Lumière sur Lumière
On est si bien, avec Allah, et ceux qui L’aiment
Si légers; si Libres avec Ses serviteurs qui en Lui s’aiment ;
Qui ne vénèrent ni faciès ni artifice, mais seulement Son visage ;
Et ne ploient que devant La science provenant d’Un Tout Omniscient et Sage.
Qui ne disent jamais « je sais » alors qu’ils ne savent pas ;
Et écoutent le rappel quand il arrive auprès d’eux pour guider nourrir leur raison et leurs pas.
Ceux qui auprès de Lui s’amendent, et fendent la pierre pour qu’en surgisse l’eau,
Qui s’attachent à comprendre à la lumière d’un guide infalsifiable ;
Qui dévoués délient leur intelligence, et sacrifient pour s’alléger des fardeaux ;
Et qui amoureux de Lui Seul savent que Son adoration n’est pas négociable.
Ceux qui luttent avec leurs biens et leurs personnes dans le chemin d’Allah,
S’alliant au Vivant Éternel ;
Qui ne révérant pas leurs égo-ancêtres, refusent les conformismes et les bienpensances tyranniques des étroits-mortels
Ceux qui en Lui aimants sont humbles et Conscients
Qu’ils ne changeront pas le monde sans sans s’être purifiés eux-mêmes ;
Qui L’adorent en révérant l’Utile générant rationalité et Lumière.
Ceux qui savent qu’ils n’apprendront pas à Allah Sa religion, car Il est omniscient et Sage
Ceux qui véritablement soumis n’oublient pas qu’Il sait ce que les poitrines cachent.
Ceux qui ne mêlent pas le faux à la vérité ;
Et rappellent ce qu’Allah a révélé…
Notre Seigneur! Tu n’as pas créé cela en vain. Gloire à Toi! Garde-nous du châtiment du Feu. Seigneur! Quiconque Tu fais entrer dans le Feu, Tu le couvres vraiment d’ignominie. Et pour les injustes, il n’y a pas de secoureurs! Seigneur! Nous avons entendu l’appel de celui qui a appelé ainsi à la foi : « Croyez en votre Seigneur » et dès lors nous avons cru. Seigneur, pardonne-nous nos péchés, efface de nous nos méfaits, et place nous, à notre mort, avec les gens de bien. Seigneur! Donne-nous ce que Tu nous a promis par Tes messagers. Et ne nous couvre pas d’ignominie au Jour de la Résurrection. Car Toi, Tu ne manques pas à Ta promesse ». 3.191-194
C’est Nous qui hériterons ce dont il parle, tandis qu’il viendra à Nous, tout seul. 19.80
L’heure
Un homme peu conscient qu’il n’est rien,
N’a aucune chance de faire de sa vie un bien
Inutile de vouloir retenir le temps ou protéger la mort, quand elle te tient par la main ;
Inutile de te méfier de ceux qui ne te profitent ni ne te nuisent en rien.
Ne te prends pas trop au sérieux
En te fermant à tout ce qui réellement est précieux
Ne néglige pas le gratuit,
Quand Allah par Lui te chérit.
Ne fais pas de ton effigie, une raison de te détourner, de Ses sublimes cieux
Ne te détourne ni de ton frère, ni de ta soeur ; ni du nécessiteux.
Ne te refuse pas au rappel que tu n’es rien ;
Invite toi à comprendre ; que la vie qu’Il te donne est un bien
Recherche Son agrément et ne te laisse pas divertir
De ceux qui vivant silencieux, se savent repartir
Ne te considère pas au delà de ce qu’Allah t’apprend de tes fardeaux
Et fais ce qu’Il nous demande à tous : fendre la pierre, pour qu’en surgisse l’eau.
Ouvre ton coeur à Allah qui te donne la vie, et te ramène au tombeau
Pour t’apprendre que de ta pierre, à temps doit surgir, un ruisseau.
N’aie de crainte en vain, tu sais cette peur handicapante et hypocritante ;
Ce monde est là pour te mener au bien et t’apprendre qu’en Allah,
Ce monde est épreuve ; et qu’il n’est pas vain.
N’oublie pas que ton coeur en silence ronronne ;
Et que vient son temps ; comme un tonnerre qui gronde.
