Ne soyez pas comme ceux qui ont oublié Dieu. Dieu a fait qu'ils s'oublient eux-mêmes.

Archives de décembre, 2014

Ton diplôme – Invisible

Ton diplôme
C’est celui que tu écris

Avec ton sang
Avec ta sueur
Avec ce Calme et sa lueur

Ton diplôme est ce que tu essuies de toi,
En posant ton coeur, et ton front

Ton diplôme,
C’est ce que tu laisses d’excès et de trop perçus
Pour embrasser non pas le leurre

Mais Celui qui t’a promu


Quand la libido – Dignité

Si l'Islam a de même permis,
A la libido, 
De vivre dignement  
 
Il n'en demeure pas moins 
 
Que les vrais hommes-les Musulmans, 
 
Sont ceux qui aiment 
 
Les gens dignes, 
Dignement 
 


Dialogue – âmes frères

Je ne veux pas t’influencer ;
Je veux te respecter ;
Je veux,

Que tu adhères à cette unique vérité
Qui m’a tant manqué,

Quand j’étais faible,
Et égaré ;

Dans la douleur et les ténèbres.

Je veux,
Que lorsque je me meurs,
Que je m’enlise,
Tu sois cette vérité ;
Pour me tirer de là ;
Pour me tirer de moi,
Me tirer de cette tombe
Dont nous cherchons tous deux,

A nous sortir heureux !


Un grand jour

Ceux qui, en leur amour
Savent que c’est Allah qui aime,

Ceux qui en leur attache, savent que c’est Lui qui n’abandonne pas Son serviteur

Ceux qui savent,
Qu’Allah est le seul amour
Ceux qui savent que c’est Lui

Qui nous régénèrera un grand jour.
Ceux qui savent,
Qu’Allah n’a pas créé en vain
La nuit et le Jour
Ceux qui savent,
Que leur vie sans celle de leurs jours-leurs frères
ne vaut-ne vit plus rien.

Les croyants ne sont que des frères
Et moi je ne suis au mieux
Qu’une allégresse un amour
D’avoir, à aimer,

Mes soeurs ; et mes frères

Allah est en vérité mon Seigneur et votre Seigneur. Adorez-Le donc. Voilà un droit chemin. Mais les factions divergèrent entre elles . Malheur donc aux injustes du châtiment d’un jour douloureux !

Attendent-ils seulement que l’Heure leur vienne à l’improviste, sans qu’ils ne s’en rendent compte?
Les amis, ce jour-là, seront ennemis les uns des autres; excepté les pieux.

« Ô Mes serviteurs! Vous ne devez avoir aucune crainte aujourd’hui ; vous ne serez point affligés,
Ceux qui croient en Nos signes et sont musulmans,
« Entrez au Paradis, vous et vos épouses, vous y serez fêtés ».
On fera circuler parmi eux des plats d’or et des coupes ; et il y aura là [pour eux] tout ce que les âmes désirent et ce qui réjouit les yeux ; – « et vous y demeurerez éternellement.
Tel est le Paradis qu’on vous fait hériter pour ce que vous faisiez.
Il y aura là pour vous beaucoup de fruits dont vous mangerez ».*

*43.64-73


Maman

Papa, prends moi par la main
Ta main est ample, ta main est grande comme un renfort
Que je me blottis dedans
Dans ta main papa, je me sens bien
Je n’ai pas peur

Et rien ne m’atteint,

même pas un orang-outang.

Maman,
Apprends moi ton coeur maman,
Apprends moi ton intelligence

Apprends moi comment prendre soin de papa quand je lui tiens la main,
Car j’ai compris que toi tu le soutiens !

Maman,
Apprends moi à nommer le monde,
Que je sois quelqu’un qui sache me battre et dénominer recentrer ma ronde ;
Que je sois un atome dans l’univers, qui sache s’orienter et se fondre dans l’harmonie du monde.

