Trop pieux au regard d’Ibliss
La vérité se lit aussi dans ce que dégagent les yeux ;
Et mon frère vivait son Dieu des profondeurs de sa poitrine
Quand certains en leurs perfidies n’aspirent,
Qu’à tenter de confondre les pieux.
La vérité, dans ton regard chaste, ton regard aimant,
Reconnaissant les grâces d’Allah qui Illuminent,
Guide tes pas éclaire tes gestes et redessine,
Nos visages souriants, de simple bonheur d’être unis en Son Nom éclairant.
Son Nom béni qui irradie ;
Son Nom béni qui Illumine.
Je te disais tu te souviens,
Que tout le monde ne peut comprendre celui,
Qui aujourd’hui même,
Est mort, d’amour pour Allah.
Comme un trop rebelle, le Souvenir du Créateur apparaît insupportable à qui n’a d’idéal,
Que l’association, des passionnées turpitudes.
Pendant que certain hypocrite convoitant l’ombre du groupe des musulmans,
S’accroche à la cheville raffermie de ton engagement,
D’autre candidat à te nuire n’avait chance d’étouffer ta lumière,
Qu’en éteignant de ton adoration en te portant
Ce regard intéressé-véniel t’invitant à contempler la haine
Du diable à l’égard d’Adam.
Tu te trompais par moments mon frère,
Mais ton amour pour Allah te menait à le remarquer promptement
Au point de te repentir-te parfaire ;
Au point que certains diables parmi les djinns, t’avaient nommé « le prince un peu trop pieux ».
« Un peu » dans leurs fureurs de haine à l’égard de la piété des pieux,
Nuançait pour semblant le propos afin de le teinter de réalité par son apparence de précision du discours.
Il n’était donné à tout le monde, d’entrer véritablement en Islam.
Il n’était pas donné à tous de savourer les joies de l’oubli de soi vouant l’honneur à la Miséricorde infinie du Souverain,
Dont les grâces suffisent au point
Que le démon coriace, voulait t’accabler en t’invitant à voir par sa voie comme à boire, dans ses pas sourds,
L’avidité voulant te mener au doute.
Le pervers
Tout ce que disait le pervers, c’était pour feindre la foi alors qu’il était jaloux, d’une avidité qui n’avait de soulagement que la destruction du bien perçu.
Le pervers excellait dans l’approche des choses saines pour mieux les profaner par surprise.
Quand des filles musulmanes ou d’origine maghrébine péchaient par ignorance flagrante, il leur reprochait de montrer leurs charmes car il aurait voulu les avoir près de sa graisse et sa nudité porcine. J’ignore ce qui le retenait en Islam. Sans doute sa quête de profanation de gens aspirant à la pureté. Pour un pervers, profaner la pureté c’est jouir de la qualité de détruire ; car il n’y a rien à profaner dans la banalité qui n’aspire pas à Allah.
Quand untel divorçait de son épouse, il s’en réjouissait.
Quand il n’était pas le centre de la vie des gens, il jouait la victime jusqu’ à intéresser leurs coeurs généreux.
Tout ce qu’il faisait avait une tonalité scénique et calculée ; si bien calculée que tant ne savaient le voir.
Le pervers ne vivait que de jeu comme son compère Satan ; qui se dérobe ; et tombait soudain le masque.
Il suffisait d’un revers pour que notre ami supposé musulman se démontre mécréant.
J’ignorais malgré mon analyse, ce qui le retenait en Islam. C’était d’un diabolisme inouï que de voir comment son altesse Satan adoptait le manteau de l’Islam quitte à le voler, pour mieux toucher les généreux et mieux se jouer de leur crédulité tout en jouant à la noblesse qu’il savait pourtant de l’Islam.
Je méditais à cette figure qui avait choisi chaque jour le regard et les pas, de même que le discours du diable. Un discours se prétendant de l’Islam pour attirer à son altesse le diable qu’il servait.
Et quel diable qui l’habitait, et le menait à se jouer des gens en jouant de sa vie dans cette grande oeuvre diabolique. Leur montrant un visage de croyant, alors qu’il jouissait de détruire et d’avilir; de souiller indéfiniment.
Quand je pensais au pervers et à la manière dont le démon pilotait sa vie, je ne pouvais qu’implorer Allah en récitant les versets si simples, qui n’illuminent que les croyants vrais.
1.6. Guide-nous dans le droit chemin,
7. le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés
Entre peine et Eternel
Il faut que tu prennes soin de toi…
Le temps passe trop vite en ces temps de fin des temps
Et ton temps, c’est ton sang qui coule ;
Voilà pourquoi la modernité l’écoule en t’aliénant.
Prends le temps de te reposer-te retrouver te calmer te peser
car nul ne le fera pour toi
Il faut que tu prennes soin de toi ;
La vérité t’y aidera car c’est elle qui touche la plaie, et la cicatrise.
Si tu n’es pas intéressé par la vérité et que tu préfères ruminer,
Si tu préfères rêver de faux au lieu d’Adorer de Vrai
Alors ton avenir se réduira à cette poitrine avide, qui te comprime.