Des hommes que ni le négoce ni le troc ne distraient de l’évocation d’Allah
A chaque fois que je m’estimais malheureux,
Je regardais en vérité les autres mortels comme s’ils étaient des dieux ;
Convoitant le bénéfice de leurs existences médiocres,
Se consumant comme des bougies, brûlant à petit feu.
M’abandonnant vers eux, à chaque fois, je me refusais à Dieu ;
Faisant de ma vie un vide, dépourvu de la consistance dont jouissaient les pieux.
Cette conscience, ce rappel que Dieu est là et s’occuppe de tous ceux
Qui se servant de Ses dons, divertissent de Son adoration, dans un paradigme que n’abolira que le feu.
De L’amour, Tout et très rayonnant de Noor
Il arrive qu’on se sente intensément bien dans la lumière des gens qu’on aime ; parce qu’aimer et se sentir aimé est vital de Sa miséricorde ; que c’est l’essence même de la vie et l’équilibre le plus béni qui soit : les croyants ne sont que des frères.
Jusqu’au jour
où un pervers maléfique vient culpabiliser cet amour
au nom de sa concupiscence jalouse ; qui se coupe d’Allah en son impureté ; son hostilité de la paix des autres ; de son avidité hostile à la miséricorde divine.
Mais cet amour, béni est un devoir pour le cœur vivant ; il ne saurait être honni ;
Il est à Lui ; Il est de Lui.
Les croyants ne sont Que des frères.
Quant à la passion, dans tous les cas elle est un défaut d’universalité ; un délit d’égoïsme ; une combustion doublée d’une jouissance tronquée et tromperesse : entre époux Allah a mis la bonté et l ‘affection ; quant a la passion elle est jouissance trompeuse, tentation et avidité nuisant à la largesse que le croyant se doit. Entre époux comme entre fraternels, ce qu’Allah nous enjoint n’est autre que son ordre ou la sagesse de Son amour et non pas l’égoïsme qui d’emblée
Ferme sa porte à l’entreconnaissance, à la piété et à la fraternité
comme on recouvre le mort au tombeau.
Aimant en Lui ne connaît pas la turpitude.
Si alors un jour quelque sournois veut culpabiliser ton amour et éteindre ta lumière,
Place ta confiance en Allah. Allah te suffit comme protecteur. Allah n’a pas placé a l’homme deux cœurs dans sa poitrine. La vérité vient de ton Seigneur ; ne sois donc pas de ceux qui prennent pour norme l’éphémère nafsique et adore ton seigneur jusqu’à ce que te vienne la certitude (la mort).
Coeur du monde
J’avais rarement vu quelqu’un qui,
Tout en étant intraitable dans sa fidélité à Allah,
Aimait autant la créature en Lui, avant de se positionner,
En juge, des arbitres égarés.
De cet amour en L’un, principiel, qui l’empêchait de pécher,
Mon frère prêchait le monde entier.
Mon frère, était un soldat d’amour et de Lumière.
Rien ne pouvait l’arrêter car son amour de l’Un était tel,
Qu’il était lié aux coeurs du monde entier ;
Qui d’eux-même bientôt comprenaient,
Que leur amour n’était pas aussi pur
Et que leur coeur avait tant oublié.
J’avais rarement vu meilleur être que mon frère, mon frère ;
Qui malgré ses défauts était comme l’eau pure,
Parce que son amour de L’Un,
Le rendait soumis sans qu’il n’aie à prétendre quelque dévotion.
Son amour de L’Un le rendait soumis et touchait,
De sa soumission, bientôt les autres qui errants,
S’attachaient au détail dont ils faisaient,
A leur effigie, un rituel.
Ces autres qui avaient oublié l’Unité, pour célébrer ce qui divise ;
Ces autres qui avaient oublié la lumière,
Pour célébrer l’ombre de leurs égos trompeurs.
Qui appelaient à eux pendant que tant d’âmes sous les bombardements avaient peur.
Mon frère, de la mort n’avait pas peur ;
Pendant que d’autres, s’estimant meilleurs,
Se projetaient comme une ombre, répandant le malheur.
Mon frère savait que ses frères étaient ses frères ;
Mais il aimait Son Seigneur
Bien avant son égo de malheur.
