Préservateur
Je T’aime
Je te dirai je T’aime
Je te disais encore je T’aime
Je T’aime je te disais je T’aime
Je Savais
Il n’Est que Toi.
Je T’aime je m’éteins Bientôt je vais
Je repars ;
Vers Toi
Je T’aime je m’éteint
Des jeux; par le temps
Indésirables.
Bientôt Purifiée je repars
Lavée des maux bientôt je pars
Ô Allah;
permets moi.
Acceuille moi Ô Allah ;
Acceuille moi ;
Sauve moi
Des jeux.
Des jeux trompeurs ;
Des sans délais ni sursis Sinon,
En tromperies maléfiques
Sauve moi des jeux infidèles,
A tes Louanges
Sauve moi prends moi de leurs jeux
Leurs démons, ces projecteurs de masques
Sauve moi de leurs limitations
De leurs carcans de fer
De leurs les détails aveuglants; trompeurs
Trahisons des yeux et ingratitudes ; ces avidités ces sucreries du coeur
Ouvrant les portes aux Enfers!
La Vie Repart ma vie
Mon je s’efface.
Leurs maquillages leurs masques, leurs costumes
Asservis, faussement satisfaits;
Leurs jeux Refont mirage dans les flammes de démons animés
Souvenir, éternel; condamné ; Sous clefs
A eux les flammes festives; les jeux de rôles
Chancelants mirages ; furtivités mendiantes
Et combien pâle cette satisfaction que cherche,
Le coeur enclint aux maléfices ;
Et combien carnavlesques; de leurs temps dépassées jaunies
Empoignant de flambée les traitresses.
Jeux idôles et Dieu
Je T’aime.
Que veux tu, étranger?
Que veux tu
Etranger, ennemi, que veux tu?
Ce n’est pas à toi que je prie;
Ni à toi que je parle.
Je depuis longtemps déjà,
Ne t’appartient pas;
N’est pas
De ce monde;
Ces illusoires
Cette ingratitude.
Ces présentations;
De Synthèse,
Disparaîssent
Maintenant.
Je T’aime;
Mon Divin,
Mon Vivant je T’aime.
Être; Disparaître
Demeurer Pourtant.
Ne pas pouvoir,
S’éteindre.
Demeurer au delà du temps.
Quoi qu’il paraisse,
Par Toi
Je ne sait que Vivant
Ta Présence
De Toi Renaître;
Mon Vivant
Mon;
Substantiel
Référent;
Protecteur Mon Bienfaiteur
Absolu;
Eternel
A Toi les louanges;
A Toi ma vie
Sustenté
Vers l’ Avenir
Je T’Attends.
Programmé; vers Toi je retroune
Ô Allah;
A Toi je me rends.
Unicité
La Nuit
Est Tombée
L’Esprit
S’est Levé
Ce soir
En mon coeur,
Séjourne
La Lune,
Eclaire.
Silence.
La Nuit est belle
Mon âme,
Surveille
La nuit est vaste.
Etranger
Je suis las,
D’Emerveille
Animé
J’attends
Etranger je suis là;
Entendant je
Receuille
Je Sent
Ce que nul ne définit,
En maux humains
Les mots de leurs glas bien souvent
Sont impropres
Sont inhumains
Les mots bien souvent assoient
Chimères et profanations,
Printanières.
Mer de ses divagations
De ses Douceurs m’entend au loin
Les passions bientôt se calment
Le Silence Bientôt Revient
Par la brume célébrant mon absence,
Par la brise
Célébrant l’Unique
Le Glorifié.
Sous les reflets des réverbères, ce bassin de larmes.
Accostées les embarcations
Les Repentirs
Appaisés
Le Port Reforme ses quais
Où les attaches les Liens
S’Uniforment.
La Lune témoigne;
Les étoiles Louangent
Et les vagues;
se prosternent.
Et les Reflets de Lune.