Maman, apprends moi à être un bien,
Apprends moi à nommer les choses,
A construire,
Mon esprit  et par lui le monde,

Apprends moi,
A soigner le petit garçon,
Il s’est blessé le genoux- il est choqué ; et dans le vague il pleure
Tu prends de ta salive magique,
Et avec,

Tu le guéris et sur un simple mot
Il ne pleure plus

Maman

Je t’aime maman


Des graines en tombe – Adhérence

Ce qu’il manquait à l’intelligence,
C’était le fer ; c’était la terre ; la prière et la guerre ;

Et ce qu’il manquait à la dévotion,
C’était l’amour, et le courage.

Celui qui aimant la vie creuse les tombes
En serrant les dents ; a fendu sa graine ;
Et laisse couler sur ses joues amaigries les larmes
Puisant leur eau directement du ciel qui le gracie.

Ce qu’il manquait aux personnes,
C’était d’accepter de n’être rien d’autre que des graines,
De simples graines s’employant à semer les fondements
De jours meilleurs

Comme d’un avenir composé des seuls meilleurs
C’est à dire, des pieux, des aimants sages.

Car n’est vraiment un sage,
Que celui qui conjugue en lui, ses idéaux.


Droits de l’homme

«Je souhaite fonder ma vie sur un principe, celui de ne pas être un «monsieur tout le monde». Oui j’ai la ferme conviction que tout comme moi si chacun d’entre nous se donne les moyens, nous pouvons laisser une marque indélébile sur cette terre, et ce en portant des valeurs qui peuvent parfois nous faire sortir des sentiers battus.

J’ai appris que les idées ne sont pérennes qu’avec une « croyance et des convictions ».

J’étais du nombre de ceux qui cachaient honteusement ces mêmes croyances et convictions : les secrets des plus vils de ce monde, ces vérités dérangeantes, sur les prisons d’Abu Ghraib, sur Guantanamo, mais également sur la situation dramatique des musulmans à travers le monde, et sur les inégalités infligées aux peuples les plus faibles, de la richissime Afrique.

Parfois poussé par des pulsions de vérité, pleines de certitudes mais en n’étant pas suffisamment sincère pour pouvoir mener un long combat, je me suis alors suffi du silence.

Puis, lorsque j’ai décidé d’être en conformité avec mes idées, j’ai fait mes premiers pas d’engagé pour les droits fondamentaux des humains. C’est alors que je me suis rendu compte que je n’étais pas seul à porter cette idée de ne pas être un « monsieur tout le monde». Bien au contraire, nous étions plusieurs centaines de milliers de personnes si ce n’est des millions, à avoir le coeur en larmes, et criant de douleurs pour la chair des opprimés.

C’est pour cela qu’aujourd’hui, je suis fier de représenter cette organisation humanitaire aux valeurs islamiques engagées, via ses positions, ses idées, ses biens et ses personnes qui ont la même énergie, prêts à représenter ceux à qui on a retiré la force de crier.

Certains journalistes m’ont reproché de défendre des hommes appartenant à la même religion que moi.

Je leur réponds que je ne pourrai jamais m’excuser d’aider celui qui croit qu’être un homme libre c’est adorer un Dieu Unique.

Aujourd’hui, je me rends compte que les choses sont enclenchées, que les combats humanitaires et médiatiques ont démarré. Alors me voilà à révéler, les éléments qui ont déclenché ce réveil personnel, le même que celui de ces milliers d’autres hommes et femmes.

Le 13 décembre 2014 je poste ceci de mon propre chef pour assumer la conviction que j’ai, et par laquelle j’espère influencer les consciences.

Que mon visage soit connu de tous, une barbe noire avec des idées claires, qui souhaite combattre des idées noires d’un monde obscurci par les injustices et le sang versé.

Pour l’honneur des Rohingyas martyrisés parce que Musulmans, celui des Centrafricains dévorés parce que Musulmans, des Syriens victimes de la Tyrannie, sans oublier mes frères Gazaouis bombardés parce qu’ils sont libres dans un monde qui lui, est sous blocus.
Pour l’honneur des prisonniers politiques qui sont condamnés pour leurs opinions. Condamnés, emprisonnés pour avoir eu une opinion trop engagée contre des gouvernements qui méprisent la vie, la foi.
Pour l’honneur de ces prisonniers innocents de Guantanamo torturés durant des années, pour la sécurité d’un peuple choyé. »

Votre frère Idriss Sihamedi.