Si tu savais tous les gens, qui oublieux de Lui sont en prison et se compriment sous les flammes d’un je ardent
Si tu savais combien la tombe est saisissante en persuasion, qui pourtant te comprime et te pousse au néant.
Si tu savais la Miséricorde d’Allah qui te propose Ses jours Éternellement vivants
Si tu savais tes torts d’avantage que tu ne te dores,
Tu saurais Qui est Allah ;
Et tu saurais que tes maux dont tu te plains, sont eux-mêmes
Dont tu t’indiffère,
En te détournant, de ton Éternel.
Prends soin de toi, regarde toi et rappelle toi.
Nul n’est digne de t’inviter si ce n’est à Allah ;
Car Allah connait ceux qui disent la vérité et ceux qui mentent…
Entre Tombe et Éternel, dirige tes pas ;
ne t’adore pas en pensant qu’Il ne t’entend pas.
ton malade
Le diable ne se combat pas seulement à coups de « diable est là-sors de là » ;
mais le diable s’affaiblit par la lumière que tu instilles rigoureusement là où il tente de faire perdurer, la désolation qui sera le lieu de son habitation.
Ton malade, est comme un jardin
Un jardin composé d’arbres qui voudrait qu’on cueille ses fruits et ses graines pour enrichir par lui plus loin
car les jardins, sont issus les uns des autres.
Ton malade est comme un verger, qui ignore tout de ses arbres fruitiers !
cueille donc un fruit ; ouvre le et tends à ce noble jardin une graine venant de lui.
Reflète lui de son bien, car la conscience d’être ce qu’il est lui manque ; il l’attend de toi c’est pourquoi il s’adresse à toi. Il n’attend pas toujours tes ordres, mais il attend de toi un simple égard amical lui rappelant qu’on ne l’a pas oublié et qu’il sera aimé ; qu’il est aimable parce que tout malade oublie, combien il est aimé.
Ton malade, espère d’Allah la pluie. Sans doute viendra de toi vers lui, un peu de rosée car la pluie, vient de la somme des individus qu’en Lui on apprend à écouter -aimer.
Ton malade, est ton propre reflet.
Réfléchissons à cet effet ; qu’as tu fait pour te révéler à la réalité ? N’as tu pas d’abord écouté-ouvert ton cœur à Sa Réalité ?
N’as tu pas essayé de regarder par la piété, voire ce qu’il se trame en transversal là où le profane n’a su contempler une âme ?
Est-ce ainsi que tu entends pleurer ?
Es-tu donc dépourvu de piété-de pitié ? De Compassion, d’entente de ton propre cœur dédoublé qui reproduit ton schéma tes soubresauts ; tes angoisses tes peines tout en oubliant celui qui fait que toi, tu ne L’oublie pas à ce moment là pour rappeler ton frère, qui te rappellera.
Est-ce ainsi que tu entends gémir, et que tu trouves comment t’aider à aider par celui qui Sait ? Celui, qui Illumine quand on devient son ordre et qu’on avance sur Son chemin droit.
Ne vois tu pas la force et la vie l’Ecoute qu’Il t’a donné ?
Ne vois tu pas ce jardin, qui attend que tu lui reflètes de ses merveilles car les croyants ne sont que des frères et que le rappel leur profite au bien ;
Car les croyants se reflètent ; et que l’entre-connaissance décrète
En eux la piété qui jaillit en puissants rayons influents
Qui comme des bolides ardents soudent une allégeance de noor en poursuivant
La désolation qu’est l’oubli.
Ma petite maison dans le shirk
Il y avait des gens qui s’amusaient, divertis de toute choses que je ne connaissais pas et qu’Allah ne m’avait apprises.
J’étais une porte ouverte sur une maison, une maison dans laquelle le temps n’était pas d’ici. Intériorité d’un autre temps, ma vie n’était pas d’ici.
Quand on avait vécu là, on se nourrissait du Nom d’Allah. On respirait Son Nom, on Souriait en Son Nom et on aimait ces gens étrangers pour Lui qui nous avait donné la vie.
Il était difficile de ne pas les aimer, car l’on sentait que sans Sa miséricorde nous n’étions pas vivants mais avilis.
Je les voyais et les savais vivants sans qu’ils ne m’aient vus, divertis par leurs semblants de vie.
Je vivais de gratitude ; ils vivaient de gratuité. Et si bien j’entendais leurs coeurs assoupis dans ces semblants de vie joués,
Que l’effroi me saisissait soudain, m’éveillant seul au sein d’un monde sombre et froid où les miens étaient morts, et où les rescapés, profanateurs condamnés, jouissant de frivoles artifices m’appelaient en leurs démons coriaces, à délaisser mon Amour de l’Un.
18. 6. Tu vas peut-être te consumer de chagrin parce qu’ils se détournent de toi et ne croient pas en ce discours!
