Ne soyez pas comme ceux qui ont oublié Dieu. Dieu a fait qu'ils s'oublient eux-mêmes.

Archives de janvier, 2011

Chaque annonce arrive en son temps et en son lieu, Et bientôt vous le saurez. »6/67

‎25. Il en est parmi eux qui viennent t’écouter, cependant que Nous avons entouré de voiles leurs coeurs, qui les empêchent de comprendre (le Coran), et dans leurs oreilles est une lourdeur. Quand même ils verraient toutes sortes de preuves, ils n’y croiraient pas. Et quand ils viennent disputer avec toi, ceux qui ne croient pas disent alors : « Ce ne sont que des légendes des anciens ».

26. Ils empêchent [les gens] de s’approcher de lui et s’en écartent eux-mêmes. Ils ne feront périr qu’eux-mêmes sans s’en rendre compte.

33. Nous savons qu’en vérité ce qu’ils disent te chagrine. Or, vraiment ils ne croient pas que tu es menteur, mais ce sont les versets (le Coran) d’Allah, que les injustes renient.

34. Certes, des messagers avant toi (Muhammad) ont été traités de menteurs. Ils endurèrent alors avec constance d’être traités de menteurs et d’être persécutés, jusqu’à ce que Notre secours leur vînt. Et nul ne peut changer les paroles d’Allah, et il t’est déjà parvenu une partie de l’histoire des Envoyés.

35. Et si leur indifférence t’afflige énormément, et qu’il est dans ton pouvoir de chercher un tunnel à travers la terre, ou une échelle pour aller au ciel pour leur apporter un miracle , [fais-le donc]. Et si Allah voulait, Il pourrait les mettre tous sur le chemin droit. Ne sois pas du nombre des ignorants.

36. Seuls ceux qui entendent répondent à l’appel [de la foi].Et quant aux morts, Allah les ressuscitera; puis ils Lui seront ramenés. .

39. Et ceux qui traitent de mensonges Nos versets sont sourds et muets, dans les ténèbres. Allah égare qui Il veut; et Il place qui Il veut sur un chemin droit.

6/Les Bestiaux
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‎39.Quant à ceux qui ont mécru, leurs actions sont comme un mirage dans une plaine désertique que l’assoiffé prend pour de l’eau. Puis quand il y arrive, il s’aperçoit que ce n’était rien; mais y trouve Allah qui lui règle son compte en entier, car Allah est prompt à compter.

40.[Les actions des mécréants] sont encore semblables à des ténèbres sur une mer profonde : des vagues la recouvrent, [vagues] au dessus desquelles s’élèvent [d’autres] vagues, sur lesquelles il y a [d’épais] nuages. Ténèbres [entassées] les unes au-dessus des autres. Quand quelqu’un étend la main, il ne la distingue presque pas. Celui qu’Allah prive de lumière n’a aucune lumière.

41.N’as-tu pas vu qu’Allah est glorifié par tous ceux qui sont dans les cieux et la terre; ainsi que par les oiseaux déployant leurs ailes? Chacun, certes, a appris sa façon de L’adorer et de Le glorifier. Allah sait parfaitement ce qu’ils font.
24/La Lumière


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Djihad Truth

Chaque matin Dunia me rappelle, chaque matin, l’Enfer me frôle de ses consumations.

Chaque matin, mon âme subit le faux réveil,

Chaque matin mon âme subit L’Ironie de Satan;

Quand de plaies et de mon âme, la Douleur me rappelle dans sa Violence

Que la Vie n’est autre qu’à Repartir; à Revenir à la Vie.

‎1. Par le Temps!
2. L’homme est certes, en perdition,
3. sauf ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres, s’enjoignent mutuellement la vérité et s’enjoignent mutuellement l’endurance.

103/Le Temps

1. Par la Clarté du Matin!
2. Et par la nuit quand elle étend ses voiles
3. Ton Seigneur ne t’a ni abandonné, ni haï.
4. La vie dernière t’est, certes, meilleure que la vie présente.
5. Ton Seigneur t’accordera certes [Ses faveurs], et alors tu seras satisfait.
6. Ne t’a-t-Il pas trouvé orphelin? Alors Il t’a accueilli!
7. Ne t’a-t-Il pas trouvé égaré ? Alors Il t’a guidé.
8. Ne t’a-t-Il pas trouvé pauvre? Alors Il t’a enrichi.
9. Quant à l’orphelin, donc, ne le maltraite pas.
10. Quant au demandeur , ne le repousse pas.
11. Et quant au bienfait de ton Seigneur, proclame-le.
93/Le Jour Montant
Au nom de Dieu, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
Louange à Dieu, Seigneur de l’univers.
Le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux,
Maître du Jour de la rétribution.
C’est Toi [Seul] que nous adorons, et c’est Toi [Seul] dont nous implorons secours.
Guide-nous dans le droit chemin,
le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés.
1/L’Ouverture

Du Souvenir à l’à venir

153. Ô les croyants! Cherchez secours dans l’endurance et la Salat. Car Allah est avec ceux qui sont endurants.

