Il la donne à qui Il veut. Allah est Immense et Omniscient.
Si je t’aime
Si tu m’aimes que je sois une teinte dans ta palette et non pas ta lumière ;
Faisant tomber la science de la patience qui sème.
Quand pour eux tu invoques et qu’en ton coeur
Bourgeonnent les roses d’un Noor venu d’ailleurs
Réfléchissants
Depuis longtemps déjà ,
La Foi Islamique n’a fait que nous inviter
à être des élites par dessus des rois ,
A manger comme les pauvres, et les aimer autant qu’on s’aime à soi ;
A nous instruire parce qu’Il enseigne ;
De sorte à nourrir le monde par la lumière de la Foi
Qui découvre aussitôt les fruits les plus cachés
Quand l’ignorance à la lueur de la science perd tous ses faux éclats.
Depuis longtemps déjà
La foi nous invite à être des élites parmi les rois ,
Mais toi, et moi et moi,
On a préféré imiter pour plaire ;
Imiter pour se complaire auprès des ignorants et des insouciants.
On a préféré se limiter, à imiter des feintes
Au lieu d’aimer la vérité qui nous préserve,
Et nous amène à la destination qui nous est chère.
Préféré suivre les convenances de gens aveuglés par des regards biaisés,
Regards où dansent les djinns à leur montrer de fausses réalités
Comme les écrans matérialisés nous font leur cinéma pendant que les coulisseS carburent à illusionner les déchus rois.
Les déchus rois, les misérables ayant délaissé leur Loi
Pour vivre d’artifices et maléfices
Dans ton regard de misère,
Où les larmes pleurent les confiseries iblissiennes ;
Où ta salive n’est plus celle d’un rappeleur du Livre ;
Mais celle d’un chien qui jappe et qui fouine à l’affut des urines.
Dans ton regard de misère ayant oublié
Qu’Adam est aimé du Roi
J’ai vu mendier quelqu’un de fort
Pour récolter l’humiliation d’un iblissien réconfort,
Qui ne dure pas
La prière, l’espérance et Son amour
Toi qui prétends aimer,
Toi qui prétends à la sincérité dans ton amour-ton amitié,
Si tu aimes, alors sois sincère dans ta prière
Envers Celui qui t’a tout donné
Sois assidu au rendez-vous,
Avec Celui qui t’aime et t’a donné la vie.
Aime celui qui t’a donné
Et sois pour Lui un garde à vous ;
Ne prétends pas te soucier du vassal
Quand tu négliges le Roi
Ne prétends pas aimer l’Esclave
Quand tu bafoues la Divine loi !
Ne prétends pas chérir l’esclave quand tu ne l’affranchis pas ;
Ne prétends pas aimer la créature ;
Si tu te détournes du Créateur qui sait tout de tes pas
Ne cherche pas auprès de la créature,
Ce que tu n’as su trouver en toi ;
Et repens-toi jusqu’à sentir l’agrément du Roi
La Postérité
S’il est un drame pour l’homme,
C’est d’avoir voulu l’épouse, mais pas la soeur ;
Reléguant son coeur du côté de la bestiale et passionnelle sexualité,
Et délaissant la soeur-son coeur céleste, du côté du faussé, ou sur le bas côté ;
Là où passent les clients des prostituées
Tu sais, l’homme sera un calife ou un singe décérébré ;
Courant après les plaisirs et délaissant le Sacré,
Le Supérieur, la Qualité, qui n’a jamais ni à mendier, ni à envier.
Malgré le nombre d’épousables, jamais l’ingrat n’est rassasié
Cherchant à convertir toute soeur, en épouse à répudier
A mesure que la machine de ses fantasmes recommence à tourner,
Sans qu’il ne voie le feu qui le cerne de tout côté.
N’a-t-il pas vu avec le Noor de sa poitrine,
Que les croyants sont une véritable et authentique communauté ?
N’a-t-il pas vu que l’étendue des chahawates, n’est qu’un désert cachant le feu,
Dont le Juste tient à se sauver ? En fuyant vers Allah ;
Dont Le Visage est invitant et n’a rien à envier
En se dirigeant vers Allah,
Dont le Visage est la grâce et la Postérité.
Les croyants ne sont que des frères.
Imagine
Imagine,
Imagine faire avec les associateurs
Chacun trainant le fardeau de ses fantasmes en feu
Chacun tirant dans la voie, les fardeaux impossibles à porter
Imagine qu’on t’invite à partager leur feu,
Et devant ce qui n’a d’avenir, te laisser bruler.
Imagine que tu doives composer avec ces êtres qui n’ont pour alliés que leurs diables attelés, à les faire rêver
Rêver de faux en travers du Sentier, en souriant sans présager ;
Quand tu aspires à t’en sortir ils te freinent et t’aspirent pour nourrir leurs brasiers.
Imagine, que tu doives composer avec les fantasmes des uns et des autres par milliers mouvants et instables ;
Rugissant d’illusion et disparaissant sur un pallier,
Laissant entrevoir le sang des négligences de la sublime et Unique vérité.
Imagine, que tu ne puisse t’unir à tes frères avilis
parce que déguisés en Musulmans,
Ils persistent à aimer d’autres que Lui.
Imagine,
Que tu doives t’élever et que tes aimés t’empêchent
Et que tu doives tout seul et loin d’eux t’exiler,
En espérant qu’ils te comprennent
Imagine,
Qu’ensemble un jour vous soyez libérés de tout
Délayés dans l’Universel et interconnectés au Tout
Allah ! Pas de divinité à part Lui.
