Ne soyez pas comme ceux qui ont oublié Dieu. Dieu a fait qu'ils s'oublient eux-mêmes.

Archives de février, 2014

Quelque part dans le vent

Quand il reste à la main assez de souplesse pour accomplir sa tâche,
Penses-tu qu’il s’agisse d’un hasard ?

Quand il reste à ton coeur, de l’amour à Adorer encore,
Penses-tu que ce soit pour semblant.

Quand tu as dans tes yeux, la lumière-le Mystère de toujours et encore ;
Quand tes paupières se ferment, et que leur nuit te donne du temps

Temps de retrouver ton sang qui transporte de la terre.

Quand le temps te dit souvent, que les jours sont à toi que le vent te caresse,
Quand le ciel te chante pourtant, que la Miséricorde est une véritable allégresse.

Quand le poids te rappelle en souffrant, que le poids du péché de Satan te gangrène ;
Quand le Nom d’Adam t’apprend la Noblesse d’un repentant ;
Et le Pardon d’Un Créateur,
Qui polit ton coeur et ton entendement.


Rappel à l’Aube

Etrange mélange,
Voyou maghrébin,
Entre Islam et bourgeoisie parisienne ;
Entre Mosqué et centre George Pompidou
Entre Tapis de prière et accessoires versace

Entre sourires et valses avec les profanes
Et échanges maquillés avec les musulmans.

J’essaye de comprendre ce qui donne tant de doubles visages
Et essaye de comprendre le désarroi de certains musulmans.
Tiraillés entre deux visages entre deux groupes ,
A l’un reviendra le masque, à l’autre reviendra la troupe.

On est pourtant si bien en Islam,
On a pas besoin de jouer de ses sourires quand on est un musulman,
Car quand on aime on ressent bien au-delà des masques ;
Et l’on comprend qui nous aime pour Allah de qui nous aime pour ses semblants.

Je me demande ce qu’ont certains à ne pas choisir leur vie leur coeur,
Qui de ses battements décompte le revenir au Créateur.

Je me demande ce qu’ont certains à craindre le mortel-menteur ;
A jouer dans son regard, les moues et sourires approbateurs.

Je me demande pourquoi tant de frères et de soeurs
N’embrassent pas ce ciel immense qui les transporte sans paresse ;

Qui leur donne à boire et leur donne à respirer l’allégresse ;
Et leur permet de voir nuit et matin,
Le noor qu’ils troquent pour des éclats trompeurs.


Tes frères sont ta vie

Si de vos frères vous quittent,
Une partie de votre être s’éteint avec eux.

Je pense particulièrement à Talib,
Un frère dont je n’ai plus de nouvelles depuis.

Je pense aussi à Habib, à Mahdi, à Sami ;
A tous ces frères qui m’ont permis de devenir ce qu’aujourd’hui je suis.

J’avais de l’ombre en moi, que mes frères en dignes miroirs ont chassé en réinvitant la lumière en moi.

Un seul frère sincère suffit, à dépoussiérer un coeur, de l’oubli.

Un seul frère sincère suffit, à redonner du sens à ta vie. Sa sincérité, c’est un bout de ta vie.

Si un jour il t’est donné de voir et d’entendre, Retrace le chemin vers Lui.

Chacun déterre ton coeur de l’oubli.
Et quand bien même l’hypocrite se cacherait sous ton tapis, sa vilénie te prémunit contre l’hypocrisie qui voudrait grimper jusqu’à la forteresse de ton coeur assigné à Lui.

Si de vos frères vous quittent, sachez que les coeurs sont unis.

Si de vos frères ne se font plus entendre c’est sans doute qu’ils sont occupés à cheminer vers Lui…

Vos frères, tes frères sont ta vie. Apprends de leurs silences comme de leurs gestes amoureux de Lui.

Apprend à lire, à boire en tes frères ; car le non croyant est pour toi, une forme d’aride étendue.