Soldats
Allah Est Grand
Nul ne peut se passer de Toî Ya Rab
Ô Allah fais de nous tes Serviteurs fût-ce à mon détriment
Ya Rabb fais de nous tes Soldats en Ta Gloire;
En Ton Vivant Ton Nom
Ya Rab,
Les maux manqueront toujours
Les Silences
Toujours Fuseront
Les coeurs palpiteront toujours;
De dépendance;
A Profusion
Le sang giclera
Tous jours aussi;
Jusqu’à ce que l’Heure
Sonne du Clairon
Le Jour où les criminels Saisis
Le Jour
où Ta Justice Rendue;
Enfin;
Enfin Les Comptes!
Le Jour, où le Serviteur
Soulagé sera
Débarrassé des craintes
Allégé,
des oppressions
Des carcans de chairs!
Le Jour de La Rétribution
Arrive
Illuminant de Justice;
D’Eternité que
J’ Entends!
J’attends
Ô Allah je T’Entends
Délivre moi vers Toi
Délivre moi des jougs
Délivre moi
Des idôles;
Des mortifères passions
Des captivités!
Ces prisons aux barreaux de Flammes;
Aux lits de sang
Aux loisirs de Suie
Et de maillons fer!
Quand le temps écoulé Signe l’Heure
de la Fin du Temps.
Heure Des Comptes
Eternels,
Equitables;
Equidistants.
Tous
Tous mourrons
Nous mourrons tous
Maintenant nous mourrons; et demain au delà
je vis ailleurs
Aujourd’hui je donne;
Demain je m’éteins je meurs
Je ne donne rien
Car Rien je suis en vérité de Leurre
Je ne donne Rien;
C’est Lui qui Donne;
Qui Reprend
Qui rétracte
C’est Lui L’Ultime;
Le Premier;
Le Latent
L’Origine le Fonds
Je ne donne rien
Je ne suis rien;
Quedalle les mots me manquent
Je ne suis Rien
Je Souffre de n’être pas grand chose
pour le Savoir;
Mais je Jouis d’être alors;
Comme nul ne s’imaginerait Jouïr d’être à ce point
Satisfait
D’Exister en Lui.
En Lui; Pour Lui;
Lui Seul
En Lui;
Pour Lui;
Lui Seul Qui Donne;
Et qui rétracacte;
Il fait ce qu’Il veut;
Pour Lors que Les Reconnaissants;
Grandissent encore;
Leur Gratitude
En Louanges
En Amour Juste;
Jamais déviant,
de Lui
El Wahad;
L’Unique.
Jeux Infidèles
Je,
Dois te dire
Peu importe ce qu’en diront les autres.
Je,
Doit te dire
Peu importe ce qu’en dira l’illusoire
Qui te susurre des maléfices
Je doit te dire
Je a tant te dire,
Je a tant à te dire,
te démentir,
je a tant à te trahir
Que tu n’auras jamais que l’option
De la Confiance en Lui;
L’Unique
As tu vu quelque chose, qui a demeuré au dela de Lui?
As tu vu quelque chose qui a demeuré au delà
De ta perception Envie?
As tu vu quelque chose,
Qui ne t’ait pas Choyé, grandi?
As tu vu quelque chose, qui ne t’ait pas Servi.
Je,
Doit te dire
Que si tu te plains
Alors
Ne te lamente pas sur ton sort.
Si tu te plains alors, prends ta plainte et meurs avec.
Si par contre, tu Reconnais le Vivant,
Ta servitude;
Alors Lève toi et Marche;
Lève toi
Purifie toi de la Pluie
Ton toupet prosterne;
Ton Entendement Ferme aux enjeux
Aux esprits
Qui Consument qui t’essoufflent
Et les jeux maléfiques oublie.
Et le Serviteur Fidèle Incarne.
A Temps
Tu Peux
D’un moment à l’autre,
tout perdre;
Qu’importe?
Tu peux; d’un moment à l’autre, perdre
Toutes les illusions.
Qu’importe en effet
Que tu perdes le faux, véniel?