 

 

Idriss Sihamedi Droits de l'homme

Idriss Sihamedi droits de l’homme

Idriss Sihamedi


Et moi, et moi, et moi

Je D'outre Tombe

Narcissisme et son ami l’Ibliss
Avaient scellé alliances au détriment de la fraternité Sublime
Et de ses stratagèmes, le fameux trompeur aux mirages de flammes
Avait laissé par dessus la sagesse, prédominer ses vices.

Qu’étais-je moi, petit serviteur à l’éveillé nafsisme
Condamné à combattre avec cette même flamme qui me consume.
Qu’étais-je moi, petit serviteur amoureux des grâces du Seigneur
Brandissant mon arsenal mû, de Sa volonté de ciel effaçant mes pleurs.

Qu’étais-je moi, petit serviteur, si fragile et si dépendant de Sa Majesté
Si amoureux si adhérent de tout si égaré; suppliant Secours et guidée
Qu’étais-je moi, petit serviteur, menant à ma bouche l’aliment
Et Remerciant le Seigneur de me permettre de déglutir poliment.

Et moi, et moi, Et moi et moi
Assis là ou debout, quêtant la vie Ses vents, ses horizons sublimes et ses fleurs.
J’avais il est vrai à poser mon front
Pour trouver près de…

Voir l’article original 43 mots de plus


Je t’aime

Habille moi de ta foi
Fais de moi une bénédiction, un vivant, une lumière
Habille moi de ta foi,
Aime moi en tant que frère
Ne me laisse pas errer,
Aime moi en tant que terre
En tant que lieu d’Islamité

Habille moi de lumière ;
Habite moi  en sanctuaire
Du Tout Miséricordieux


ferveur

Quelques démons parfois,
Voudraient trouver un vecteur de parole en nous

Et surgir de nos paroles,
Pour brandir soudain leur fusil sur nous

Quelques démons souvent,
Voudraient trouver un gîte dans notre entendement,

Tu sais, quand ton esprit néglige les frères
Et qu’il ne les aime pas, comme les aime,

Un invocateur repentant


Import-Export

Je vous le demande,
Ne m’oubliez pas ;
Je vous le demande ;
Priez pour moi

Car sans vos lumières, la mienne,

N’illumine pas

Préservez moi en me préservant de vous
Et vous préservant de moi

Ne L’oubliez pas

Le jour où tu verras les croyants et les croyantes, leur lumière courant devant eux et à leur droite ;  (on leur dira) : “Voici une bonne nouvelle pour vous aujourd’hui : des jardins sous lesquels coulent les ruisseaux pour y demeurer éternellement”. Tel est l’énorme succès. Le jour où les hypocrites, hommes et femmes, diront à ceux qui croient : “Attendez que nous empruntions [un peu] : de votre lumière”. Il sera dit : “Revenez en arrière, et cherchez de la lumière”. C’est alors qu’on éleva entre eux une muraille ayant une porte dont l’intérieur contient la miséricorde, et dont la face apparente a devant elle le châtiment [l’Enfer]. **
**57.12-13

 

 

 


Tes frères sont ta vie

Je D'outre Tombe

Si de vos frères vous quittent,
Une partie de votre être s’éteint avec eux.

Je pense particulièrement à Talib,
Un frère dont je n’ai plus de nouvelles depuis.

Je pense aussi à Habib, à Mahdi, à Sami ;
A tous ces frères qui m’ont permis de devenir ce qu’aujourd’hui je suis.

J’avais de l’ombre en moi, que mes frères en dignes miroirs ont chassé en réinvitant la lumière en moi.

Un seul frère sincère suffit, à dépoussiérer un coeur, de l’oubli.

Un seul frère sincère suffit, à redonner du sens à ta vie. Sa sincérité, c’est un bout de ta vie.

Si un jour il t’est donné de voir et d’entendre, Retrace le chemin vers Lui.

Chacun déterre ton coeur de l’oubli.
Et quand bien même l’hypocrite se cacherait sous ton tapis, sa vilénie te prémunit contre l’hypocrisie qui voudrait grimper jusqu’à la forteresse de ton coeur assigné à Lui.