En Lui on s’aime

Ô nos frères, nos soeurs
Qui faites des efforts pour être sincères
Qu’Allah vous accorde le fruit béni de cette sincérité qui n’est autre qu’un double succès
Ici bas et au-delà ; un succès
que seuls les Croyants regardent et auquel seuls les Croyants sourient ;
Un succès que seuls les croyants Connaissent et que seuls les croyants, ont cherché.


Rescapés

Façon de penser de voir mais aussi de vivre
Islam est venu,

J’ai eu le temps de comprendre,
Que naissance est venue ;

Qu’avec ma mort un interrogatoire m’attend je ne suis pas là en vain, Non, la vie n’est pas un jeu qui badine de l’esprit.

Non, la vie n’est pas un jeu où l’on se fout,
Où l’on s’ennuie ;

Mais un sol où l’on se doit d’instaurer le Kalifat pour lequel nous venons à la vie.

2.30. Lorsque Ton Seigneur confia aux Anges : « Je vais établir sur la terre un vicaire « Khalifa « . Ils dirent : « Vas-Tu y désigner un qui y mettra le désordre et répandra le sang, quand nous sommes là à Te sanctifier et à Te glorifier?  » – Il dit : « En vérité, Je sais ce que vous ne savez pas! « .


Nuit et matin

Je m’en irai dans la nuit,
Marcher le long du chemin où les amis s’ennuient.

Marcher le long d’un jour,
Qui naît de ma nuit,

Le long d’un mur, d’un transport, d’un Sentier promu.
Marcher au long Mystère, qui éclaire mon jour et ma nuit.

Je m’en irai, longeant le chemin éclairé de Lui
Familier à la lune, aux étoiles, comme à mon coeur qui reconnaît toujours le chemin.

Je m’en irai le long du goudronné couloir où les véhicles détonnent
Où les murs sont de végétation Dense de silence nocturne

Où se démarquent les herbes, quelques fois les ravins,
Qui invitent à rester au chemin
Qui transporte
Sans montrer ses mains

Je m’en irai de nuit, sentir l’univers uni ;
Quand la fraîcheur humide de ce grand Soumis
Devient la rosée d’un nouveau matin ;

D’un avenir promis ;
D’un avenir béni.


Finesses et Obéissance

Cette vie est pleine de merveilles, donnons nous les moyens simples de nous ouvrir à elles

Cette vie est pleine de finesses ;
Donnons nous les moyens d’accéder à elles !

Cette vie est pleine de miséricorde ;
Donnons nous les moyens de la Diffuser -de nous purifier

Cette vie est pleine de Bonté Divine ;
Donnons nous la sincérité de vraiment L’adorer

Lui Seul.

Allah ! point de divinité à part Lui.
L’ordre d’Allah arrive. Ne le hâtez donc pas.


Comment on t’aime

Ceux qui t’aiment pour leurs jeux,
C’est pas la peine.

Ceux qui t’aiment pour leur Dieu,
C’est eux qui aiment.

Ceux qui t’aiment pour leurs cartes, leurs miroirs leurs clics et leurs clacs,
Ne méritent en réalité que des gens qui les aiment comme eux aiment ;

Car toi tu es de ceux qu’Allah aime.

Si tu entends cela et que tu le comprends réveille toi
et adore Le encore.

Pardonne moi encore, pardonne leur encore,
Prosterne toi d’avantage, et rapproche toi.


Ton épreuve, Sa miséricorde

Crains Allah, n’aggrave pas ton épreuve,
Car ton épreuve est celle de tous ceux qui t’aiment pour Allah ;
Et qui la partagent avec toi.

Comme on partage un héritage
De Repentant.

Crains Allah,
N’amplifie rien
Mais ouvre ton coeur et apprends, raffine et réajuste,
Redeviens une compréhension
Remets toi au niveau bas,

Considère tout ce que tu as,
Et par ta reconnaissance,
Compose et Aime ;
Savoure et loue La miséricorde

A laquelle tu t’étais aveuglé souvent.


Or et Eau

L’homme noble
Savait que tout l’or du monde

N’égalait sa perception de l’or,
Qui ne Rendait que la lumière du Seigneur des mondes

L’homme noble,
Cueillait après sa prosternation,
Un doré, et juteux morceau de citron.