Qu’importe que tu perdes l’illusoire,
Qu’importe que tu te trouves,
Te retrouves Essentiel,
Qu’importe à ta peur, que tu Gagnes en Tous points.
Qu’importe à ta crainte,
Que tu t’éveilles, Béni de ta Confiance ta Conscience Divines
Qu’importe à ta chair, que tu la délaisses le temps;
Qu’elle retourne à la terre,
Qu’elle retourne au néant qui n’est que synthèse et Proposition,
De Repentir;
à Temps.
A temps;
Prends ta Conscience ton âme à deux mains;
Et par coeur récite de ton âme,
La Louange
A CeLui
Qui t’a donné le Temps
Il n’y a de Dieu que Dieu
De Divin que Dieu
D’Idéal que Le Dieu Al Lah; L’Unique
De Vivant qu’ Allah;
Unique
Omnipotent
Insufflateur de ma Personne
Il n’a pas engendré et n’a pas été engendré non plus;
Et nul n’est égal à Lui.
Allah, L’Unique.
Ar Rahman, Ar Rahim;
Maître du jour
De la rétribution
C’est Toi que nous adorons;
C’est de Toi
Dont nous implorons le Secours.
Guide nous dans le droit chemin
Le chemin de ceux que Tu as comblé de Faveurs
Non de ceux qui ont encouru ta colère
Ni des égarés.
Serviteur
Que Dire Ô Allah, que Dire?
Quand ce besoin vit là dans nos poitrines,
Que Dire Ô Allah, que Dire?
Ô Allah, de Silence tu as Bercé mon âme.
De Silence Tu as bercé
mon Esprit d’ailes grandioses
De Silence Tu l’as Transporté
De Silence, tu l’as
Revigoré d’avant Vie
Tu l’as Béni
Ô Allah;
Ô Allah Azawajjal
Tu Es de tout
Ce qui Subsiste ;Le Magnifique
Ô Allah; Il n’Est que Toi qui Soit
Pour tout un chacun;
Pour toute créature pout tout;
En toute épreuve
Ô Allah, Sois ma vue Sois mon Ecoute Prends mon âme
Ô Allah Emplis moi de Toi
Loin des injustes des profanes!
Ô Allah, prends moi; lave moi; Eprouve moi Guide moi à Toi
Ô Allah;
Bénis mon antre et ma famille
Ô Allah;
Bénis moi, éteins moi;
que la Gloire Soit Tienne
Ô Allah; Ô Allah je ne suis;
je ne suis personne
sinon,
Témoignage de Ta gloire;
Et Voeu de Ta Louange;
Toujours.
Ô Allah, fais de moi Ton Serviteur
Ô Allah fais de moi
Ton Fidèle
Ton Endurant;
Ton Serviteur
Fais de moi malgré mon sang écoulé mes peines mes larmes ruisselées
ma douleur
Fais de moi quelque Chose qui Soit
Même minime ;
Mais de Toi
Fais de moi poussière sur le sol;
Fais de moi graine, fais de mes larmes une pluie
Fais de moi la Terre qui permet
d’élever en Vertical
Fais de moi quelque chose;
Fais de moi, ce que Tu me Commandes.
Fais de moi un radeau;
Fais de moi une vague, un nuage apportant la mer
Fais de moi Ton désir
Fais de moi, Ton Vivant
Ô Allah;
Que Ta Création, Que Ta Protection
Que Ta Volonté
Soit Faite.
Nul n’est égal à Lui
Triste comme un vent sans force;
Jamais je n’aurais pensé
Que tel effet m’attendrait à l’heure
Sur le monde aller semer les graines
Transporter insectes et grains de sable,
De terre,
Rendus
A nos yeux
Inexistants
Transporter l’échange, l’universel; l’échantillon
Transporter en moi le vent du vrai;
Le vent qui de moi,
Efface l’illusion la chimère
Silence.
Silence Silence;
Efface de moi les maux les fausses alertes
Réduis moi au silence;
Rends moi Vivant
Ô Allah
Pardonne moi
Fais moi Lucide;
Rends moi Vie,
à Venir.