7. Nous avons placé ce qu’il y a sur la terre pour l’embellir, afin d’éprouver (les hommes et afin de savoir) qui d’entre eux sont les meilleurs dans leurs actions.
8. Puis, Nous allons sûrement transformer sa surface en sol aride.
9. Penses-tu que les gens de la Caverne et d’ar-Raquim ont constitué une chose extraordinaire d’entre Nos prodiges?
10. Quand les jeunes se furent réfugiés dans la caverne, ils dirent : « Ô notre Seigneur, donne nous de Ta part une miséricorde; et assure nous la droiture dans tout ce qui nous concerne ».
11. Alors, Nous avons assourdi leurs oreilles, dans la caverne pendant de nombreuses années.
12. Ensuite, Nous les avons ressuscités, afin de savoir lequel des deux groupes saurait le mieux calculer la durée exacte de leur séjour.
13. Nous allons te raconter leur récit en toute vérité. Ce sont des jeunes gens qui croyaient en leur Seigneur; et Nous leurs avons accordé les plus grands moyens de se diriger [dans la bonne voie].
14. Nous avons fortifié leurs coeurs lorsqu’ils s’étaient levés pour dire : « Notre Seigneur est le Seigneur des cieux et de la terre : jamais nous n’invoquerons de divinité en dehors de Lui, sans quoi, nous transgresserions dans nos paroles.
66.11. et Allah a cité en parabole pour ceux qui croient, la femme de Pharaon, quand elle dit « Seigneur, construis-moi auprès de Toi une maison dans le Paradis, et sauve-moi de Pharaon et de son oeuvre; et sauve-moi des gens injustes ».
12. De même, Marie, la fille d’Imran qui avait préservé sa virginité; Nous y insufflâmes alors de Notre Esprit. Elle avait déclaré véridiques les paroles de son Seigneur ainsi que Ses Livres : elle fut parmi les dévoués.
18.27. Et récite ce qui t’a été révélé du Livre de ton Seigneur. Nul ne peut changer Ses paroles. Et tu ne trouveras, en dehors de Lui, aucun refuge.
28. Fais preuve de patience [en restant] avec ceux qui invoquent leur Seigneur matin et soir, désirant Sa Face. Et que tes yeux ne se détachent point d’eux, en cherchant (le faux) brillant de la vie sur terre. Et n’obéis pas à celui dont Nous avons rendu le coeur inattentif à Notre Rappel, qui poursuit sa passion et dont le comportement est outrancier.
29. Et dis : « La vérité émane de votre Seigneur ». Quiconque le veut, qu’il croit, et quiconque le veut qu’il mécroie ». Nous avons préparé pour les injustes un Feu dont les flammes les cernent. Et s’ils implorent à boire on les abreuvera d’une eau comme du métal fondu brûlant les visages. Quelle mauvaise boisson et quelle détestable demeure!
1.6. Guide-nous dans le droit chemin,
7. le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés.
Imagine
Imagine,
D’étoiles est faite ma maison
Chaque mur Respire Sa raison
Chaque angle soupire Sa Soumission,
Et chaque porte la voie de l’Horizon,
Nouveau joyau ;
Joyeux instant d’adoration
Imagine, ma voix d’enfant
Heureuse et pure en soumission
Ma voix d’antan comme à présent
Joyeuse en Lui, d’Adoration
Imagine, Être animé d’une Impulsion
Être amoureux d’adoration
Être enivré de Son Seul Nom ;
Qui m’a donné des frères ;
Ou ma Raison.
Imagine, Cette Envie de conquérir
Large comme un ciel qui t’illumine.
Cette conquête menée pour L’un,
T’ouvrant les coeurs en lendemains.
Miroirs soudains de Biens lointains.
Imagine ;
Imagine le ciel t’ouvrant son ciel ;
Portant être vers l’Eternel ;
Te gratifiant de joie toute honorée,
de porter tes pas sans te laisser tomber
55.29. Ceux qui sont dans les cieux et la terre L’implorent. Chaque jour, Il accomplit une oeuvre nouvelle.
Comment je t’aime
Explosion de fureur à l’encontre, du perfide ennemi
Je t’aimerai à la Lumière de L’Un, qui m’a donné la vie.
A beaucoup aimer les gens on finit par faire mourir son amour
Mais à beaucoup aimer leur Créateur on s’aimera en Lui
Si un jour il te semble que tes aimés te manquent, n’oublie pas qu’Allah est plus vrai que les épreuves qui t’ont découragé ;
Que les illusions qui t’ont oppressé ; qui ont comprimé ton être pour lui faire croire qu’elles l’écrasaient.
Sans Lui je ne connaîtrais pas ton souffle,
Mais Allah répond à nos vies qui se répondent ;
Présences de Merveille ; que l’on retrouve authentifiées de Lui
Si je te vois, que je t’aime, que j’aspire à courir avec toi,
Si j’entends tes larmes et que je ressens de silence immaculé ta voix;
Si ma main est ta main que mon coeur est le tien ;
Comprends c’est par Lui ; et si tu te retrouves en moi, c’est en Lui qui m’a donné le miroir de ta vie.
