Ne soyez pas comme ceux qui ont oublié Dieu. Dieu a fait qu'ils s'oublient eux-mêmes.

Archives de août, 2014

Le poisson, la luciole, les étoiles et la terre

 

insecte éphémère

 

Il y avait des gens simples, qui plus ils sont simples et plus ils ressemblent à des fleurs
Des fleurs ou des plantes, parfois des arbres, parfois un ciel-de la lumière.
Ces gens là sont vivants parce qu’ils savent que la vie se respire.
Heureux et simples,
Sans orgueil ni artifices ;
Ils sont comme les herbes qui font la richesse ou la verdure.
Ces gens là, intelligents et souriants à la vie qui dure,
Le vie simple, la vie pure,
Ceux qui font des différences autre chose que des sépultures de l’égo impur ;
Ceux qui voient dans la différence la richesse des dons pluriels multiples et variés qui perdurent ;
Ceux qui savent et qui respirent Celui qui a donné de l’air et de l’eau ;
Et qui suivent, même allongés ou assis, les lignes et les routes à toute vitesse dans tous les vents et malgré les tempêtes, en souriant et en aimant parce que la vie, a ordonné le déploiement, des ailes de la respiration.

J’avais vu la grâce chez certaines personnes simples, une grâce qui ne venait d’eux mais de leur simplicité lui laissant place quand d’autres à coup d’orgueil tyran la chassent.

J’avais vu des gens simples, amis et alliés en cette simplicité qui fait la différence ;
Si intelligents qu’ils savent que la vie est toute faite de différences ;
Et de vieillesse ; et de temps qui passe.
Et de belles choses ; et de carcasses.

Ces gens qui savent que la vie ne vaut que par la lumière qui fait sourire,
Et qui soigne les malades en phase terminale.

Tu sais, ces gens, qui n’ont pas d’égo-idole.
Ces gens qui marchent, qui jouent, qui aiment, qui roulent, qui voyagent, qui parfois sans même bouger de leur amour se déplacent, qui connaissent à travers la grandeur du monde, les lieux de culte et les lieux de mort ;
Qui comprennent que la mort c’est soi ; et que la vie, c’est Lui.

Et qui de quête s’invitent à Lui ;
Et qui animés comprennent, que la différence ne sert qu’à honorer la montre, qui en ses battements dans les cryptes-ciel de nos poitrines, ne répond qu’à Lui qui fait voguer le poisson, la luciole, les étoiles et la terre.

5.82.C’est qu’il y a parmi eux des prêtres et des moines, et qu’ils ne s’enflent pas d’orgueil.
83. Et quand ils entendent ce qui a été descendu sur le Messager [Muhammad], tu vois leurs yeux déborder de larmes, parce qu’ils ont reconnu la vérité. Ils disent : « Ô notre Seigneur! Nous croyons : inscris-nous donc parmi ceux qui témoignent (de la véracité du Quran).
84. Pourquoi ne croirions-nous pas en Allah et à ce qui nous est parvenu de la vérité. Pourquoi ne convoitions-nous pas que notre Seigneur nous fasse entrer en la compagnie des gens vertueux? « .
85. Allah donc les récompense pour ce qu’ils disent par des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux, où ils demeureront éternellement. Telle est la récompense des bienfaisants.
86. Et quant à ceux qui ne croient pas et qui traitent de mensonges Nos versets, ce sont les gens de la Fournaise.
87. Ô les croyants : ne déclarez pas illicites les bonnes choses qu’Allah vous a rendues licites. Et ne transgressez pas. Allah, (en vérité,) n’aime pas les transgresseurs.

 

insecte ephémere


Une lumière et des frères

Et comment vivre sans les frères ;
Et comment vivre ; et comment vivre ;
Et comment respirer la lumière ;
Et comment devenir luminaire ;
Quand on ne sait aimer les frères.

57.8. Et qu’avez-vous à ne pas croire en Allah, alors que le Messager vous appelle à croire en votre Seigneur? Et [Allah] a déjà pris [acte] de votre engagement si vous êtes [sincères] dans votre foi.
9. C’est Lui qui fait descendre sur Son serviteur des versets clairs, afin qu’il vous fasse sortir des ténèbres à la lumière; et assurément Allah est Compatissant envers vous, et Très Miséricordieux.
10. Et qu’avez-vous à ne pas dépenser dans le chemin d’Allah, alors que c’est à Allah que revient l’héritage des cieux et de la terre? On ne peut comparer cependant celui d’entre vous qui a donné ses biens et combattu avant la conquête… ces derniers sont plus hauts en hiérarchie que ceux qui ont dépensé et ont combattu après. Or, à chacun, Allah a promis la plus belle récompense, et Allah est Grand-Connaisseur de ce que vous faites.