Voir l’article original 69 mots de plus


Avenir sans oubli

Ne place tes espoirs en aucun autre qu’Allah
Car tout espoir placé en autre que Lui
Génèrera ta perte ;
Génèrera ta perte brutale.
Ne pense pas que quelque chose en cette vie te revient
Ne pense pas que quelque chose en cette vie, t’appartient ;
Car tout ce que tu t’imagines acquis te perd ;
Car tout ce que tu t’imagines acquis, te trahit

Ne pense pas, vis ;
Ne te verse pas au néant ; panse ton esprit
Habille ton coeur de Son verbe,
Habite ta présence de Sa Promesse qui vit
Allume ton antre, ton être de Sa parole ;
Et cherche Son souvenir
Qui se souvient de toi aussi
Ta part en cette vie,
Le concerne aussi

Ton Seigneur certes
Ne commet ni erreur, ni oubli.


Entre sanction et punition

Entre sanction et punition,
Entre épreuve-quête, et châtiment,

Celui qui comprend qu’une sanction est par essence dissuasive,
Celui qui comprend qu’il n’y a de punition,
Ou de châtiment que par son propre détournement de Dieu
L’empêchant de comprendre le cheminement-l’accession vers l’infini ;
Celui qui a laissé derrière lui
Son raisonnement-sa lumière par laquelle il marche , estime et apprécie ;

Celui là,

Que peut-on espérer de lui.


Al Haqq

L’intelligence arrangerait tout, mais on veut faire de nous des produits ; et tout le monde sait qu’un produit n’est pas un esprit, et que seul un esprit tolère, aime les différences, pardonne et comprend les erreurs.


hors d’atteinte – Serviteurs du Tout Miséricordieux

Ton coeur est tellement aimant,
Tellement doux, tellement Enfant
Que jamais ne te raconterai ces choses qui auraient voulu
m’atteindre en intention

Ces choses, que le démon

Il voudrait rentrer dans nos âmes tu sais
Mais le peut-il vraiment.


256.832 – Epître de l’écorce

Je roule comme j’écris. En boucle fermée. En orbite autour de mes propres songes. Et tous les soirs, chaque matin, se posent les mêmes questions. Ce que tu lis en ce moment, ce n’est que de l’huile moteur chaude et fluide. Gorgée de limaille. Mon esprit travaille et les arbres de transmission, le pignon d’attaque, les crabots, les fourchettes s’entrechoquent. Les segments de feu éradiquent les doutes, réchauffent les prières. L’émeri de l’existence sur ces pensées fait office de pâte à roder redoutable.
J’ai compris qu’en ces instants, ceux où l’on se déplace de photon en photon; nous ne recherchons que l’amour. Au moyen de la foi. Au moyen de la fougue.
Même s’il est de plus en plus dur d’être autre chose, le pied à terre, qu’une armure variolée par la rouille. Qu’un heaume oxydé dans lequel le Mistral et les cris sifflent sans fin.
Seule la bannière trouve toujours la force de flotter sur le temps. Seul l’oriflamme mité par les défaites et les balles continue perpétuellement de défier la gravité
J’ai un cuir noir. Imprégné de poison dans chacun de ses pores. Dans l’épaisseur de ce derme, sont cristallisés les doutes, les scrupules et les tourments. De l’épicentre cardiaque de mes battements, comme à la surface d’un lac, les impuretés affluent vers la périphérie de mon corps. Écorce, basalte, couche de cellules mortes qui refroidit en même temps qu’elle me protège de l’effroi. Exosquelette fusible, articulé défiant la Mort.
Ne réside à l’intérieur que mon âme nue en parfaite prise avec la route. Que les clapotis de mon cœur nettoient à chaque seconde. Que mes défaites, mes remords et mes amours perdus protègent des affres du temps. Nonobstant les traces de destruction sur mon visage, les herses que les fêlons dressent contre nous.
La société nous a tendu un piège. Les motos nous ont tendu la main.
Loin et pourtant si prés de tous ces pairs. Qui doutent et qui tremblent. La peur. La peur régit le monde. La peur terrible qu’ils nous assènent. La peur qu’ils nous font croire. La peur qu’ils nous font boire.
Les rouleaux du trip kilométrique embobinant au fil des bornes les douleurs dont souffrent les hommes. Comme dans un cocon, sans cesse refroidi par la prise au vent pour éviter la fission.
Arrive un matin, un soir, une nuit.
Où l’on cesse d’avoir peur.
Et enfin enfourchons nos machines. Nos walkyries. La peur n’est que de l’air. La peur est aspirée et écrasée sur les pistons par les soupapes.
Recyclage de poussière. D’angoisses et de phobies. Nos chevaux sont transformés par catalyse, par combustion de toute cette merde. Sublimes étalons assenant sans cesse au sol les coups de leurs sabots. Cœur cognant. Femmes battues. Comme la terre. Terres brûlées que nous trouvons. Dont toute énergie a disparu. Chevaux de fer recouverts de stupre et de cendres. Évacuant les remords, le carbone et la colère par sudation. Chevaliers contre lesquels s’écrasent atmosphère et tirs de sommation. Condamnés à errer, comme la parole de Dieu. De garage en garage. De plaines en plaines. D’admission en explosion.
Nous cueillons le jour à l’heure où la police cueille les voyous; car nos âmes sont désormais si légères, qu’elles s’élèvent seules avec le Soleil.