Et si je me retrouve en toi, c’est en Lui
Et si je t’aime, c’est parce qu’Il m’a béni
Je t’aime même si ma dépouille te renvoie à ta mort ;
je t’aime à me sauver de nous en celui, qui nous donne la vraie vie.
Sache que si l’on s’est compris un jour c’est en Lui ;
Que les affres de la mort n’ont de sévérité que Sa crainte ;
Quand Son ordre s’exécute
Et que l’amour en Lui n’est pas comme le vice et la perfidie ;
Que la Lumière des cieux et de la terre c’est Lui ;
Et que si beaucoup ont oublié d’aimer ;
C’est bien Lui qui m’a donné la vie.
La Douleur ou l’Envie 2
Mes parents m’avaient laissé maints souvenirs et maintes preuves d’amour;
Leurs photos étaient là, auprès de moi pourtant
Nulle présence ne pouvait remplacer à mon cœur le Dieu de mon ancêtre Adam.
Le Dieu de mon ancêtre Abraham ; le Dieu des tribus ; le Dieu des cités disparues.
Quand j’étais seul, j’épiais mon âme en sa solitude pécheresse, vouée à ses torts écrasants, m’écroulant, sur un sol m’exposant dans la désolation mes torts.
Mon âme perdue, déchue, tombée bas parce qu’elle était descendue de là où Adam honoré, s’est un jour détourné. Je ne savais pas, sinon que par Sa Volonté-Son programme je m’en vais ; car Il m’appelle à Lui ; mon corps bien que sauvage, ne m’a jamais menti ; car mon cœur est à Lui.
Je n’étais pas d’ici ; et plus que tout les vibrations communiquaient à mon être une caresse, cette promesse inouïe que je Lui rendais en posant mon front; en déposant mon arme.
Je n’étais pas d’ici même si mon âme oubliait que mon cœur-ma montre comptait le temps qu’il restait par ici.
Mais quand la douleur déchirait mon âtre; où j’assistais à l’injustice de mes doubles ayant oublié Dieu,
Quand je voyais le malheur s’abattre sur les êtres délaissés, égarés, rongés par l’oubli ;
Quand je voyais la vie mourir, se ternir d’égolâtrie.
Je savais que souffrir n’était pas un mal mais un éveil pour mon âme accablée, du manteau oppressant de l’égoïsme ; et je voulais qu’elle sache l’entendre et aller plus loin que l’apparence du sang ou du cri.
Et je savais que la profondeur du signal divin, portait le Sens et la Gloire de Sa miséricorde.
Mes parents je les avais connus, mais ils n’entendaient pas ma vie ; ils n’entendaient pas mes cris ; ni mes prières lorsque la nuit, je ne m’endormais qu’avec Son Nom Béni.
Je n’étais pas d’ici ; quand bien même les démons tentateurs voulaient m’affoler en ma chair agitée, pour que j’oublie Celui qui m’appelle, qui m’a donné la vie ; Lui, celui que j’adore.
Je n’étais pas d’ici, ni mes frères ; ni mon regard se souvenant de Lui. Je n’étais pas d’ici ; ni mon coeur appelant inlassablement à Lui.
Ma peau souriait au ciel qui me servait de toit et mes pas souriaient au sol qui m’avait porté et accueilli mon repos ;
Mais mon être était tout destiné, à celui qui m’avait donné, de quoi aimer, et de quoi pleurer ;
Ou de quoi chérir à L’en rechercher Le retrouver, dans la douceur infinie de quelques oiseaux déployant leurs ailes ; comme dans l’extrême éveil provoqué par de timides gouttes de pluie.
Quand mon regard caressant, porté vers Lui, s’éteignait au gré d’une arrivante nuit ;
Où les étoiles rayonnent, d’un orchestre, de louanges infinies.
Voyage au long du temps
Te rappelles-tu lorsque ton nafs tempêtait à aveugler tes yeux aux bienfaits ?
Lorsque la pluie du ciel de tes yeux, jaillissait ?
Puis vint le temps promis, l’épreuve de la sécheresse.
La douleur était telle, que tes yeux ne pleuraient plus ; simplement, ils regardent et nul hormis Lui ne sait ce qu’ils voient.
Te rappelles-tu, lorsque d’on ne sait quelle contrée la douleur, sous la forme d’un sentiment diffus, d’un souvenir soudain, saisissait la main de ton être, et qu’alors, entraîné-aveuglé, tu étais emporté.
Te rappelles- tu, lorsque la nuit de ton temps venait ? Tu sombrais alors dans un profond sommeil, un oubli du corps qui avait porté ta guerre.
Te rappelles-tu, lorsque l’angoisse t’avait sermonné ? Au point que tu en eus oublié, que ton être l’avait parcourue pour en revenir grandi.
Te rappelles-tu ?
Quand tes prunelles revêtaient leur cape, et que tu t’en retrouvais porté, au pays du doux repos ?