11. Quiconque fait à Allah un prêt sincère , Allah le Lui multiplie, et il aura une généreuse récompense.
12. Le jour où tu verras les croyants et les croyantes, leur lumière courant devant eux et à leur droite; (on leur dira) : « Voici une bonne nouvelle pour vous aujourd’hui : des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux pour y demeurer éternellement ». Tel est l’énorme succès.
13. Le jour où les hypocrites, hommes et femmes, diront à ceux qui croient : « Attendez que nous empruntions [un peu]: de votre lumières ». Il sera dit : « Revenez en arrière, et cherchez de la lumière ». C’est alors qu’on éleva entre eux une muraille ayant une porte dont l’intérieur contient la miséricorde, et dont la face apparente a devant elle le châtiment [l’Enfer]
14. « N’étions-nous pas avec vous? » leur crieront-ils. « Oui, répondront [les autres] mais vous vous êtes laissés tenter, vous avez comploté (contre les croyants) et vous avez douté et de vains espoirs vous ont trompés, jusqu’à ce que vînt l’ordre d’Allah . Et le séducteur [Le diable]: vous a trompés au sujet d’Allah.
15. Aujourd’hui donc, on n’acceptera de rançon ni de vous ni de ceux qui ont mécru. Votre asile est le Feu : c’est lui qui est votre compagnon inséparable. Et quelle mauvaise destination!
16. Le moment n’est-il pas venu pour ceux qui ont cru, que leurs coeurs s’humilient à l’évocation d’Allah et devant ce qui est descendu de la vérité [le Coran]? Et de ne point être pareils à ceux qui ont reçu le Livre avant eux . Ceux-ci trouvèrent le temps assez long et leurs coeurs s’endurcirent, et beaucoup d’entre eux sont pervers.
17. Sachez qu’Allah redonne la vie à la terre une fois morte. Certes, Nous vous avons exposé les preuves clairement afin que vous raisonniez.
18. Ceux et celles qui font la charité et qui ont fait à Allah un prêt sincère, cela leur sera multiplié et ils auront une généreuse récompense.
19. Ceux qui ont cru en Allah et en Ses messagers ceux-là sont les grands véridiques et les témoins auprès d’Allah . Ils auront leur récompense et leur lumière, tandis que ceux qui ont mécru et traité de mensonges Nos signes, ceux-là seront les gens de la Fournaise.
20. Sachez que la vie présente n’est que jeu, amusement, vaine parure, une course à l’orgueil entre vous et une rivalité dans l’acquisition des richesses et des enfants. Elle est en cela pareille à une pluie : la végétation qui en vient émerveille les cultivateurs, puis elle se fane et tu la vois donc jaunie; ensuite elle devient des débris. Et dans l’au-delà, il y a un dur châtiment, et aussi pardon et agrément d’Allah. Et la vie présente n’est que jouissance trompeuse.
21. Hâtez-vous vers un pardon de votre Seigneur ainsi qu’un Paradis aussi large que le ciel et la terre, préparé pour ceux qui ont cru en Allah et en Ses Messagers. Telle est la grâce d’Allah qu’Il donne à qui Il veut. Et Allah est le Détenteur de l’énorme grâce.

  BismiLlah


Le pervers

 

Le pervers avait l’art de tout travestir par son prisme mécréant-malade. Tout ce qui se présentait à ses sens avides devenait à son aura une potentielle nourriture à convertir à la guise de sa papille humide et sa panse béante.
Toute information neutre raisonnée et pure devenait par son spectre, une info corrompue-corruptrice.
Le pervers était une machine à convertir le pur en sale ; une machine à convertir Lumière en ténèbres ; à convertir piété en mécréance.Le pervers était une machine à attiser les attentions vers le faux et le mal ; car lui-même était un mal satisfait d’agglutiner autour de lui ; comme d’habiter et souiller les esprits libres.

La force du pervers, n’était que dans l’attention qu’il savait exercer sur les coeurs généreux. Sans généreux le pervers était sans vie.
Sans généraux qui lui accordaient quelque marge de leur coeur, le pervers était sans vie ni feu, ni flamme ni eau ; ni énergie.

