La peur de la luxure offense nos nobles Messagers
Aime et crains Allah
Afin qu’il te guide et te protège
Qu’il te renforce de tes faiblesses
Formées des peurs qui tiennent ta laisse
Les démons parfois nous assaillent, invitant nos angoisses,
A inventer d’innovées paroisses
Et mon frère
Toujours mon frère
Et mon cœur, comme un moteur
En cette piété de lumière
Qui nous inculque d’aimer les frères
Pour rompre la pierre, de ces égos.
De la roche très certainement, devront surgir, de grands ruisseaux,
Comme un sourire vient secourir un cœur fardé comme un tombeau.
Mon frère,
Qui comme un ciel en ma poitrine
Réveille mon être et illumine
Mon âme laissée à l’abandon
Quand elle se détourne du divin Nom ;
Qui imperceptible à nos démons a donné des frères de par leurs fronts ;
Et promis, de par leurs cœurs aux Serviteurs
Un Paradis, aussi large, que les cieux, et la terre, sillonné
De ses luxuriantes rivières
Si c’est l’enfer que tôt ou tard on subit quand on L’oublie
C’est par nos frères qu’on s’affranchit ;
Ne t’impose donc pas en règle ;
Mais repens toi jusqu’au dégel.
J’en avais vu qui en Lui s’aiment
Mais qui la peur de l’humain sèment
Quand les Prophètes en Messagers
Répandent la paix avec des frères
Qui s’aiment en Lui comme Il l’agrée
Qui font les couples et les alliés
En rappelant qu’épouse est sœur
Comme les poitrines contiennent des cœurs.
Celui qui meurt à tous les jours
Celui qui vraiment vit ses jours
Donne à la foi tout l’amour
Dont ce monde, vient à doter la vie.
Car cette présence qui nous poursuit
Est soit notre ombre soit la lumière qui luit ;
Et quand je pense que ma vie suit
Je me soumets sans faire un bruit.
Que m’importe qu’autour de moi
D’excités divertis mangeurs de croyants pieux festoient
Tant qu’en mon cœur la foi rayonne
De l’allégeance aux meilleurs hommes.
D’un invisible je suis créé
Et d’une foi d’or je suis doté
A moi un jour la vie future
Même si cette vie peut sembler dure
Et dans le feu les moisissures
De ceux craignant,
au lieu d’Allah,
Les démons rois de la luxure !
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