33.1. Ô Prophète! Crains Allah et n’obéis pas aux infidèles et aux hypocrites, car Allah demeure Omniscient et Sage.
2. Et suis ce qui t’est révélé émanant de Ton Seigneur. Car Allah est Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites.
3. Et place ta confiance en Allah. Allah te suffit comme protecteur.
4. Allah n’a pas placé à l’homme deux coeurs dans sa poitrine.[…] Mais Allah dit la vérité et c’est Lui qui met [l’homme] dans la bonne direction.
5.44.Ne craignez donc pas les gens, mais craignez Moi. Et ne vendez pas Mes enseignements à vil prix. Et ceux qui ne jugent pas d’après ce qu’Allah a fait descendre, les voilà les mécréants.
Le traumatisé (le survivant)
Dans les décombres, mon cœur soubresaute,
Déchiré de douleur et souvenirs fantômes.
Mon intérieur n’est que cimetière et sanctuaire
Dévasté-animé par la mort
Mes nerfs sont éveillés-imprégnés de ce paradoxal apport
Comme une alarme intérieure réveillant bientôt,
Une sirène enflammée donnant lieu, aux larmes absentes
Des coeurs en jeûne de ce bas monde aux sourires condamnés.
Mon intérieur bouillonne et me coupe, de toute extériorité
Incapable de communiquer avec des inconscients en cet enfer ici-bas annoncé
Mon regard n’est que brouillard et brume ; je n’y vois que mirage effacé ;
Ils ont peur ou pitié de moi car je passe de l’autre-côté.
Je suis, celui que la mort a happé
Celui qui comprend ce monde obsolète et dépassé
Celui qui le lisant, se passe de commentaire et attend que son livre se soit fermé
Et qui ne s’abreuve qu’au torrent béni d’un Quran glorifié.
Celui qui sait que la lutte, a été annoncée
Et que la plupart des gens dorment en s’imaginant endurer.
Je suis un mort un sans-années
Une machine, un compresseur qui essore
Un linge à laver, à restituer détaché de ce monde condamné
La mort me tient la main ; fidèle, elle ne m’a pas oublié
Elle s’est inscrite en moi remontant mes veines et mes nerfs ;
Comme une racine régénérant les branches de mon système nerveux par la violence asphyxié.
Je suis devenu muet,
Au nom de ce qui finit enterré
Peut-être retrouverai-je
Envie de vivre quelques mois comptés-condamnés ;
Mais mon silence est d’or ;
Mes amours y demeurent protégés
Loin des croyants au monde de morts
Faisant des vivants, des décédés
Qui a le droit, et qu’est-ce que devoir
Qui a le droit ?
Qui a droit à l’Islam,
Le Sheyk, le « savant », la bibliothèque, ou l’odorant mendiant ?
Qui a droit à l’Islam, à Sa lumière, à la clef de ce monde ambiant et déroutant ?
Qui a droit à l’Islam, l’apparence, ou le coeur battant ?
Qui a droit à l’Islam, la victime ou la perversion ?
Cet homme et ses pulsions, ou cette femme en sa soumission ?
Cet homme orgueilleux-oublieux durci, ou cet enfant réfléchissant ?
Qui a droit à l’Islam, un patrimoine, ou ses vivants ?
Un vatican, un roi sultan, ou nos enfants ?
Qui a droit à l’Islam, à sa lumière, son explication de tout, son baume au coeur, son Invitation ?
Un conformisme, ou l’Invisible,
Qui de son doux mystère,
De Noor irradie de Sagesse
Les coeurs aimants, patients et reconnaissants.
i’tinaq el islam
A l’Islam, on a si souvent fait porter les stigmates
Des peuples prétendant Le représenter
Quand l’Islam est venu en Miséricorde à l’humanité.
Certes Allah ne lèse personne, fût-ce d’un creux de noyau de date.
Quand l’homme hâtif, égocentré et pécheur,
Craint le jour parce qu’il craint la mort
Et craint la vie parce qu’il craint la nuit ;
Refusant de s’éteindre au nom de Celui ayant Commandé Justice et équité ;
Et confondant son ignorance, sa captivité, sa lâcheté avec la piété.
Suivant l’aveu* des vieux ancêtres ; s ‘interdisant de raisonner-L’adorer.