Le pervers vivait de l’amour des autres. Incapable d’aimer, il était la sangsue qui pompe et qui suce le sang et la moelle d’autrui ; s’émouvant accusant et victimisant de plus belle d’avoir survécu et grossi ; et s’étonnant que l’autre, coupable complice ou inconnu, a dépéri.

Le pervers vivait de détruire les autres. Satisfait de dessécher les âmes charitables, de les pousser au suicide paradoxal il s’en faisait une vie. Satisfait de détruire et de tuer sans arme, il vivait de tuer en suçant et en vidant les réceptacles de leur vie car son âme de néant et de ténèbres ne se voulait soumise, mais célébrée à la place de la vie.

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Adam et Eve

dalila khalifa

La Belle, était comme cette Palestinienne ;
Elle portait sa terre sur sa peau ; une terre de stigmates ;
Une terre de Prophètes ; une terre d’endurants ; de battants ; une terre de frères et de vie de Merveille.

Il tombait parfois du ciel sur terre quelque chose de très violent,
Jusqu’à rappeler à ses habitants
Que ce lieu n’avait de sacré que son signe-son éphémère.

Car 2.38. – Nous dîmes : « Descendez d’ici, vous tous ! Toutes les fois que Je vous enverrai un guide, ceux qui [le] suivront n’auront rien à craindre et ne seront point affligés ».
39. Et ceux qui ne croient pas (à nos messagers) et traitent de mensonge Nos révélations, ceux-là sont les gens du Feu où ils demeureront éternellement.

Malgré la violence et malgré la mort épouvantant l’infidèle vivant de sang,
Malgré les larmes et malgré la douleur d’un coeur qui se serre et soubresaute pour s’en sortir vivant ;
Notre palestinienne, notre Syrienne et leurs enfants,
Gardaient sur leurs visages un Noor issu d’une contrée éternelle
rappelant leurs parents.


D’un sur-mesure

Quand j’accepte ce qu’Allah a voulu, ça m’ouvre le jardin qu’Il m’a donné ; mais si, quand j’idéalise ce qu’Il ne semble pas m’avoir donné, je m’oppose à ce qu’Il a voulu, alors je me refuse l’entrée de ce jardin Sacré qui fait la vie que personne d’autre que moi ne vit.
Ma vie est mon habit.
Ses évènements dépeignent la mensuration de mon âme ; de mon Esprit ;
Je suis ce qu’Allah me révèle en m’éprouvant ;
Ce qui en moi de Reconnaissance s’éveille et ne L’oublie jamais ;
Que mon coeur sourie ;
Ou se déchire sous l’éclair d’un démon maudit ;
Je suis par ce qu’Allah a agréé pour me révéler qui je suis.

29.2.Est-ce que les gens pensent qu’on les laissera dire : « Nous croyons! » sans les éprouver?
3.Certes, Nous avons éprouvé ceux qui ont vécu avant eux; [Ainsi] Allah connaît ceux qui disent la vérité et ceux qui mentent.
4.Ou bien ceux qui commettent des méfaits, comptent-ils pouvoir Nous échapper? Comme leur jugement est mauvais!
5.Celui qui espère rencontrer Allah, le terme fixé par Allah va certainement venir. Et c’est Lui l’Audient, l’Omniscient.
6.Et quiconque lutte, ne lutte que pour lui-même, car Allah peut Se passer de tout l’univers.
7.Et quant à ceux qui croient et font de bonnes oeuvres, Nous leur effacerons leurs méfaits, et Nous le rétribuerons de la meilleure récompense pour ce qu’ils auront accompli.

31. 20. Ne voyez-vous pas qu’Allah vous a assujetti ce qui est dans les cieux et sur la terre? Et Il vous a comblés de Ses bienfaits apparents et cachés. Et parmi les gens, il y en a qui disputent à propos d’Allah, sans science, ni guidée, ni Livre éclairant.
21. Et quand on leur dit : « Suivez ce qu’Allah a fait descendre », ils disent : « Nous suivons plutôt ce sur quoi nous avons trouvé nos ancêtres ». Est-ce donc même si le Diable les appelait au châtiment de la fournaise!
22. Et quiconque soumet son être à Allah, tout en étant bienfaisant, s’accroche réellement à l’anse la plus ferme. La fin de toute chose appartient à Allah.
23. Celui qui a mécru, que sa mécréance ne t’afflige pas : vers Nous sera leur retour et Nous les informerons de ce qu’ils faisaient. Allah connaît bien le contenu des poitrines.
24. Nous leur donnons de la jouissance pour peu de temps; ensuite Nous les forcerons vers un dur châtiment.
25. Si tu leur demandes : « Qui a créé les cieux et la terre? », ils diront, certes : « Allah! » Dis : « Louange à Allah! ». Mais la plupart d’entre eux ne savent pas.

