Ne soyez pas comme ceux qui ont oublié Dieu. Dieu a fait qu'ils s'oublient eux-mêmes.

Archives de avril, 2012

Préservateur

Je T’aime
Je te dirai je T’aime

Je te disais encore je T’aime

Je T’aime je te disais je T’aime
Je Savais

Il n’Est que Toi.

Je T’aime je m’éteins Bientôt je vais
Je repars ;
Vers Toi

Je T’aime je m’éteint 
 Des jeux;  par le temps  
Indésirables.

Bientôt Purifiée je repars
Lavée des maux bientôt je pars
Ô Allah;

permets moi.

Acceuille moi Ô Allah ;
Acceuille moi ;

Sauve moi
Des jeux.

Des jeux trompeurs ;
Des sans délais ni sursis Sinon,
En tromperies maléfiques

Sauve moi des jeux infidèles,
A tes Louanges

Sauve moi prends moi de leurs jeux 
Leurs démons, ces projecteurs de masques

Sauve moi de leurs limitations
De leurs carcans de fer 
De leurs les détails aveuglants; trompeurs

Trahisons des yeux et  ingratitudes ; ces avidités ces sucreries du coeur
 Ouvrant les portes aux Enfers!

La Vie Repart ma vie

Mon je s’efface.

 Leurs maquillages  leurs masques, leurs costumes
 Asservis, faussement satisfaits;

 Leurs jeux Refont mirage dans les flammes de démons animés
Souvenir, éternel; condamné ; Sous clefs

A eux les flammes festives; les jeux de rôles
Chancelants mirages ; furtivités mendiantes

Et combien pâle cette satisfaction que cherche,
 Le coeur enclint aux maléfices ;

Et combien  carnavlesques; de leurs temps dépassées jaunies
Empoignant de flambée les traitresses.


Jeux idôles et Dieu

Je T’aime.

Que veux tu, étranger?
Que veux tu
Etranger, ennemi, que veux tu?

Ce n’est pas à toi que je prie;
Ni à toi que je parle.

Je depuis longtemps déjà,
Ne t’appartient pas;

N’est pas
De ce monde;
Ces illusoires
Cette ingratitude.

Ces présentations;
De Synthèse,

Disparaîssent
Maintenant.

Je T’aime;
Mon Divin,
Mon Vivant je T’aime.

Être; Disparaître
Demeurer Pourtant.

Ne pas pouvoir,
S’éteindre.

Demeurer au delà du temps.

Quoi qu’il paraisse,

Par Toi
Je ne sait que Vivant

Ta Présence

De Toi Renaître;

Mon Vivant
Mon;
Substantiel

Référent;
Protecteur Mon Bienfaiteur
Absolu;

Eternel

A Toi les louanges;
A Toi ma vie

Sustenté
Vers l’ Avenir
Je T’Attends.

Programmé; vers Toi je retroune

Ô Allah;

A Toi je me rends.


Unicité

La Nuit
Est Tombée

L’Esprit
S’est Levé

Ce soir
En mon coeur,

Séjourne

La Lune,
Eclaire.

Silence.

La Nuit est belle
Mon âme,
Surveille

La nuit est vaste.
Etranger
Je suis las,

D’Emerveille
Animé
J’attends

Etranger je suis là;
Entendant je

 Receuille
Je Sent
Ce que nul ne définit,
En maux humains

Les mots de leurs glas bien souvent
Sont impropres
Sont inhumains

Les mots bien souvent assoient
Chimères et profanations,
Printanières.

Mer de ses divagations
De ses Douceurs m’entend au loin

Les passions bientôt se calment
Le Silence Bientôt Revient

Par la brume célébrant mon absence,
Par la brise

 

 Célébrant l’Unique
Le Glorifié.

Sous les reflets des réverbères, ce bassin de larmes.
Accostées les embarcations
Les Repentirs
Appaisés

Le Port Reforme ses quais
Où les attaches les Liens

S’Uniforment.

La Lune témoigne;
Les étoiles Louangent

Et les vagues;
se prosternent.

Et les Reflets de Lune.