Te rappelles-tu ?
Quand ton voilier de Rûh était happé, chaviré-immergé par la tempête ?
Te rappelles-tu ?
De la lave, du volcan coagulant son sang-magma en basalte ?
Te souviens tu de ton feu, de ton vent, de ta pluie de ta grêle de ta glace ;
Te souviens-tu de tes roses de tes épines de tes joyaux.
Te souviens tu de tes rivières et de tes ruisseaux chantant Son Nom ?
Te souviens tu de ta source d’eau vive, où te sourit Maman.
Te souviens tu de ce moment, où ton frère te parle, où tu l’entends,
Plongé dans tes pensées allant vers tes silences de la vaste Immensité.
Te souviens tu, des visages lumineux, des paysages ?
Éclairés de Sa Lumière ;
Vivants de Son amour Son Nom.
2.74. Puis, et en dépit de tout cela , vos coeurs se sont endurcis; ils sont devenus comme des pierres ou même plus durs encore; car il y a des pierres d’où jaillissent les ruisseaux, d’autres se fendent pour qu’en surgisse l’eau, d’autres s’affaissent par crainte d’Allah. Et Allah n’est certainement jamais inattentif à ce que vous faites.
2.22. C’est Lui qui vous a fait la terre pour lit, et le ciel pour toit; qui précipite la pluie du ciel et par elle fait surgir toutes sortes de fruits pour vous nourrir, ne Lui cherchez donc pas des égaux, alors que vous savez (tout cela).
67.12. Ceux qui redoutent leur Seigneur bien qu’ils ne L’aient jamais vu auront un pardon et une grande récompense.
13. Que vous cachiez votre parole ou la divulguiez Il connaît bien le contenu des poitrines.
14. Ne connaît-Il pas ce qu’Il a créé alors que c’est Lui Compatissant, le Parfaitement Connaisseur.
15. C’est Lui qui vous a soumis la terre : parcourez donc ses grandes étendues. Mangez de ce qu’Il vous fournit. Vers Lui est la Résurrection.
16. êtes-vous à l’abri que Celui qui est au ciel enfouisse en la terre? Et voici qu’elle tremble!
17. Ou êtes-vous à l’abri que Celui qui au ciel envoie contre vous un ouragan de pierres? Vous saurez ainsi quel fut Mon avertissement.
18. En effet, ceux d’avant eux avaient crié au mensonge. Quelle fut alors Ma réprobation!
19. N’ont-ils pas vu les oiseaux au-dessus d’eux, déployant et repliant leurs ailes tour à tour? Seul le Tout Miséricordieux les soutient. Car Il est sur toute chose, Clairvoyant.
20. Quel est celui qui constituerait pour vous une armée [capable] de vous secourir, en dehors du Tout Miséricordieux? En vérité les mécréants sont dans l’illusion complète.
21. Ou quel est celui qui vous donnera votre subsistance s’Il s’arrête de fournir Son attribution? Mais ils persistent dans leur insolence et dans leur répulsion.
22. Qui est donc mieux guidé? Celui qui marche face contre terre ou celui qui marche redressé sur un chemin droit.
23. Dis : « C’est Lui qui vous a créés et vous a donné l’ouïe, les yeux et les coeurs ». Mais vous êtes rarement reconnaissants!
24. Dis : « C’est Lui qui vous a répandus sur la terre, et c’est vers Lui que vous serez rassemblés ».
je m’en vais, je m’en vais, je m’en vais
De toi, il ne me restera rien, sinon tes adorations, tes réponses à Son Nom.
Tes réponses à Ses dons ;
Tes retours, à Son Amour.
Tu sais,
On ne vit pas très longtemps.
Cette mort dont je te parle, elle parcourt mes veines ; elle est inscrite en moi.
Tu sais, je ne suis pas d’ici ;
J’avais cherché qui je suis sans ne trouver guère que cette attraction vers celui qui m’a fait descendre ici.
Je levais le regard au ciel, que l’éprouvé en ses yeux, sillonne à même le pays vibrant, entier ; exhaustif de son coeur.
Je ne pouvais rien te dire d’autre que le fait, que je m’en vais.
Je m’en vais je m’en vais ; je m’en vais ;
Je ne suis pas d’ici.
Tu sais, ce n’est pas moi qui pars ;
Mais Lui qui m’appelle ; m’aspire me Ranime ; me chérit me donne ce que j’ai-que je suis.
je m’en vais je m’en vais je m’en vais.
Du matin au soir avec Lui je m’en vais
Dans Sa Lumière en Son Nom en Son Règne en Sa Règle ,
Avec Lui je me lève je m’éteins je m’endors je marche
Par Lui,
Sache, que nous ne sommes pas d’ici.
D’une Source Essentielle
J’ai lutté pour retenir mes larmes, mais je n’ai pu les que les essuyer, et elles coulaient comme un fleuve qu’on ne pouvait plus contenir.