18.26. A Allah appartient tout ce qui est dans les cieux et en terre. Allah est Celui qui se suffit à Lui-même, Il est Le Digne de louange!
Ils n’ont aucun allié en dehors de Lui et Il n’associe personne à Son commandement.27. Et récite ce qui t’a été révélé du Livre de ton Seigneur. Nul ne peut changer Ses paroles. Et tu ne trouveras, en dehors de Lui, aucun refuge.
28. Fais preuve de patience [en restant] avec ceux qui invoquent leur Seigneur matin et soir, désirant Sa Face. Et que tes yeux ne se détachent point d’eux, en cherchant (le faux) brillant de la vie sur terre. Et n’obéis pas à celui dont Nous avons rendu le coeur inattentif à Notre Rappel, qui poursuit sa passion et dont le comportement est outrancier.
29. Et dis : « La vérité émane de votre Seigneur ». Quiconque le veut, qu’il croie, et quiconque le veut qu’il mécroie ». Nous avons préparé pour les injustes un Feu dont les flammes les cernent. Et s’ils implorent à boire on les abreuvera d’une eau comme du métal fondu brûlant les visages. Quelle mauvaise boisson et quelle détestable demeure!
30. Ceux qui croient et font de bonnes oeuvres… vraiment Nous ne laissons pas perdre la récompense de celui qui fait le bien.
31. Voilà ceux qui auront les jardins du séjour (éternel) sous lesquels coulent les ruisseaux. Ils y seront parés de bracelets d’or et se vêtiront d’habits verts de soie fine et de brocart, accoudés sur des divans (bien ornés). Quelle bonne récompense et quelle belle demeure!

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L’animal

Demande toi,
Les yeux rivés par terre, ou où bon te plaira,
A quoi servent tes oeuvres de rachat,
Si à la moindre occasion,
Ton égo sort ses rats ?

Demande toi, à quoi servent tes actes,
Si tu t’imagines pouvoir acheter le roi,
En négligent ton devoir le plus pur de chaque instant ?

Aimes-tu, aimes-tu pour Allah ?

Aimes-tu, aimes-tu ton prochain, comme on on aime un bébé chat ?

Que fais tu de ton amour, de ton coeur-ton Lien à Lui,

Si tu n’aimes chaque autrui, que pour dorer, et complaire ton effigie ?

Penses-tu vraiment,
Qu’Allah t’a créé pour ça ?

Penses-tu vraiment,
Qu’Allah Azawadjel tolère de Ses serviteurs tel comportement.

 

Mahdy sosie


Ruse pharaonne (femme femelle)

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Rabbana ce que les femmes sont laides en un tournant,
Comment elles s’aiment et s’acclament elles-mêmes ;
Comment elles vivent leur narcissisme à fond,
Au lieu de vivre leur raison d’être pour Adam.

Allah n’a pas créé la femme en tant qu’habitat aux diables ;

Il l’a donnée au monde en tant que gratitude et solutions ;
Elle est une infirmière ; une main raffinée par juste raison ;
Elle est sensible par devoir de reconnaître les déficits
Et apporter sa touche de lumière en proportion.

Allah n’a pas créé la femme pour qu’elle soit l’incarnation d’un pharaon ;

Il l’a donnée au monde pour qu’elle aime l’équité et repousse la passion ;
Il l’a donnée au monde, pour qu’elle pratique la Soumission ;
Il a fait d’elle un soldat du détail ;
Une ouvrière de Sa miséricorde et non pas des ornements de la corruption.

Rabbana, ce que les femmes sont perfides en un tournant ;
Ce que détournées de Toi elles causent de torts à une humanité qui pourtant la choie pour Ta raison ;
Ce qu’oublieuses de Toi, elles persévèrent à corrompre tout en prétendant T’adorer Toi ;
Ce qu’elles jouent et feintent à T’adorer, pour de Toi en mieux se détourner vers leur effigie adorée.