 

 


Soldats

Allah Est Grand
Nul ne peut se passer de Toî  Ya Rab

Ô Allah fais de nous tes Serviteurs fût-ce à mon détriment
Ya Rabb fais de nous tes Soldats en Ta Gloire;
En Ton Vivant Ton Nom
Ya Rab,

Les maux manqueront toujours
Les Silences
Toujours Fuseront

Les coeurs palpiteront toujours;
De dépendance;
A Profusion

Le sang giclera

Tous jours aussi;
Jusqu’à ce que l’Heure

Sonne du Clairon

Le Jour où les criminels  Saisis
Le Jour
où Ta Justice Rendue;
Enfin;

Enfin Les Comptes!

Le Jour, où le Serviteur

Soulagé sera
Débarrassé des craintes
Allégé,
des oppressions

 Des carcans de chairs!

Le Jour de La Rétribution
Arrive
Illuminant de Justice;

D’Eternité que
J’ Entends!

J’attends
Ô Allah je T’Entends
 
Délivre moi vers Toi  

Délivre moi des jougs
Délivre moi

Des idôles;
Des mortifères passions
Des captivités!

Ces prisons aux barreaux de Flammes;
Aux lits de sang
Aux loisirs de Suie

Et de maillons fer!

Quand le temps écoulé Signe l’Heure
de la Fin du Temps.

Heure Des Comptes
Eternels,
Equitables;

Equidistants.


Tous

Tous mourrons
Nous mourrons tous
Maintenant nous mourrons; et demain au delà

je vis ailleurs

Aujourd’hui je donne;
Demain je m’éteins je meurs

Je ne donne rien
Car Rien je suis en vérité de Leurre

Je ne donne Rien;
C’est Lui qui Donne;
Qui Reprend
Qui rétracte

C’est Lui L’Ultime;
Le Premier;
Le Latent
L’Origine le Fonds

Je ne donne rien

Je ne suis rien;
Quedalle les mots me manquent

Je ne suis Rien
Je Souffre de n’être pas grand chose

pour le  Savoir;
Mais je Jouis d’être alors;
Comme nul ne s’imaginerait Jouïr d’être à ce point
Satisfait

D’Exister en Lui.

En Lui; Pour Lui;
Lui Seul

En Lui;
Pour Lui;
Lui Seul Qui Donne;

Et qui rétracacte;

Il fait ce qu’Il veut;

Pour Lors que Les Reconnaissants;
Grandissent encore;

Leur Gratitude

En Louanges
En Amour Juste;

Jamais déviant,

de Lui

El Wahad;
L’Unique.


Jeux Infidèles

Je,
Dois te dire
Peu importe ce qu’en diront les autres.

Je,
Doit te dire

Peu importe ce qu’en dira l’illusoire
Qui te susurre des maléfices

Je doit te dire
Je a tant  te dire,

Je a tant à te dire,
te démentir,

je a tant à te trahir
Que tu n’auras jamais que l’option

De la Confiance en Lui;
L’Unique

As tu vu quelque chose, qui a demeuré au dela de Lui?
As tu vu quelque chose qui a demeuré au delà

De ta perception Envie?
As tu vu quelque chose,
Qui ne t’ait pas Choyé, grandi?

As tu vu quelque chose, qui ne t’ait pas Servi.

Je,
Doit te dire

Que si tu te plains
Alors

Ne te lamente pas sur ton sort.

Si tu te plains alors, prends ta plainte et meurs avec.
Si par contre, tu Reconnais le Vivant,
Ta servitude;

Alors Lève toi et Marche;
Lève toi

Purifie toi de la Pluie

Ton toupet prosterne;
Ton Entendement Ferme aux enjeux
Aux esprits
Qui Consument qui t’essoufflent

Et les jeux maléfiques  oublie.

Et le Serviteur Fidèle Incarne.


A Temps

Tu Peux
D’un moment à l’autre,
tout perdre;

Qu’importe?

Tu peux; d’un moment à l’autre,  perdre
Toutes les illusions.

Qu’importe en effet
Que tu perdes le faux, véniel?