« Seigneur! tu étends sur toute chose Ta miséricorde et Ta science.
Pardonne donc à ceux qui se repentent et suivent Ton chemin et protège-les du châtiment de l’Enfer.
Seigneur! Fais-les entrer aux jardins d’Eden que Tu leur as promis, ainsi qu’aux vertueux parmi leurs ancêtres, leurs épouses et leurs descendants, car c’est Toi le Puissant, le Sage.
Et préserve-les [du châtiment] des mauvaises actions. Quiconque Tu préserves [du châtiment] des mauvaises actions ce jour-là, Tu lui feras miséricorde ». Et c’est là l’énorme succès. (40)
Ceux qui disent « Notre Seigneur est Allah », et qui se tiennent dans le droit chemin, les Anges descendent sur eux . « N’ayez pas peur et ne soyez pas affligés; mais ayez la bonne nouvelle du Paradis qui vous était promis.
Nous somme vos protecteurs dans la vie présente et dans l’au-delà; et vous y aurez ce que vos âmes désireront et ce que vous réclamerez,
un lieu d’accueil de la part d’un Très Grand Pardonneur, d’un Très Miséricordieux ».
Et qui profère plus belles paroles que celui qui appelle à Allah, fait bonne oeuvre et dit : « Je suis du nombre des Musulmans? » La bonne action et la mauvaise ne sont pas pareilles. Repousse (le mal) par ce qui est meilleur; et voilà que celui avec qui tu avais une animosité devient tel un ami chaleureux.Mais (ce privilège) n’est donné qu’à ceux qui endurent et il n’est donné qu’au possesseur d’une grâce infinie.(41)

N’invoque donc pas une autre divinité avec Allah, sinon tu seras du nombre des châtiés.Et avertis les gens qui te sont les plus proches.
Et abaisse ton aile [sois bienveillant] pour les croyants qui te suivent.
Mais s’ils te désobéissent, dis-leur : « Moi, je désavoue ce que vous faites ».Et place ta confiance dans le Tout Puissant, le Très Miséricordieux, qui te voit quand tu te lèves ,et (voit) tes gestes parmi ceux qui se prosternent.C’est Lui vraiment, l’Audient, l’Omniscient. Vous apprendrai-Je sur qui les diables descendent ? Ils descendent sur tout calomniateur, pécheur.(26)

Quand tu projettes ton ego sur des scènes dorées
Que tu voudrais faire venir

Tu oublies le Présent qui te mène, à L’avenir

Et pendant qu’aveuglé tu suis,
Les fantômes de tes succès futurs
Ta fondation, ton présent s’effrite

Et de tes rêves ne reste
Que cendres et déprime


En compagnie des étoiles

Je ne te dirai jamais assez comme c’est bon d’aimer en Dieu même si tu as tendance à te sentir incompris et seul. Car ce qui est grave c’est de ne pas aimer ; et c’est pas grave si tu n’es pas aimé ; c’est simplement qu’Allah t’a assigné à Lui-même. Et aimer, ça te donne tellement de force. Mais pas aimer de jeu, mais aimer en Dieu ; c’est là toute la différence.

Quel est mon camps, je ne sais pas ; car je ne sais pas qui je suis, je suis la vie qu’Allah m’a donné et je suis un essai, un espoir d’en faire quelque chose de pur, de bien ; un avenir.

Si tu veux savoir, il n’y a rien de tel que de se savoir seul ; car l’approche d’un autre qu’Allah va tôt ou tard te bouleverser. Car Seul Allah connaît ton âme et Seul Allah sait l’accueillir et la rassurer. Ainsi, si tu rencontres quelqu’un en vrai ce sera Lui bien avant vos apparences qui vous laisseront abandonnés. Ce sera en Lui qui Unit, que vous vous rencontrez et que vous vous connaissez que vous L’adorez ; c’est en Lui que se rejoignent les aimés en Lui.

Qui n’était pas seul ? Qui n’était pas choyé de Lui Seul ?