La passion est la chose la plus corruptrice ;
Ô femme cesse de confondre Allah et Son Deen avec ton maquillage ; avec tes feuilletons ;
Avec tes blasphèmes tes stratagèmes ; tes exultations !

La femme en Islam réfléchit ; elle se rend utile elle est une soldate de l’équité rationnelle et lutte en se fortifiant de Lui
Elle est juste-soucis et non pas un carnaval mielleux criant à l’affliction dès lors
Que son égo est inadoré ;
Dès lors, que son égo, n’est pas honoré dès lors,
qu’Ibliss d’elle n’est pas satisfait !

Eve lutte pèse et se préserve ;
Eve nous conserve
Eve est en Islam, Miséricorde et Issue d’Adam

Son caprice est un iblissien plaisir !
Et son angoisse pour son effigie et son trône, un iblissien délice !

Allah, nulle autre divinité que Lui ! Et c’est à Allah que les croyants [doivent] s’en remettre.
Et ne suivez pas les passions afin de ne pas dévier de la justice.
Et sachez qu’Allah s’interpose entre l’homme et son coeur et que c’est vers Lui que vous serez rassemblés.


L’élément rare du Muwahid

Le sectarisme est très tenace ; aimant son égo et fuyant l’effort
Le suiveur ne cherche pas la vérité mais quoi qu’il en dise il suit l’odeur de ses conforts ;

Elle est loin, elle est rare l’époque des véridiques si bien prêts à la Rencontre ; qu’ils sont comme morts ;
Cherchant le vrai et fuyant le faux ; repoussant l’inculte et refusant le shirk ;
Disputant tout en aimant et combattant tout en amourant ;

Elle est loin l’époque rare ;
Qui dans la poitrine quête Allah ;
Il est loin l’élément sain ;
Du précieux Muwahid ;

Mais pourtant il vient ;
Mais pourtant il vient.


Parents et tyrannie

Passé le temps de l’éducation,
Les enfants ont grandi.
La poitrine des filles s’est remplie ;
Le visage des jeunes hommes de barbe s’est garni,

Les parents, ont grossi ou maigri ou vieilli ;
Certains cherchant l’agrément d’Allah,
D’autres imposant leurs désirs avilis.

Mon enfant, tu seras soumis à mon démon mon désir ;
Tu m’écouteras dans mes moindres caprices,
Et tu ne pourras mener la vie qui en Son Nom t’invite.

Mon enfant, je refuse d’être un simple parent ;
Je veux montrer à tous que mon pouvoir est grand,
Et que la vie de mon enfant va comme je l’entends.

Mon enfant, tu subiras ma frustration ;
Tu seras l’objet de ma passion ;
car tu es né de mon consentement.

Mon enfant, tu es à moi
Rappelle toi le hadith a dit
Le paradis est sous les pieds des mamans.

Mon enfant, ma peau a fané, je n’ai plus le phare à joues de ma vingtaine d’années ;
Mais comme un ornement je te garderai ;
Jusqu’à ce que tu épouses celui qui me plaît.

On a vu, les parents insoumis,
Se mêler de tout dans la vie,
De leurs enfants chéris ;

On a vu des parents égarés,
Faisant de leur statut parental une idole, à dorer.

64.13. Allah, nulle autre divinité que Lui! Et c’est à Allah que les croyants [doivent] s’en remettre.
14. Ô vous qui avez cru, vous avez de vos épouses et de vos enfants un ennemi [une tentation]. Prenez-y garde donc. Mais si vous [les] excusez passez sur [leurs] fautes et [leur] pardonnez, sachez qu’Allah est Pardonneur, Très Miséricordieux.
15. Vos biens et vos enfants ne sont qu’une tentation, alors qu’auprès d’Allah est une énorme récompense.
16. Craignez Allah, donc autant que vous pouvez, écoutez, obéissez et faites largesses. Ce sera un bien pour vous. Et quiconque a été protégé contre sa propre avidité… ceux-là sont ceux qui réussissent.
17. Si vous faites à Allah un prêt sincère, Il multipliera pour vous et vous pardonnera. Allah cependant est très Reconnaissant et Indulgent.
18. Il est le Connaisseur du monde Invisible et visible, et Il est le Puissant, le Sage.

couple


Ijtihad

Qui aurai-je comme ami,
Au moment de ma mort ?

Qui ai-je comme ami,
Au moment où je prie ?

Qui ai-je comme amant,
Au moment où je m’enorgueillis ?

Que fais-je de ma vie,
Si j’oublie qu’Allah est proche de moi
Et qu’Il m’a donné Un Livre, et la vie.

