hirondelle
Je peine à comprendre dunia, je peine…je peine et ne me vis que Ghuraba
Je peine, pendant qu’il pleut, pendant que les vagues recouvrent mon visage.
Je peine, pendant qu’il pleut, pendant que les vagues recouvrent mon visage.
Je peine, je peine à comprendre dunia je peine
A comprendre pourquoi ce monde est si fade
Si fade et sans saveur parfois.
Si fade et sans couleur aussi
Si gris, si morne si pale…
J’ai vu des enfants dormir dehors cette nuit
Et mon cœur a froid de ne pas avoir eu, de parents instruits
J’ai vu dans la clarté du jour, un oiseau tracer dans le ciel ;
A l’œil aussi perçant que celui d’un aigle que dis-je, d’une hirondelle…
Je ne serais jamais l’aigle qui de ses serres et de son bec lacère ;
Je suis plutôt une hirondelle, qui ne touche jamais parterre,
Sinon pour poser le front
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