Qui n’était pas seul, peux-tu me le dire ?

Qui n’était pas béni, d’être avec Lui Seul.

Si tu sais me le dire, tu poseras ton front et tu te tairas puis tu auras envie d’oeuvrer pour réunir.

Mais si tu ne sais pas le dire, alors tais-toi. Et cherche un peu plus en toi-même où est la pureté que tu empêches de jaillir de toi.

Il y avait des gens qui ne savaient respirer la vie. Des gens souffrants mi-vivants mi-zombie, pour qui la force était de jouer et paraître pour finalement disparaître.

Pense-tu que ceux-là n’étaient pas seuls dans leur grand théâtre ?
Pense-tu que l’obscurité, après que le projecteur se soit éteint, ne leur fait pas peur.

Et puis il y a celui qui, habitué, donne naissance en son discernement à des astres éclairants ; que tant ne savent faire jaillir du fonds de leurs de poitrines où sied l’oubli d’Allah.

Tu sais l’orgueil n’éclaire personne ; il attire à lui les regards puis les aveugle et les laisse abandonnés. Car celui qui n’a d’yeux que pour l’orgueil,

S’aveugle à la compagnie des étoiles.

Est-ce que tu décèles
Au gré leurs souriantes étincelles, cette aube promise aux doués de clairvoyance ?


avoir un frère

Mon frère n’avait de cesse de voir sur le long terme, et moi, comme une imbécile, j’avais les yeux rivés par terre.
J’avais les yeux remplis de leurres et j’avais l’esprit bloqué ailleurs.

Le temps passait et moi je jouais aux dames,
Pendant que mon frère réfléchissait aux mobylettes.

Rouler loin, rouler vite
Une qualité qui me faisait défaut ;
Car j’étais plutôt de celles qui font cuire le pain et qui se soucient du bien certains diraient en vain

Car j’étais une soeur et pas un homme ;
Mon frère était l’homme qui faisait mon soutien
Sans lui je n’étais rien

J’étais le jour d’une aube naissante,
Le jour d’un jour qui ne laisse personne tout seul.
J’étais la terre et les racines ;
Et mon frère un arbre qui ne fléchit !

Je réfléchissait au bien toujours,
Avide de faire bien de bien faire au point
D’anticiper la fuite du temps.

Quelque chose se tramait la vie n’était pas vaine ;
La lumière sur nous du matin au soir

Et les jours se succédant les uns après les autres
Nous colorant des cheveux blancs.


Nullité et figurines

Y’en a par dessus la tête
De ces musulmans,
Qui jouent aux savants, qui jouent les pieux
Quand ils n’ont même pas une écoute en direction de l’indigent.

Y’en a par dessus la tête,
De ces fonctionnaires, qui se foutent de leur devoir de Haqq,
Qui n’y voient que leur salaire
ahuris devant leur miroir-miroir.

Par dessus la tête de ces muslim-agent-système,
Bloqués en place,
Main sur la liasse,
Qui parlent d’Allah comme ils toussent et ils crachent ;

Ils cachent des rêves de mécréants.

Des gueules, des masques, des prétentions et des paroles au long cours ;
d’une course aux richesses, qui consume la salive et laisse coaguler ces coeurs en ruine.

Plus d’herbe dans les jardins des coeurs ; ni le ruisseau ;
Plus de foi qui unit les poitrines et fait jaillir l’Espoir Le Haqq ; ce Noor d’al 3alamine !

Plus la foi qui unit les poitrines
Qui dépasse les barrières des faciès à vides.
Non, plutôt des orbites qui snobent, prunelles qui fuient ou qui fouinent ; Aveugles au Noor qui illumine.

Par dessus la tête de tous ces faux pieux, ces faux croyants,
Qui au lieu de former les rangs prétendent guider les musulmans !

Par dessus la tête aussi des hypocrites, qui jouent aux doux ces loups ;
Alors qu’ils ne savent se repentir et qu’ils ne veulent pas se prémunir.