Que fais-je de mon existence, si Ses versets je ne lis ?
Que devient ma vie, si Son livre, en suivant des rabbins et des moines je renie.

Que fais-je de ma respiration, de ma vue, de mon ouïe,
Si à des tiers je confie mon ijtihad, en oubliant qu’Allah m’a donné la vie.

Que devient mon coeur, qui bat,
Si je n’entends ses versets qui déversent en moi guidée ?

Que devient mon existence,
Si je ne lutte pour vivre de vérité ?

Que devient ma vie si je m’indiffère à tout ce qui en moi existe, pour seconder l’opprimé.

Que devient mon être, si je m’indiffère,
A la vérité ?

Que devient Justice, si ma vie, ne vibre pas pour s’en honorer.
Bientôt, très bientôt, mon coeur pourra s’arrêter.

J’aurais donné, ma vie ;
Pour Le servir Lui Seul en exclusivité.

Mon coeur aura servi tous ceux qui se sentaient oppressés
En ne comprenant pas qu’Allah leur donne, de quoi vivre, et Aimer.

Je suis, une mort incarnée ;
Je ne vis, qu’en faisant jaillir de ma dépouille, la vivante justice et lumière,

Qui sert Sa Miséricorde à l’humanité.
Mon coeur qui semblait divisé,
S’est unifié ;
En choisissant la lutte pour l’équité,
Je retrouve liberté d’exister transporté.

67.2. Celui qui a créé la mort et la vie afin de vous éprouver (et de savoir) qui de vous est le meilleur en oeuvre, et c’est Lui le Puissant, le Pardonneur.
3. Celui qui a créé sept cieux superposés sans que tu voies de disproportion en la création du Tout Miséricordieux. Ramène [sur elle] le regard. Y vois-tu une brèche quelconque?
4. Puis, retourne ton regard à deux fois : le regard te reviendra humilié et frustré.


Ô mon peuple

Ô mon peuple ; je vous dirai vous. Comme les prophètes l’ont fait parce qu’ils prenaient parole en notre direction ; je vous dirai vous.

Combien négligent al Quran et prétendent suivre les pieux prédécesseurs dans leur manière de vivre ?
Sans forger votre intériorité par al Quran, vous ne serez que des ombres. Autant pour vous laisser les pieux prédécesseurs tranquilles, d’arrêter de les salir en prétendant les représenter quand vos égarements ternissent l’existence et que vous ne comprenez RIEN de ce qui pouvait les motiver dans leurs vies et dans leurs faires.

La plupart d’entre vous imaginent ; s’émotionnent pour jazzer mais ne comprennent rien et n’éclairent personne. Vous prétendez d’avantage que vous ne luttez , vous ne réfléchissez pas ; et seuls vos petits égos vous intéressent sans réfléchir global ; sans solutionner et synthétiser et en oubliant le Noor d’ALLAH parce que vous lui associez l’idée de vous-même.

Qu’ALLAH préserve l’humanité de la vermine infatuée. Amîn.
Et quiconque lutte ne lutte que pour lui-même; car Allah peut se passer de tout.

 


Et construis moi une Maison dans Ton Paradis.

Quand leurs hormones les flattent,
Les femmes entre elles en leurs égos, sont vraiment les plus laides.
Celles ci oublient que se flatter les unes les autres, n’apporte guère plus de bénéfice
Qu’une couche de vernis qui craquèle.
Mais quand bien même la misère et la famine les frappe,
Les femmes entre elles en leur piété et leur souci des uns des autres, sont des lumières qu’aucun astre n’égale.

Dans l’aisance comme dans l’adversité, il existe des femmes justes qui n’oublient pas leur devoir de Justice quand bien même Satan en leur enjolivant l’arbitraire, voudrait les rendre injustes.

66.11. et Allah a cité en parabole pour ceux qui croient, la femme de Pharaon, quand elle dit « Seigneur, construis-moi auprès de Toi une maison dans le Paradis, et sauve-moi de Pharaon et de son oeuvre; et sauve-moi des gens injustes ».
66.1.Ô Prophète! Pourquoi, en recherchant l’agrément de tes femmes, t’interdis-tu ce qu’Allah t’a rendu licite? Et Allah est Pardonneur, Très Miséricordieux.


Mesure la différence

Mesure la différence, entre une petite fille qui voit en son parent, un noble protecteur,
Et la femme qui voit en l’homme, un pantin-adorateur.