154. Et ne dites pas de ceux qui sont tués dans le sentier d’Allah qu’ils sont morts. Au contraire ils sont vivants, mais vous en êtes inconscients.

155. Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants,

156. qui disent, quand un malheur les atteint : « Certes nous sommes à Allah, et c’est à Lui que nous retournerons ».

157. Ceux-là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la miséricorde; et ceux-là sont les biens guidés.

Sourat 2/El Baqara

166. Et tout ce que vous avez subi, le jour où les deux troupes se rencontrèrent , c’est par permission d’Allah, et afin qu’Il distingue les croyants.

167. et qu’Il distingue les hypocrites. on avait dit à ceux-ci : « Venez combattre dans le sentier d’Allah, ou repoussez [l’ennemi] » , ils dirent : « Bien sûr que nous vous suivrions si nous étions sûrs qu’il y aurait une guerre » Ils étaient, ce jour-là, plus près de la mécréance que de la foi. Ils disaient de leurs bouches ce qui n’était pas dans leurs coeurs. Et Allah sait fort bien ce qu’ils cachaient.

168. Ceux qui sont restés dans leurs foyers dirent à leurs frères : « S’ils nous avaient obéi, ils n’auraient pas été tués. » Dis : « Écartez donc de vous la mort, si vous êtes véridiques ».

169. Ne pense pas que ceux qui ont été tués dans le sentier d’Allah, soient morts. Au contraire, ils sont vivants, auprès de leur Seigneur, bien pourvus

170. et joyeux de la faveur qu’Allah leur a accordée, et ravis que ceux qui sont restés derrière eux et ne les ont pas encore rejoints, ne connaîtront aucune crainte et ne seront point affligés.

171. Ils sont ravis d’un bienfait d’Allah et d’une faveur, et du fait qu’Allah ne laisse pas perdre la récompense des croyants.

172. Ceux qui, quoiqu’atteints de blessure, répondirent à l’appel d’Allah et du Messager, il y aura une énorme récompense pour ceux d’entre eux qui ont agi en bien et pratiqué la piété .

173. Certes ceux auxquels l’on disait : « Les gens se sont rassemblés contre vous; craignez-les » – cela accrut leur foi – et ils dirent : « Allah nous suffit; Il est notre meilleur garant ».

174. Ils revinrent donc avec un bienfait de la part d’Allah et une grâce. Nul mal ne les toucha et ils suivirent ce qui satisfait Allah. Et Allah est Détenteur d’une grâce immense.

175. C’est le Diable qui vous fait peur de ses adhérents. N’ayez donc pas peur d’eux. Mais ayez peur de Moi, si vous êtes croyants.

Sourat 3/El Imran

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Lumière du Rappel, de Reconnaissance

Parler de Dieu, du diable, de l’âme, c’est savoir au delà des arnaques, c’est sentir percevoir au-delà des apparences des dégâts, des oublis; des négationnismes institués des essences.

Parler de la catastrophe par le nazisme, comme parler  de la shoah du sionisme, c’est faire mention du mal à l’encontre du peuple, du peuple des Croyants Juifarabe. Ce peuple sémite fort de Son Dieu Unique, déchiré en son antre par les suppôts laïques, les massacres profanes, les décrets sataniques.


*

Avant tout droit d’auteur, ou encore d’image, n’oubliez pas le droit de Dieu. Tout honnête se doit de Le reconnaître. Ne soyons pas dupes, trop nombreux sont les conditionnés qui parlent d’amour et de paix sans faire montre de la moindre once de courage , ne serait-ce que face à la tyrannie laïque mise en place. Avoir peur de dire Dieu et user des pires poésies et détournements pour l’évoquer, c’est être devenu tellement inconsistant qu’une partie du coeur s’en perfidie.

La Douleur ou l’Envie

Je me levais presque, il fallait que j’aille dormir. Dormir, mourir un peu. Mourir, je pensais pouvoir me le permettre parce que je m’estimais fervente de Dieu. Quand la douleur me saisissait pourtant, je réalisais l’absence de vie et sa présence qui criait au Besoin, à même ma créditation trompée.