26.68.Et ton Seigneur, c’est en vérité Lui le Tout Puissant, le Très Miséricordieux.
69.Et récite-leur la nouvelle d’Abraham :
70.Quand il dit à son père et à son peuple : « Qu’adorez-vous? »
71.Ils dirent : « Nous adorons des idoles et nous leurs restons attachés ».
72.Il dit : « Vous entendent-elles lorsque vous [les] appelez?
73.Ou vous profitent-elles? ou vous nuisent-elles? »
74.Ils dirent : « Non! mais nous avons trouvé nos ancêtres agissant ainsi ».
75.Il dit : « Que dites-vous de ce que vous adoriez…?
76.Vous et vos vieux ancêtres ?
77.Ils sont tous pour moi des ennemis sauf le Seigneur de l’univers,
78.qui m’a créé, et c’est Lui qui me guide;
79.et c’est Lui qui me nourrit et me donne à boire;
80.et quand je suis malade, c’est Lui qui me guérit,
81.et qui me fera mourir, puis me redonnera la vie,
82.et c’est de Lui que je convoite le pardon de mes fautes le Jour de la Rétribution.
83.Seigneur, accorde-moi sagesse (et savoir) et fais-moi rejoindre les gens de bien;
84.fais que j’aie une mention honorable sur les langues de la postérité;
85.et fais de moi l’un des héritiers du Jardin des délices.
86.et pardonne à mon père : car il a été du nombre des égarés;
87.et ne me couvre pas d’ignominie, le jour où l’on sera ressuscité,
88.le jour où ni les biens, ni les enfants ne seront d’aucune utilité,
89.sauf celui qui vient à Allah avec un coeur sain ».
90.On rapprochera alors le Paradis pour le pieux.
91.et l’on exposera aux errants la Fournaise,
92.et on leur dira : « Où sont ceux que vous adoriez,
93.en dehors d’Allah? Vous secourent-ils? Ou se secourent-ils eux-mêmes? »
49.13. Ô hommes! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez. Le plus noble d’entre vous, auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand-Connaisseur.
14. Les Bédouins ont dit : « Nous avons la foi ». Dis : « Vous n’avez pas encore la foi. Dites plutôt : Nous nous sommes simplement soumis, car la foi n’a pas encore pénétré dans vos coeurs. Et si vous obéissez à Allah et à Son messager, Il ne vous fera rien perdre de vos oeuvres ». Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
15. Les vrais croyants sont seulement ceux qui croient en Allah et en Son messager, qui par la suite ne doutent point et qui luttent avec leurs biens et leurs personnes dans le chemin d’Allah. Ceux-là sont les véridiques.
16. Dis : « Est-ce vous qui apprendrez à Allah votre religion, alors qu’Allah sait tout ce qui est dans les cieux et sur la terre? » Et Allah est Omniscient.
17. Ils te rappellent leur conversion à l’Islam comme si c’était une faveur de leur part. Dis : » Ne me rappelez pas votre conversion à l’Islam comme une faveur. C’est tout au contraire une faveur dont Allah vous a comblés en vous dirigeant vers la foi, si toutefois vous êtes véridiques ».
18. Allah connaît l’Inconnaissable des cieux et de la terre et Allah est Clairvoyant sur ce que vous faites.
25.17.Et le jour où Il les rassemblera, eux et ceux qu’ils adoraient en dehors d’Allah, Il dira : « Est-ce vous qui avez égaré Mes serviteurs que voici, ou ont-ils eux-mêmes perdu le sentier? «
6.112. Ainsi, à chaque prophète avons-Nous assigné un ennemi : des diables d’entre les hommes et les djinns, qui s’inspirent trompeusement les uns aux autres des paroles enjolivées. Si ton Seigneur avait voulu, ils ne l’auraient pas fait; laisse-les donc avec ce qu’ils inventent.
113. Et pour que les coeurs de ceux qui ne croient pas à l’au-delà se penchent vers elles , qu’ils les agréent, et qu’ils perpètrent ce qu’ils perpètrent.
114. Chercherai-je un autre juge qu’Allah, alors que c’est Lui qui a fait descendre vers vous ce Livre bien exposé? Ceux auxquels Nous avons donné le Livre savent qu’il est descendu avec la vérité venant de ton Seigneur. Ne sois donc point du nombre de ceux qui doutent.