Mesure la différence, entre un enfant qui voit le grand comme un réalisateur ;
Et l’orgueilleux qui oublie sa genèse ; sa croissance-son devoir ; et son Seigneur.

Mesure la différence ;

Entre un enfant qui ressent et qui filtre la lumière
Et l’infidèle, qui oublie qu’auparavant il n’était rien ;
Et qui attire à son néant intérieur.

Mesure la différence.

Mesure la Gravité,
De pharaon et de son oeuvre.

ken


Jardin aux arbres

suivez-le-chemin

Comment sera ma co-épouse,
Et l’autre, et l’autre encore ?
Comment sera cette co-épouse, cette soeur,
Cette énième épouse que le Très Haut accorde à mon époux bien-aimé ?

Je ne sais quelle sera sa couleur de peau ;
Je ne sais quelle sera la couleur de ses yeux ni comment sourira son sourire ;
Mais je sais qu’elle aime Allah plus que tout au monde,
Car Lui-Seul nous aime et nous bénit de véritable vie.

Comment sera-t-elle ?

Je sais que sa pudeur la gardera à tout ce qui lui revient de droit ;
Je sais que son amour d’Allah, fera d’elle, une ouvrière de Foi ;
Je sais que son amour d’Allah, fera d’elle une lumière sous notre toit ;
Et ses prières une fontaine où s’abreuvent les califes ; les reines et les rois

De mon couvent je suis sortie, à l’adoration du Roi ;
Qui me donne à un époux-jardin semé d’arbres fruitiers.

Chaque enfant y jouit d’un amour inconditionnel ;
Ma maison est comme une colonie,
Où les coeurs vibrent d’amour pour l’Éternel ;
Et où nul ne suit les passions ; afin de ne pas dévier de la Justice.

4.3.[…]Et si vous craignez de ne pas être justes avec celles-ci, alors une seule.

66.1.Ô Prophète! Pourquoi, en recherchant l’agrément de tes femmes, t’interdis-tu ce qu’Allah t’a rendu licite? Et Allah est Pardonneur, Très Miséricordieux.
66.10.Allah a cité en parabole pour ceux qui ont mécru la femme de Noé et la femme de Lot. Elles étaient sous l’autorité de deux vertueux de Nos serviteurs. Toutes deux les trahirent et ils ne furent d’aucune aide pour [ces deux femmes] vis-à-vis d’Allah. Et il [leur] fut dit : « Entrez au Feu toutes les deux, avec ceux qui y entrent »,
11.et Allah a cité en parabole pour ceux qui croient, la femme de Pharaon, quand elle dit « Seigneur, construis-moi auprès de Toi une maison dans le Paradis, et sauve-moi de Pharaon et de son oeuvre; et sauve-moi des gens injustes ».
12. De même, Marie, la fille d’Imran qui avait préservé sa virginité; Nous y insufflâmes alors de Notre Esprit. Elle avait déclaré véridiques les paroles de son Seigneur ainsi que Ses Livres : elle fut parmi les dévoués.


Homme Dauphin

On ressent, comme un air dans le vent,
Que cette Religion Sublime,
Nous fait voir les abîmes.

On ressent, par maints moments ;
Que le devoir d’agir, que le besoin de Soutenir,
Nous amène là où les plaies sont denses comme le poids des vagues ; et profondes

Alors, d’un murmure à l’autre,
Il nous semble trouver du réconfort auprès
De l’insouciant qui allègre,
Se détourne des filets meurtriers laissés nuit et jour en mer.

Cherchant auprès de l’oublieux de ses chairs,
Un îlot de repos et de sourires en fleurs.

Or, le véritable sourire reposant, n’est pas celui du complaisant ;
Mais celui qui de ses larmes, respire ; et renfloue sa nage.

Mais comme un bon compagnon,
On choisit la voix de l’îlot au repos d’artifice ; dont le flot
transporte un vent fait de fraîcheur humide
Qui bientôt, nous caresse et nous agrippe au bras.

Même si beaucoup choisissent,
La face douce et reposante de la terre,
Sachez mes soeurs et mes frères ;
Que les Meilleurs sont ceux qui ne se refusant guère à quelque doux repos
S’en vont, enquêteurs ; explorateurs, et médecins et infirmiers ; à la guerre.

En immersion dans les flots denses et profonds qui souffrent ;
Et dont les larmes fidèles de prières bientôt,

Dirigent vers un peuple de libation qui danse et s’indiffère ;
Les plus violentes et redoutées tempêtes.