J’ai lutté mais j’étais conquise de Sa Lumière au point que l’Océan de Sa Miséricorde faisait de moi une source ; un jaillissement ; un Avenir.
Si bien j’avais cherché qu’il m’apparaissait avec force que je n’étais pas ces apparences. Je voyais mes frères qui étaient Lumière et me heurtais à leurs torts qui n’étaient que mes torts à repentir suffisamment tôt ; à convertir en reconnaissance de Sa miséricorde.
Et la patience, me manquait sans doute ; ce monde profane il est vrai, l’avait enrayée de nos esprits où l’on ne faisait que courir ; commandés-trahis que nous étions, par des convenances qui n’étaient aucunement les nôtres.
Et ça et là, quelques visages de lumière l’on trouvait encore, débordant d’amour, de lutte incessante intérieure ; cette miséricorde pour les leurs.
Des visages illuminés de Sa miséricorde; qui ne parlaient que pour rappeler Son Ordre et Son commandement.
De ces gens je n’avais trouvé aucune autre et plus vaillante lumière.
C’étaient mes frères qui se reconnaissent et se reconnaîtront car c’est en Lui que l’on s’aime et en Lui que nous vaincrons.
Et cette lumière en ma poitrine qui ne me quittait pas ; et cette lumière en ces visages baignés de Sa miséricorde Sa douceur ; Sa bienveillance ; Lui ; qui nous a issus les uns des autres.
Les mots me manquaient pour dire cela qui se vivait entre frères…
Il n’y avait aucune manière de le dire ; il ne restait dans l’absolu que l’oeuvre et le regroupement.
2.74. Puis, et en dépit de tout cela , vos coeurs se sont endurcis; ils sont devenus comme des pierres ou même plus durs encore; car il y a des pierres d’où jaillissent les ruisseaux, d’autres se fendent pour qu’en surgisse l’eau, d’autres s’affaissent par crainte d’Allah. Et Allah n’est certainement jamais inattentif à ce que vous faites.
75. – Eh bien, espérez-vous [Musulmans], que des pareils gens (les Juifs) vous partageront la foi ? alors qu’un groupe d’entre eux, après avoir entendu et compris la parole d’Allah, la falsifièrent sciemment .
Ibliss au pays des merveilles
Comment on peut faire pour être aimés en notre être et pas dans le faux ?
Comment on peut faire, pour éviter d’être consumés comme le sont les fagots ?
Comment, je me demande.
Comment on peut faire, pour qu’une soeur ou un frère t’aiment en Dieu
Et pas pour des idoles des faux, des je.
Je, je je dis et sitôt le Silence sévit
Je je suis un mort on l’oublie ;
Tu auras beau oublier, te détourner courir,
Viendra le moment où tu devras mourir.
Si tu veux vivre Utile, vivre Bien vivre Respirer,
Expirer au-delà
Interroge toi par amour, sur Qui aimer durant ton court séjour au pays des merveilles.
Le visage des frères
Je ne t’ai aimé, que pour te rappeler Dieu ;
Car si je t’aime, j’aime avant tout Celui qui ma donné des yeux
Je ne t’ai aimé, ni pour te voir, ni pour t’adorer, mais pour trouver par Sa création,
L’Unique à m’avoir donné, créé ; et Secondé.
Je ne t’ai donné, Ô si tu savais, que parce qu’Il m’a donné.
Parce qu’Il m’a aimé, en Lui je t’ai aimé.
Je L’invoque, pour toi, pour moi,
Car je L’aime qui nous donne et nous voit ; et suspend par ce coeur qui pour Lui, impassible bat, toute perversion, tout oubli, tout égocentisme, avili.
Je ne t’ai aimé crois moi, que pour m’alléger de moi
Quand je t’aime pour Allah je m’élève ; quand je prie pour toi quand je t’aime pour Lui, qui d’amour me donne et me sauve de soi,
Quand j’adore celui qui a commandé, et programmé cette merveilleuse voie ;
Quand je vis de Lumière et de Foi ;
et que nul pervers ne t’approche, ou t’atteint en ce Réservé Chemin ;
Où les frères en rangs serrés se tiennent et combattent avec leurs armes leurs personnes et leurs biens ;
Quand l’Invisible te transporte et te choie
En baignant dans la lumière
ton coeur retrouvant le visages des frères
Ces jours où il pleut de tristesse
Il y a des jours comme ça, où le moral est bas ;
Où le ciel est gris ;
Où tes frères n’apparaissent pas.
Des jours, où tu marches un jour durant
Sans trouver ton frère et sans embrasser ta maman.
Des jours, où ton âme recherche, des jours où ta reconnaissance se retourne en cherchant dans la masse des étrangers
Surplombés, d’une architecture romaine où le musulman se sent armurier
Le paysage architectural te dessine une tombe subtile aux formes sublimes d’une idole.
L’obélisque scinde le ciel en deux ; les corniches et les coupoles redessinent l’espace donné par Dieu
Jusqu’à ce que l’œil se détourne du ciel si doux ; du ciel si bleu ; si profond si pur si grand.