Mathieu Pianetti

https://www.facebook.com/LesEchosDunTrouARats?fref=photo


Le Silence m’a souri

J’ai appris,
Qu’il était des choses inutiles à dire et d’autres oui

Et comment dire,
Que les silences parfois savaient mieux que nous dire.

Quand ton coeur est vivant,
Que ton âme est avec ceux qui éclairent ta vie de la leur

Quand le Silence te sourit
Et illumine ton coeur de son bonheur immaculé ; intemporellement ahuri
Quand tout autour de toi, célèbre ton moment béni,

Alors quoi de mieux maintenant,
Que de poser ton front ;
Que Confier ton Coeur,

En même temps que le leur.


Si j’estime – quand quelqu’un m’observe

ô vous qui croyez ! Ne dites pas : « Raina » (favorise-nous) mais dites : « Onzurna » (regarde-nous);
et écoutez !
Un châtiment douloureux sera pour les infidèles.*

Et récite ce qui t’a été révélé du Livre de ton Seigneur. Nul ne peut changer Ses paroles. Et tu ne trouveras, en dehors de Lui, aucun refuge.
Fais preuve de patience [en restant] avec ceux qui invoquent leur Seigneur matin et soir, désirant Sa Face. Et que tes yeux ne se détachent point d’eux, en cherchant (le faux) brillant de la vie sur terre. Et n’obéis pas à celui dont Nous avons rendu le coeur inattentif à Notre Rappel, qui poursuit sa passion et dont le comportement est outrancier.
Et dis : « La vérité émane de votre Seigneur ». Quiconque le veut, qu’il croie, et quiconque le veut qu’il mécroie ». Nous avons préparé pour les injustes un Feu dont les flammes les cernent. Et s’ils implorent à boire on les abreuvera d’une eau comme du métal fondu brûlant les visages. Quelle mauvaise boisson et quelle détestable demeure!
Ceux qui croient et font de bonnes oeuvres… vraiment Nous ne laissons pas perdre la récompense de celui qui fait le bien.
Voilà ceux qui auront les jardins du séjour (éternel) sous lesquels coulent les ruisseaux. Ils y seront parés de bracelets d’or et se vêtiront d’habits verts de soie fine et de brocart, accoudés sur des divans (bien ornés). Quelle bonne récompense et quelle belle demeure!**

Si j’estime qu’un autre qu’Allah me regarde
je deviens scène, je deviens masque je deviens cible, je deviens vide et bientôt,
Quelqu’identité  vindicte

Si je veux être favorisé aux regards
Quand je ne les appelle à Son Regard
je deviens scène, je deviens masque je deviens cible je deviens vide et bientôt
Quelque diable

Mais si j’aime mes frères qu’Allah me donne au point d’oublier cet illusoire moi-même,  ce masque,
Alors le visage d’Adam prend ses couleurs, et mon coeur purifié de Son regard éveille en moi Son univers ;

Qui transporte, partage et attribue leurs lumières aux frères
Sans jamais les séparer-les lasser-les ruiner ; ou leur nuire

Comme ce signe de Sa promesse,
Ce visage d’Adam, cette information, cette insufflation,
Qu’Il a guidé, éclairé-détourné, du non-sens du futile ; de l’incongruité ;
De l’ingratitude ; de la fatuité

Si j’estime que quelqu’un m’observe,
Si ce n’est pas Allah,
Alors c’est Ibliss !