115. Et la parole de ton Seigneur s’est accomplie en toute vérité et équité. Nul ne peut modifier Ses paroles. Il est l’Audient, l’Omniscient.
116. Et si tu Obéis à la majorité de ceux qui sont sur la terre, ils t’égareront du sentier d’Allah : ils ne suivent que la conjecture et ne font que fabriquer des mensonges.
117. Certes ton Seigneur connaît le mieux ceux qui s’égarent de Son sentier, et c’est Lui qui connaît le mieux les bien-guidés.
Bénédiction de Merveille
Si tu veux que je t’abandonne,
Sache qu’Allah me l’interdit
Si tu crains que je t’abandonne,
Alors, rappelle toi que mon Seigneur ne t’a ni abandonné, ni haï.
Il se peut qu’en apparence de mon frère je me détourne ;
Mais ce ne sera qu’au regard des nafs aveuglés, ces donjons ; ces forteresses dotées de sphinx et oppressantes,
Qui plutôt que de se purifier pour entendre et aérer leur antre,
Érigent en maîtres leur belle idole, dorée d’émotionnelle tyrannie.
Si un jour un sage t’approche, et que ta remise confiante en une poignée d’hommes
T’a appris à concevoir le sage dans le même habit
Méfie toi qu’une épreuve ne t’atteigne, pour la négligence d’avoir représenté par une forme dans ton esprit
La Sagesse qui n’a de vrai que la lumière qui élargit les poitrines et qui de ses coeurs adorateurs raisonne.
Si un jour dans ton esprit, tes émotions de leur théâtre, t’ont diverti, affolé et endolori,
Rappelle toi pendant qu’il en est temps que ton ennemi avant d’être autrui,
Est en ton propre four qui produit des ténèbres ; qui brûle de ses caprices et caresses ;
Et qui ne peut s’aérer et s’alléger, qu’en Lui.
Si la science tu cherche, celle qui revigore les racines et le tronc de l’arbre frêle,
Sache qu’elle ne cohabite pas avec l’égo dans le même sanctuaire ;
Cet égo qui se complait de sa langue, mais dont le coeur se refuse et qui,
Au moment où les nuées éclatent en pluies, chargées de ténèbres, de tonnerre et éclairs, se met les doigts dans les oreilles, terrorisé par le fracas de la foudre et craignant la mort ; et Allah encercle de tous côtés les infidèles qui oublient
Et qui ne se repentent ni ne se purifient.
49.10.Les croyants ne sont que des frères
31.20. Ne voyez-vous pas qu’Allah vous a assujetti ce qui est dans les cieux et sur la terre ? Et Il vous a comblés de Ses bienfaits apparents et cachés. Et parmi les gens, il y en a qui disputent à propos d’Allah, sans science, ni guidée, ni Livre éclairant.
49.14. Les Bédouins ont dit : « Nous avons la foi ». Dis : « Vous n’avez pas encore la foi. Dites plutôt : Nous nous sommes simplement soumis, car la foi n’a pas encore pénétré dans vos coeurs. Et si vous obéissez à Allah et à Son messager, Il ne vous fera rien perdre de vos oeuvres ». Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
15. Les vrais croyants sont seulement ceux qui croient en Allah et en Son messager, qui par la suite ne doutent point et qui luttent avec leurs biens et leurs personnes dans le chemin d’Allah. Ceux-là sont les véridiques.
62.6.souhaitez donc la mort, si vous êtes véridiques.
introspicio
Forme affective
Et fonds ténébreux
Nous sommes à l’heure,
De l’islamité fictive.
Forme hostile, affront et exigence du fruit béni et épineux
Nous sommes à l’heure du regain des pieux ;
Ceux qui fendent la pierre pour qu’en surgisse l’eau ;
Ceux qui retournent la terre, pour un meilleur terreau.
Ceux qui sous leur manteau,
Cultivent lumière et ruisseaux
S’attelant à venir en aide comme à comprendre les peines, et délier les fardeaux.
Ceux qui à coups de pioche, démontent tout narcissisme ; ton égo ;
Se cachant si souvent sous l’émotion viciée de l’apparent dévot
Qui soucieux d’apitoyer sur son sort, fait fi des lignées de tombeaux.