Il y a des jours comme ça , où la beauté du paysage te renvoie.
Où la froideur de la pierre sans âge, cette vielle figure du continent, te rappelle que tu n’es pas de là.
Que tu n’es pas d’ici ; non pas du pays mais de ce temps
Ce temps qui enterre tant de gens ;
Qui trompe et qui séduit
Et laisse tous vestiges témoignant de Lui…
Jaune impérial
Le pays jaune a volé le pays bleu et a tout amené à sa maison. Sa maison était alors si pleine d’abondance que pays jaune ne savait plus que faire de ce qu’il avait volé ; à en inventer des luxures nouvelles ; à en oublier de prier Le Donateur et encore à en oublier de s’acquitter.
Pays jaune avait volé à Dieu, au sacré, cette part des autres jusqu’à violer sa propre moralité. Il s’en trouvait aujourd’hui malade, égaré, boursoufflé, déséquilibré et dans l’impasse, intoxiqué de ses excès ; si bien que tout ce qu’il produisait et normalisait était maudit ; de mauvaise trame ; de perversité.
Sa diversité était d’excès et de démesure ; sa liberté, était d’aliénation touchant le fond des limites charnelles et du sang qui donnait au supplice.
Nous étions là à parler de palettes et de couleurs, de lumière et de moralité, d’artisanat et d’adoration.
J’aimais Dieu plus que l’idée de moi-même ; car la mort qu’Il me préparait m’était bien plus claire que toute idée que j’eus pu me faire concernant ma figurine.
Adoration
Il y a quelque chose, qui mérite que je sois heureux
Il y a quelque chose qui mérite que tu sois heureux
Il y a quelque chose qui mérite qu’ils soient heureux
quelque chose qui mérite,
quelque chose qui mérite que je sois
Il y a quelque chose
Du fait qu’en une heure, la Terre effectue une rotation sidérale de quinze degrés
De l’utilisation d’un cadran d’horloge ou de montre en donnant le nombre des heures comme nom à la direction rotative
Il y a quelque Chose qui mérite
d’avoir créé l’adoration
la doration
par la lumière
à chaque chaque millidegrés parcouru par l’horloge de terre
Quelque chose qui mérite,
la rotation, les axes, la lumière,
Quelque Chose qui mérite,
le simple contentement.
Quelque Chose qui mérite,
à doration.
Cité morte
Je me souviens ce temps,
Où la mydriase de mes yeux distillait une angoisse à foudroyer les illusionnés.
Ce temps, où je transportais avec moi, en mon regard qui la voyait, une obscure cité, de démons agiles,
Jouissant de mon sang, le faisant bouillonner jusqu’à faire ployer mon corps de mille épuisantes palpitations.
La main portée alors à mon cou ne suffisait plus à apaiser mon coeur, quand bien même j’aurais pris la lame pour me trancher l’artère.
Mon coeur était la proie à toute une cité morte
Une cité de fous, imaginaire, où le nom d’Allah était mis à la porte.
Combien de temps ai-je supporté cette culture du néant,
Et combien de temps pouvais-je tenir ainsi avec d’aliénés mutants.
Ces gens étaient gais en fonction des circonstances ;
Ou démoniaques en fonction, de la moindre instabilité passagère.
L’environnement était pour eux le seul gain de cause. Leur employeur était d’abord leur dieu, puis ensuite l’argent qui était dans leur poche.
Étrange que la compagnie de cette cité morte. Cette cité d’un noir pâle, qui contait ses démons et ses menaces, à travers son organisation-ses façades se dressant comme la prison des sages.
En administration comme en logistique elle n’était la meilleure, que pour convaincre les gens d’un confort se chargeant de les achever à travers une palette d’incessantes suggestions entre autres parasites et fausses informations telle une aventure charmeuse on ne peut plus captivante d’intemporalité tout en étant frustrement éphémère à l’heure de s’en réveiller.
Je me souviens de ces vampires-serpents, distillant par mes voies sensorielles leur venin laïc en échange de mon sang de croyant.
Toutes leurs prétentions et grandes pompes séculières officiaient en moi telles des morsures que je ne pouvais qu’accueillir à mon tour en me flagellant.
Je me souviens de ces démons coriaces, montrant du doigt mon personnage adorateur, quand mon regard frontal lisait l’obscurité d’une telle cité morte dont la pénombre me mordait au cou.
Je me souviens ; et je n’oublie pas.
35.1. Louange à Allah, Créateur des cieux et de la terre, qui a fait des Anges des messagers dotés de deux, trois, ou quatre ailes. Il ajoute à la création ce qu’Il veut, car Allah est Omnipotent.
2. Ce qu’Allah accorde en miséricorde aux gens, il n’est personne à pouvoir le retenir. Et ce qu’Il retient, il n’est personne à le relâcher après Lui. Et c’est Lui le Puissant, le Sage.