La promesse d’Allah est vérité
Son Message au-delà des infidèles et des désordres,

Prolifère
Et s’exporte
Par la personne du Messager

 Par l’étoile à son déclin !Votre compagnon ne s’est pas égaré et n’a pas été induit en erreur***


Ô hommes! Rappelez-vous le bienfait d’Allah sur vous : existe-t-il en dehors d’Allah, un créateur qui du ciel et de la terre vous attribue votre subsistance? Point de divinité à part Lui! Comment pouvez-vous vous détourner [de cette vérité]?
Et s’ils te traitent de menteur, certes on a traité de menteurs des Messagers avant toi. Vers Allah cependant, tout est ramené.
 Ô hommes! La promesse d’Allah est vérité. Ne laissez pas la vie présente vous tromper, et que le grand trompeur (Satan) ne vous trompe pas à propos d’Allah.
Le Diable est pour vous un ennemi. Prenez-le donc pour un ennemi. Il ne fait qu’appeler ses partisans pour qu’ils soient des gens de la Fournaise.
****

*2.104
**18.27.31
*** 53.1-2
**** 35.3.6ghuraba


l’enfant semblait mort

Quand le corps, dans ce temps de terre est mort,
Ne pleure pas madame maman, ne pleure pas beaucoup
Et laisse ton coeur sourire et si tu fais couler une larme
Il faut qu’elle soit d’amour, d’accord ?

Quand le corps est mort,
La douleur est partie

La douleur est partie éteignant ce corps
Mais la vie est ici
Et l’enfant parti,

Est là où ce corps meurti,
Aujourd’hui,

Est incapable de voir
De vision claire au Paradis,
Son enfant souriant,

Récompensé, grâcié, aimé ;

Son enfant béni.


charlatans

On rencontrera beaucoup de personnes encore,
Qui au lieu de s’allier  sur al Haqq,
Dévieront sur la base de leurs ternes personnes
Ces malades qui pour leurs égos dorés,

Plutôt que se soigner
Prétendent soigner les autres

Et passent loin de la vérité
Voulant qu’on ne s’aide qu’en aidant les autres ;

Et que l’Attention accordée au prochain
N’est pas comme la négligence accordée au chien


fi sudurihim

Allah connait la trahison des yeux et sait ce que les poitrines cachent*
Allah connait certes le déclin imminent de l’oeuvre de pharaon**
Car ce ne sont pas les yeux qui s’aveuglent mais ce sont les coeurs dans les poitrines qui s’aveuglent***

Derrière l’ego se cache un diable
représenté par les extrêmes
L’ego intéressé pour dorer son idole
Porte un regard infecté d’ une avidité extrême
Car l’ego est un faux recouvrant un néant insensé porteur d’une charge coupant le souffle ; d’une peur extrême

Tandis que les enfants aimés , dépendants et craignant leur Supérieur , dans Sa lumière fanfarandolent et s’ amusent
Les enfants aimant et craignant leur Créateur respirent et vers Son ordre grandissent
Puis serviteurs fervents sous Sa royauté Son royaume
Sous son regard omniscient
Dans les sanctuaires fléchissent
Tu ne trouveras en dehors d’Allah aucun refuge
Tu ne trouveras en dehors d’Allah,
Aucun refuge


enfance

le silence est porteur de bien des prières
quand on a su comprendre, que Lui Seul entendait nos pleurs et nos cris

quand le coeur se serre, souhaitant mourir aussi
Pour n’avoir pu soigner ses aimés
Comme d’avoir craint
dans les ténèbres sans mots ni faculté de discerner,
de se trouver abandonné