Les larmes, sont des lames ;
Les prières et la connaissance, sont des armes.

dauph


Lumière et frères

J’avais besoin que mes frères et mes soeurs
Me rappellent mon utilité ;
Mais je ne trouvais que des gens affairés,
A leurs mondaines besognes.

Mon coeur avait besoin, d’en Allah Respirer,
Mais je ne trouvais autour de moi
Que des gens troubles, et atones.

Mon être, avait besoin de s’élever, d’aimer,
Mais je ne trouvais autour de moi que des néants d’idoles !

Me soumettre aux associateurs nuisait à ma farandole ;
Et mon coeur plus que jamais ; espérait trouver la communauté
Par laquelle observer ses rites et accéder, à la Promesse qu’à chaque instant,

Allah lui fait ; car dans mon amour et ma joie d’aimer,
Je me savais passer ;
et rien ne pourrait jamais de Lui me détourner.

 


Tombe et éclaircie (Les arbres s’élèvent)


Oiseaux volent et arbres s’élèvent ;
Favorisant le repos des pèlerins voyageurs.
Poitrine comme un sanctuaire,
Accueillait tantôt les humeurs du bas monde en leurs sueurs et fatigues du voyage ;
Tantôt accueillait leurs purifiantes prières, comme un rayonnement
Éventrant ce bas ciel.

Ma communauté privée de son adoration était, comme une tombe malade.
Comme les volatiles coupés de leurs liens-leurs ailes au ciel.

Les temps semblaient gris.
Frères et soeurs ne prenaient aucune nouvelle
Et si ce n’était moi qui partais m’enquérir des battements de leurs coeurs,

Chacun oubliait qu’ils étaient comptés et limités,
En oubliant de partir à leur requête.

Tu sais, un coeur qui bat, c’est un coeur qui à la fois fleurit et tremble.
Tu sais, un coeur qui bat, c’est une fleur qui se nourrit d’un Noor particulier.
Sans les frères, et sans Allah qui fait leur trame et leurs divins compteurs,
Sans les frères, tout coeur, tombe malade.

Sans s’enjoindre la vérité et les bonnes oeuvres et l’endurance,
Tout coeur s’oublie et oublie ses frères qui font son corps ses yeux ; ses ailes et son ouïe.

Même s’il arrive que le silence soit un bel asile,
S’il s’épaissit à en couvrir les tambours d’amour des sanctuaires
Alors pense à rappeler ton frère ou ta soeur.
Ils ont besoin de toi ; car leur coeur est le tien ;
Ils ont besoin de toi ; car votre lien fait la Foi des vrais croyants.

Tu sais, je ne te propose pas d’assister un je empli de fatuité, de narcissisme ;
Mais juste être présent et là, comme deux arbres côte à côte.
Comme trois arbres côte à côte; puis bientôt quatre, et cinq, et six ; et sept.
Puis bientôt la Forêt bénie ;
Puis bientôt la vie et les sources qui en jaillissent.

Tu sais, si une humeur grisâtre d’un frère est difficile à supporter, c’est toujours parce que ton coeur, ne comporte la flamme et l’astre de l’éclaircie qui surplombe les orages.
Tu sais, les orages, viennent arroser la dépendance à Lui. Sans grisaille, pas de contraste et pas de repentir vers Lui qui disperse les nuages et en La gloire de qui
Les oiseaux sourient et bientôt déploient leurs ailes.

41.39. Et parmi Ses merveilles est que tu vois la terre humiliée (toute nue). Puis aussitôt que Nous faisons descendre l’eau sur elle, elle se soulève et augmente [de volume]. Celui qui lui redonne la vie est certes Celui qui fera revivre les morts, car Il est Omnipotent.

61.2. Ô vous qui avez cru! Pourquoi dites-vous ce que vous ne faites pas ?
3. C’est une grande abomination auprès d’Allah que de dire ce que vous ne faites pas.
4. Allah aime ceux qui combattent dans Son chemin en rang serré pareils à un édifice renforcé.
5. Et quand Moïse dit à son peuple : « Ô mon peuple! Pourquoi me maltraitez-vous alors que vous savez que je suis vraiment le Messager d’Allah [envoyé] à vous? » Puis quand ils dévièrent, Allah fit dévier leurs coeurs, car Allah ne guide pas les gens pervers.

5.1.2