Et c’est à Allah que les croyants s’en remettent.
Sourire ensemble dans la tristesse
Si tous les gens éprouvés s’exprimaient tu serais surprise ;
Mais la vie a voulu qu’on se cache pour souffrir
Comme par hasard…
Comme si c’était pas partageable ;
Comme si à souffrir ensemble, notre souffrance devenait dérisoire ;
Comme si aussi, notre souffrance était pudique subhanAllah
Je crois que la souffrance c’est la part de tout ce qu’on doit à Allah
ce qu’ils ont fait
Ils ont fait des femmes qu’ils ne connaissent pas,
Qu’ils ne gèrent pas,
Qu’ils n’éduquent pas, qu’ils ne maitrisent pas leurs nudités ;
Ce pourquoi ils ont amputé l’humanité.
Se convertir pour se repentir
Cesse d’évoquer ta conversion,
Vis donc en simple repenti,
En Musulman,
Ne crois pas pouvoir tirer jouissance plus longtemps,
De ton passé d’égaré ;
Ô toi mendiant !
Et si tu parles de ton passé, ou que tu évoques ton présent haussant le ton,
Fais le à même titre que tes autres frères et soeurs ; adorateurs
Se repentant.
Les émotions de leurs théâtres
N’ont qu’aveuglé et détourné du Fonds brillant des réceptacles ;
Ne t’affole pas de ton vivant,
Devant l’acteur, ce vil mendiant ;
Et ne détourne pas ton regard de ceux
Qui vivant leur Foi se rétractent,
Devant ce qui ne plait pas à Allah
49.15. Les vrais croyants sont seulement ceux qui croient en Allah et en Son messager, qui par la suite ne doutent point et qui luttent avec leurs biens et leurs personnes dans le chemin d’Allah. Ceux-là sont les véridiques.
16. Dis : « Est-ce vous qui apprendrez à Allah votre religion, alors qu’Allah sait tout ce qui est dans les cieux et sur la terre? » Et Allah est Omniscient.
17. Ils te rappellent leur conversion à l’Islam comme si c’était une faveur de leur part. Dis : » Ne me rappelez pas votre conversion à l’Islam comme une faveur. C’est tout au contraire une faveur dont Allah vous a comblés en vous dirigeant vers la foi, si toutefois vous êtes véridiques ».
18.Allah connaît l’Inconnaissable des cieux et de la terre et Allah est Clairvoyant sur ce que vous faites.
Quant aux poètes
Dans cette communauté,
Le retour à la poésie est nécessaire,
Non pas pour faire, des poètes starisés,
Mais pour éveiller les sens à l’Unité,
Unité dans les mots et leur pluralité ;
Sens et sensorialité utiles à plus de rationalité.
Quand l’être voyage par les sonorités,
En silence par les évocations,
Comme en lecture en psalmodiant.
Nous ne sommes pas simplement des objets
Mais avons en nous le goût, le rythme, l’amour et la santé
La santé il en reste toujours assez,
Pour invoquer et Louanger,
Et témoigner de Celui qui donne la vie et la mort
Que cela soit par le geste physique,
Par l’intelligence,
Ou l’affectivité
Ou l’agonie qui dans son approche de l’inertie
Quand elle ne se rappelle tordue par la morsure,
Nous rappelle
Un Nom béni comme Ses bienfaits !
La poésie éveille comme une rosée sur l’âme
A la saveur d’un dialecte
Préservateur ; et annonciateur
D’une Heure comme d’Un Jour
Que nul ne pourra repousser
Mais encore d’une contrée où les saveurs infinies
Aujourd’hui même
Par mille aspects nous convient
Concordance
Que suis-je ? Je suis un petit rien.
Qu’est-ce que j’aime ?
Est-ce que j’aime ce qu’Allah aime ?
Est-ce que ce que j’aime m’amène à Allah, et Sa Justesse, Son Haqq,
Ou est-ce que j’aime ce qui est dénué de sens, de profondeur, de fondement ?
Est-ce que j’aime Utile,
Ou gaspillage et illusions ?
Vantardise et artifice me promettant le feu et les désillusions.
Suis-je un élu pour la Prière,
Ou d’illusoire me complaire ?
Est-ce que j’aime ce qui par Allah est fertile,
Ou ce qui promet de ses Taghout, la désolation, la ruine des faussetés
Et la lourdeur des impasses.
Est-ce que j’aime une graine de vie,
Ou une apparence de vie dans un mensonge,
Dont mon indifférence à Allah fait,
Que je ne distingue pas la fourberie ?
Est-ce que j’aime Le vivant qui manifeste les créatures
Et les meut dans la lumière, cette Nature,
Ou bien l’oubli, l’oubli de Lui,
Quand incarné dans la passion,
Le faux brillant des trublions,
Je deviens ce tourbillon,
Vivant de djins et de démons.
N’ayant de joie,
Que de manger ma vie, quand je les suis ;
Sans me soucier de cette Mémoire qui fait ma vie ;
Ou ces devoirs, qui m’animent et me ramènent Utilement vers Lui.
Qui me ranime, bien raffermi ;
Quand Son amour dans ma vie Luit
Comme une fontaine, qui rafraichit
Amour de mort, sobriété pérenne
La mort que vous fuyez va certes vous rencontrer
Pas la peine de maquiller sa tombe
La mort est quelque chose
De plus fort que l’éphémère vie
C’est un amour, Un Paradis,
Pour celui qui est fidèle à l’enseignement des Croyants rois,
Ces Prophètes qui sont bénis.
Et que tu trouves là en toi enfouis.