3. Ô hommes! Rappelez-vous le bienfait d’Allah sur vous : existe-t-il en dehors d’Allah, un créateur qui du ciel et de la terre vous attribue votre subsistance? Point de divinité à part Lui! Comment pouvez-vous vous détourner [de cette vérité]?
4. Et s’ils te traitent de menteur, certes on a traité de menteurs des Messagers avant toi. Vers Allah cependant, tout est ramené.
5. Ô hommes! La promesse d’Allah est vérité. Ne laissez pas la vie présente vous tromper, et que le grand trompeur (Satan) ne vous trompe pas à propos d’Allah.
6. Le Diable est pour vous un ennemi. Prenez-le donc pour un ennemi. Il ne fait qu’appeler ses partisans pour qu’ils soient des gens de la Fournaise.
L’art moderne : L’aune du désespoir
Les arts visuels n’ont absolument rien d’universel… Les arts visuels font plaisir, ils sont des extasiants, mais ils n’ont aucune vertu du simple fait que, non identifiés, ils sont un support, encore une fois, à extase, à noyade de l’entendement, à arrêt sur image, à perte ou à pause, bref, à oubli de soi et encore à oubli des autres et du vivant qui en soi se totalise dans l’émotion visuelle ou auditive sitôt désenchantée pour ne pas prêter allégeance à Dieu.
Alors, que faut-il dire des arts que cet Occident-en-boite nous sert pour fêter l’athéisme, le sécularisme ? Ce triste, pâle, et pathétique mécanisme de réponse survivialiste à toute cette indifférence inhumaine dans laquelle nagent les gens avec d’égarés et en cela, intrigués regards ?
ou plutôt que faut-il leur dire ?
A ceux là qui se prétendent amateurs, à ceux là qui se prétendent admirateurs ?
Ou alors à ceux là qui se prétendent artistes ?
C’est simple :
– Réveillez vous !
Pendant que vous regardez, le temps passe.
Vos yeux auraient aussi bien pu voir la texture des sols, des arbres, des vieux volets et des vieilles gouttières, des vielles pierres de l’église d’à côté.
Tout ce qu’une prétendue toile vous montre , elle le pique à la réalité, réalité à laquelle le monde « moderne » vous arrache.
Vous n’avez plus le temps ! Plus le temps de savourer, plus le temps de poser un regard triste ou gai qu’importe, mais Libre.
Alors vous prenez dans vote emploi du temps infernal, une après-midi pour aller voir l’exposition d’untel… et là la place qui était jadis à l’église ou au recueillement intime, devient celle de la « culture » où on parle pour parler tout autant qu’un chien aboie à l’indice d’un passant.
C’est cela, votre vie passe.
Je n’ai jamais été artiste, mais toujours été religieuse.
Tout ce que j’ai fait, c’était par contrainte et intimidation de ce monde frigide, inhumain-immoral, possédant ses proies comme un loup sévit à la nuque.
J’ai toujours été religieuse ; d’ailleurs mon regard appartient à Dieu tout autant que Sa lumière.
L’école laïque ne donnait aucune autre place à ma vie mystique que la place qu’on allègue à aux étrangers.
J’étais religieuse et mon école me l’interdisait. Alors j’ai témoigné par la peinture, par le dessin, par la sculpture sans jamais arrêter de prier Dieu en me taisant !
La France m’a toujours forcé à me taire ! en échange de ma Foi elle m’a juré de m’acheter comme une prostituée se vend.
Non, Celui qui se respecte n’est pas un Iste ; mais simplement ce que Dieu lui a commandé. Celui qui vit n’est pas un artiste. Ni le résistant un terroriste.
Je suis religieuse,
J’ai été, et suis artisane. Aucune galerie ne m’achètera pour vendre des ombres à des aveugles.
Je fais partie des monothéïques ; qu’ils soient aimés ou non à Rome ; quand bien-même on menacerait de me jeter aux lions.
Je préfère adorer Dieu et par Sa Lumière suffisante, oeuvrer à Unir le monde-et-non-pas-lui-unir-les-pervers : Je suis vivante, je vais mourir, et ma religion me suffit à vivre en paix à tout moment.
Vos clics et vos clacs sont des jeux de divination de chez le charlatan de passage ; des détournements d’attention misérables…
Tellement prétentieux, qu’à fleur de rétine nous sommes
On prétend vouloir régler les problèmes du monde sans soigner le fond des personnes
On prétend vouloir traiter les violences conjugales sans traiter le fond des personnes.
On prétend vouloir prêcher la religion sans traiter le fond des personnes ; sans rappeler l’essentiel de la religion qui fait sortir le vivant du mort en Son Nom.
On prétend vouloir instruire les gens sans traiter le fond des personnes.
On prétend vouloir discuter et aimer les gens sans s’adresser au fond des personnes
On prétend être du Dîn Islami sans rencontrer le fond des personnes
On prétend être les serviteurs D’an Noor sans faire jaillir la lumière des personnes !
Tellement nous vivons sur les formes, Nous sommes des hypocrites appelant à nos noms alors que nous bafouons la véritable science inhérente à Son Nom.