Par dessus la tête, à l’excès nous sommes, dépassés
En toutes mesures et tous égards manipulés, fragmentés !

Dépassés de tout, dépassés et fous, égarés,
Sans conscience du poids, de la pesée ;
Sans conscience aucune,

De l’Unité des poitrines ;

Sans conscience aucune,
De la Miséricorde Divine.

C’est Allah qui vous a créés et vous a nourris. Ensuite Il vous fera mourir, puis Il vous redonnera vie. Y en a-t-il parmi vos associés, qui fassent quoi que ce soit de tout cela? Gloire à Lui! Il transcende ce qu’on Lui associe.
La corruption est apparue sur la terre et dans la mer à cause de ce que les gens ont accompli de leurs propres mains; afin qu'[Allah] leur fasse goûter une partie de ce qu’ils ont oeuvré; peut-être reviendront-ils (vers Allah).*


Amphitryons

masqu

Mi profane, mi muslim,
Je me démène comme un clochard de l’âme, un infirme,

J’espère la paix je fais le crime,
De servir d’autres qu’Allah qui m’honore de dignité et d’estime.

J’espère dans les regards mortels et futiles un eldorado
En délaissant celui qui me donne à boire quand j’ai soif
J’espère gagner, le paradis au loto ;
M’assurant de plaire aux diables tout comme aux musulmans.

Et me plains auprès des occasionnels, spectateurs bien crétins, bien idiots
Jouant le rôle familier et bien sublime de la victime
Car le grand théâtre de ma vie prime.

Ce grand théâtre où mes affects et mes sourires sont des déguisements ;
Et où l’adoration de mes frères est un divan et leur tapis de salat, un paillasson.

Je cache un diable, j’habite un masque, derrière lequel
Aimer ou haïr revient au même ;
Car qui m’importe, et c’est troublant,
C’est jouir du kuffr mais aussi du musulman !


Fuyez donc vers Allah (Se connaître)

Comment se connaître ?
Qu’a t on de plus les uns que les autres ? Pourquoi faut-il si souvent qu’une rencontre soit d’avantage une collision qu’une valse ? Pourquoi faut-il toujours malgré la prétendue adoration du Seigneur qui donne le rizk, la vie et la mort, pourquoi faut-il toujours que la plupart des prétendus adorateurs penchent du côté de l’individuel, de l’égotique au lieu d’embrasser l’universel nous permettant d’aborder l’individuel de manière libératrice ?

Quand je vis pour Allah, mon être s’élargit ; j’ai le monde avec moi.
Quand je ne vis que pour moi-même tout en craignant pour moi, j’ai le monde entier contre ma mauvaise foi
De mon association je me comprime ; la vie entière me devient sévère
Car ils sont tous pour moi des ennemis sauf le Seigneur de l’univers,

Qui m’a créé, et c’est Lui qui me guide;
et c’est Lui qui me nourrit et me donne à boire;
et quand je suis malade, c’est Lui qui me guérit,
et qui me fera mourir, puis me redonnera la vie,
et c’est de Lui que je convoite le pardon de mes fautes le Jour de la Rétribution.*

Comment se connaître et s’aimer, comment (re)devenir conciliables, complémentaires, aimants, simples, universels-unifiés du Hayy ?

Quand on a besoin de Justice comme de l’air qu’on respire, et qu’on L’aime plus que nous-mêmes, car cette Justice nous Précède,
Cest pas difficile de comprendre le monde et sa célébration d’Allah Seul;
C’est pas difficile.
Mais quand on oublie l’Essentiel, perchés en haut de notre tour-égollusoire,
Il nous devient soudain impossible de voir et de vivre, car on suit plutôt Pharaon qui s’exclame :
– « Ô Haman, bâtis-moi une tour : peut-être atteindrai-je les voies, les voies des cieux ».*

Ne pense point que ceux-là qui exultent de ce qu’ils ont fait, et qui aiment qu’on les loue pour ce qu’ils n’ont pas fait, ne pense point donc, qu’ils trouvent une échappatoire au châtiment. Pour eux, il y aura un châtiment douloureux ! *