Qu’importe que tu perdes l’illusoire,
Qu’importe que tu te trouves,
Te retrouves Essentiel,

Qu’importe à ta peur, que tu Gagnes en Tous points.

Qu’importe à ta crainte,
Que tu t’éveilles, Béni de ta Confiance ta Conscience Divines

Qu’importe à ta chair, que tu la délaisses le temps;
Qu’elle retourne à la terre,
Qu’elle retourne au néant qui n’est que synthèse et Proposition,

De Repentir;
à Temps.

A temps;
Prends ta Conscience ton âme à deux mains;
Et par coeur récite de ton âme,
La Louange

A CeLui
Qui t’a donné le Temps

Il n’y a de Dieu que Dieu
De Divin que Dieu
D’Idéal que Le Dieu Al Lah; L’Unique
De Vivant qu’ Allah; 

Unique
Omnipotent
Insufflateur de ma Personne

Il n’a pas engendré et n’a pas été engendré non plus;
Et nul n’est égal à Lui.
Allah, L’Unique.
Ar Rahman, Ar Rahim;

Maître du jour
De la rétribution

C’est Toi que nous adorons;
C’est de Toi

Dont nous implorons le Secours.
Guide nous dans le droit chemin

Le chemin de ceux que Tu as comblé de Faveurs

Non de ceux qui ont encouru ta colère

Ni des égarés.


Serviteur



Que Dire Ô Allah, que Dire?

Quand ce besoin vit là dans nos poitrines,

Que Dire Ô Allah, que Dire?

Ô Allah, de Silence tu as Bercé mon âme.
De Silence Tu as bercé

mon Esprit d’ailes grandioses
De Silence Tu l’as Transporté

De Silence, tu l’as
Revigoré d’avant Vie
Tu l’as Béni

Ô Allah;
Ô Allah Azawajjal

Tu Es de tout
Ce qui Subsiste ;Le Magnifique
Ô Allah; Il n’Est que Toi qui Soit

Pour tout un chacun;
Pour toute créature pout tout;
En toute épreuve

Ô Allah, Sois ma vue Sois mon Ecoute Prends mon âme
Ô Allah Emplis moi de Toi
Loin des injustes des profanes!

Ô Allah, prends moi; lave moi; Eprouve moi Guide moi à Toi

Ô Allah;
Bénis mon antre et ma famille
Ô Allah;
Bénis moi, éteins moi;
que la Gloire Soit Tienne

Ô Allah; Ô Allah je ne suis;
je ne suis personne

sinon,
Témoignage de Ta gloire;
Et Voeu de Ta Louange;
Toujours.

Ô Allah, fais de moi Ton Serviteur
Ô Allah fais de moi

Ton Fidèle
Ton Endurant;
Ton Serviteur

Fais de moi malgré mon sang écoulé mes peines mes larmes ruisselées
ma douleur

Fais de moi quelque Chose qui Soit

Même minime ;

Mais de Toi

Fais de moi  poussière sur le sol;
Fais de moi  graine, fais de mes larmes une pluie

Fais de moi la Terre qui permet
d’élever en Vertical

Fais de moi quelque chose;
Fais de moi, ce que Tu me Commandes.

Fais de moi un radeau;
Fais de moi une vague, un nuage apportant la mer

Fais de moi Ton désir
Fais de moi, Ton Vivant
Ô Allah;

Que  Ta Création, Que Ta Protection
Que Ta Volonté

Soit Faite.


Nul n’est égal à Lui

 

Triste comme un vent sans force;
Jamais je n’aurais pensé

Que tel effet m’attendrait à l’heure

Sur le monde aller semer les graines
Transporter insectes et grains de sable,
De terre,

Rendus
A nos yeux

Inexistants

Transporter l’échange, l’universel; l’échantillon

Transporter en moi le vent du vrai;
Le vent qui de moi,
Efface l’illusion la chimère

Silence.

Silence Silence;
Efface de moi les maux les fausses alertes
Réduis moi au silence;
Rends moi Vivant

Ô Allah
Pardonne moi

Fais moi Lucide;

Rends moi Vie,

 

 

à Venir.