L’Amour le vrai, le Vivant, Le Pur quand Il te prend, te transporte, tu t’oublies ;
Tu comprends ; tu te purifies tu t’effaces tu vis ;
Tu comprends, que tout te sert à te purifier avant le Jour J ;
Comme à te rendre utile pour illuminer à temps les vies.
Il n’y a d’affront en effet, que pour celui dont le coeur n’est ni reconnaissant ni lié de vérité ;
Et qui considère la complémentarité de son allié,
Selon l’égo les assignant ennemis.
Fuyez donc vers Allah !
Est-ce qu’ils se sont transmis cette injonction ?
Fuyez donc vers Al Haqq ;
Qui a assigné à chaque être une merveille de fonctions en Son Nom.
Pensez-vous qu’Al Califat jaillira de vos passionnelles émotions ?
Bien au contraire Al Califat renaîtra de leurs cendres ; c’est à dire de vos rationnelles déterminations.
Se repentir, se purifier se renforcer est une recherche, un salut ; un honneur pour le musulman ;
Qui ne demande pas qu’on le pleure ou qu’on le plaigne ; ni qu’on lui dicte son comportement !
33.1. Ô Prophète! Crains Allah et n’obéis pas aux infidèles et aux hypocrites, car Allah demeure Omniscient et Sage.
2. Et suis ce qui t’est révélé émanant de Ton Seigneur. Car Allah est Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites.
3. Et place ta confiance en Allah. Allah te suffit comme protecteur.
4. Allah n’a pas placé à l’homme deux coeurs dans sa poitrine.
Destinée de Merveille
Il ne nous arrive Que Ce qu’Allah
A prémédité pour nous
Tu sais,
La sagesse d’Allah est véritable et véridique
Tout autant
Que la Terre de son ciel bleu,
Vogue dans une orbite, déterminée et sereine.
Il ne nous parvient, contre nos volontés souvent illusionnées et leurrées,
Que la force d’une guidée promise lorsque tu as tant prié
Qu’Allah te guide, et te montre
Par où passer sans plus avoir à te tromper.
S’Il est le Roi de ton coeur
Ton coeur sera comme un ciel élargi de mille papillons bénis et mille nuages illuminés invitant bientôt les étoiles émerveillées de Lui obéir sans rechigner.
Et si tu regardes bien,
Même la pénombre tout autour Le glorifie sans se lasser ;
Car si Allah lui disait d’être éclaircie,
Aussitôt ; elle le serait.
Pendant qu’il en est temps
Rappelle le Nom d’Allah,
Plus vivant que tu ne l’es Il est béni ;
Rappelle le Nom d’Allah, et Son Royaume, qui déjà t’efface-et t’emplit ;
Rappelle le Nom d’Allah, qui a donné la mort et redonnera la vie ;
Rappelle le Nom d’Allah, qui te donne, te sustente et te chérit.
Pendant que tu en as le temps,
Rappelle L’Essence de cette vie ;
Rappelle à Lui par ta présence que ta petite voix soit unie ;
Rappelle avant qu’elle ne s’éteigne laissant dans la tristesse tes chéris ;
Rappelle à tes aimés que les morts en Allah Sont vivants et chéris.
Pendant que tu respires, rappelle l’essentiel de ta vie ;
Pendant qu’Il te donne, à tes proches, rends ton souffle béni.
Rends toi utile, à Son Ordre à Sa miséricorde ;
Ne laisse pas les démons, l’anarchie l’insouciance, et l’oubli monopoliser, ta mission-ta vie.
Pendant que tu aimes, Rappelle le Nom d’Allah ;
Rappelle Celui qui donne qui reprend qui chérit ;
Celui qui présent éprouve,
Pour réveiller à la vie ;
Celui qui Aimant assiste ;
Pour ramener à la vie.
Pendant que tu respires,
Pendant que la lumière à tes pupilles offre ses merveilles ses fleurs
Pendant que tes poumons expirent et que ton coeur tambourine de son compteur
Rappelle le nom d’Allah, qui te donne l’éclaircie
Qui t’ordonne qui t’appelle
Car c’est vers Lui que nous serons rassemblés
Et que l’oubli rend triste, ténébreux abattu avili ; et aigri.
Allah. Pas de Divinité à part Lui.