Je croyais mon corps, ce corps même qui me tuait. Je croyais en lui, je le voyais, de mes yeux le voyais, ce pourquoi éprise de son image, j’en oubliais Dieu et m’assaillais de mortel oubli.

Je me noyais de moi, je m’oubliais à mon jeu. Je m’en consumais de foi associatrice, je me calcinais d’élan dénégateur. J’adorais ma chair, j’adorais mon engin, ce pourquoi de passion je souffrais. Parce que je n’avais envie que de faire et faire et faire encore sans m’accorder jamais le temps de prier ; sans m’accorder jamais la compagnie des Anges.

Alors je souffrais, je pesais mon je mon idole, je m’en écrasais du poids des roches ; puis bientôt des flammes ; et de la lave des absentements.

Ma conscience vivait la douleur et en goûtait les enjeux.

Je cherchais en moi le secours, la survivance ; et je trouvais au chevet de mon coeur, que je souffrais de quelque mécréance.

Je trouvais au chevet de mon âme en détresse, que si du Vivant j’attestais, la vie m’emporterait; la mort de mes atours s’effacerait ; m’oublierait au point qu’elle s’oublierait de moi; quand de légèreté je m’élèverais, aux confins de la Vie Essentielle.

Il me semblait toujours que j’étais pieuse, pourtant quand j’avais mal, j’apercevais en moi l’esprit trompé de je. Je désirais alors plus de discernement, percevant enfin par le témoignage de l’Unique, l’unique Raison de ne pas s’inquiéter.

De Lui je percevais la dépendance qui me soulevait au-delà du mal pour en transcender les cris Aigus. Aigus ou graves, parfois sourds de douleur ; de Présence à Saisir. Ces aigus raisonnements signifiant à  mon âme, qu’elle voulait la Vérité, le discernement ; les raisons, le pourquoi, la solution par le Vivant remède :

Réfléchir le Vivant jusqu’au dernier Souffle qu’Il donne ; L’aspirer, L’aimer jusqu’à l’expiration du temps.

Par son Rappel Vivant, les maux déchirants de leurs sirènes reprenaient leur sens par Devoir de Vivre.  Et la détresse laissait place, enfin, à l’Envie bâillonnée en pleurs.  Cette envie informe, impulsionnée de saccades à réveiller, la Vie.

Les larmes comme un ruisseau de rosée, bénissaient l’alarme et la détresse, rétablissant après la trahison des sens, la Réelle Envie de Naître.

Et la Quête comme un vent dans les fleurs, semblait mener sa procession cantique :

« – Tu veux Vivre, tu as enVie ! Tu es en Vie, Prosterne toi à Lui ! Lui Seul qui entend ta douleur, ton amour, ton besoin de vivre et tes cris !  Tu aimes l’Envie, tu suis ; Embrasse le Vivant, Le Souvenir l’Avenir, Accepte La Vérité du Sentiment, Soumet le mortel, Soumet l’illusoire à l’Envie ! »

Par ce Vivant dialecte Familier, je n’étais plus assourdie. Ce qu’il me semblait entendre, était bien plus que mon ouïe. Mon Repère était là, et de béatitude je vivrais, à même la douleur ou l’Envie.


Si l’homme lucide….

J’étais fatigué de voir combien les gens sont ennemis les uns les autres par manque d’attachement à Dieu ; se repoussant les uns les autres, au lieu de simplement s’aimer pour ce qu’Allah fit d’eux. Fatigué, malade de vivre. J’étais triste, j’étais épris d’une envie fidèle de faire Bien les choses en restant pourtant, indifférent à eux, en restant à jamais, amoureux et en vie, de Lui et Lui Seul. Je voulais ne pas les entendre, je ne voulais que témoigner de Lui, de Lui et Lui seul à travers tous les miroirs brisés me rappelant que nulle vie n’était possible sous le verre épais. Que là-bas y régnait la non-vie des apparences, l’asphyxie des mensonges ; mais aussi, l’étouffement des présomptions. Je ne voulais qu’une chose, c’était de m’éloigner d’eux, tout en restant pourtant au plus près d’eux mêmes, car j’étais à l’écoute d’eux en moi-même ; que je priais pour eux afin de me sauver de moi. Je voulais me vivre, mais pour me vivre je n’avais que Dieu. Je voulais survivre, mais pour survivre, je n’avais que la Vérité. Je me savais Éternellement vivant, ce pourquoi je mourais. Et quoi que l’on me fit, captivé d’abord par l’illusion du mal, je savais être ce qu’eux-mêmes ne savaient de Dieu, pourtant au plus près d’eux-mêmes.

3.187


Coeur des yeux