Mais non! Quand [l’âme] en arrive aux clavicules, et qu’on dit : « Qui est exorciseur? « 
et qu’il [l’agonisant] est convaincu que c’est la séparation (la mort), et que la jambe s’enlace à la jambe […]*

Puis, il s’en est allé vers sa famille, marchant avec orgueil.
« Malheur à toi, malheur! » Et encore malheur à toi, malheur !*

****

Ô hommes! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre-connaissiez. Le plus noble d’entre vous, auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand-Connaisseur.*

Si Allah attribuait Ses dons avec largesse à [tous] Ses serviteurs, ils commettraient des abus sur la terre; mais, Il fait descendre avec mesure ce qu’Il veut. Il connaît parfaitement Ses serviteurs et en est Clairvoyant. Et c’est Lui qui fait descendre la pluie après qu’on en a désespéré, et répand Sa miséricorde. Et c’est Lui le Maître, le Digne de louange.Parmi Ses Preuves est la création des cieux et de la terre et des êtres vivants qu’Il y a disséminés. Il a en outre le pouvoir de les réunir quand Il voudra.Tout malheur qui vous atteint est dû à ce que vos mains ont acquis. Et Il pardonne beaucoup.Vous ne pouvez pas échapper à la puissance d’Allah sur la terre; et vous n’avez en dehors d’Allah, ni maître ni défenseur.Et parmi Ses preuves, sont les vaisseaux à travers la mer, semblables à des montagnes. S’Il veut, Il calme le vent, et les voilà qui restent immobiles à sa surface. Ce sont certainement là des preuves pour tout [homme] endurant et reconnaissant. Ou bien, Il les détruit en punition de ce qu’ils ont acquis [comme péchés]. Cependant, Il pardonne beaucoup. Ceux qui disputent à propos de Nos preuves savent bien qu’ils n’ont pas d’échappatoire. Tout ce qui vous a été donné [comme bien] n’est que jouissance de la vie présente; mais ce qui est auprès d’Allah est meilleur et plus durable pour ceux qui ont cru et qui placent leur confiance en leur Seigneur. *


un peu pommé

Un peu perdu, un peu pommé Je choisirai d’aimer Alain Soral
Un peu perdu, un peu pommé, je choisirai de nouveau Tariq Ramadan, non, Dieudonné, non, Nabe, non, euh, je ne sais plus ; ah si, euh non

Un peu pommé, déboussolé, j’irais aimer,

Un nouveau style, un nouveau visage, une autre manière de parler, pour rêver.

Un peu perdu, un peu pommé, j’irais chercher là où nul de ceux que je connais ne se sont tournés, euh, là où la plupart se tournent, euh, là où… en fait je sais plus, je sais pas, je me perds,

Car je ne suis pas assez sincère
Je me perds parce que je suis déchiré entre une multitude de maîtres à penser
Entre une multitude de chimères, je ne peux pas aimer fi Llah
Quand mon coeur abusé, exagère à trop aimer cet éphémère

27.4.Quant à ceux qui ne croient pas en l’au-delà, Nous embellissons [à leurs yeux] leurs actions, et alors ils deviennent confus et hésitants.


Associateur parmi les Prétendants

J’avais par terreur démesurée repoussé ce frère d’apparence étrange qui ne me valorisait pas,
Sans m’informer du fait qu’il ait ou non ressenti l’orientation de mes pas

Ce frère étranger à mes couvées-idoles adorait pourtant le même Dieu que moi ;

Et moi, attaché à mes reliques étrangement divertissantes de celui qui nous avait tournés vers la Qibla.

53.19. Que vous en semble [des divinités] Lat et Uzza,
30.35. Avons-Nous fait descendre sur eux une autorité (un Livre) telle qu’elle parle de ce qu’ils Lui associaient?
30. 31. Revenez repentants vers Lui; craignez-Le, accomplissez la Salat et ne soyez pas parmi les associateurs,
32. parmi ceux qui ont divisé leur religion et sont devenus des sectes, chaque parti exultant de ce qu’il détenait.